Le manque de logements . (Forum)

par Claudie, dimanche 07 janvier 2024, 19:28 (il y a 413 jours)

https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2023-09-27/penurie-de-logements-et-loyers/l...

Pénurie de logements et loyers Le boom d’immigrants secoue le marché

PHOTO IVANOH DEMERS, ARCHIVES LA PRESSE

Le rythme d’entrée des nouveaux arrivants au pays est tel qu’il devient difficile à soutenir pour le marché immobilier locatif. Au cours des sept premiers mois de l’année, les autorités ont délivré plus de 122 000 nouveaux permis de travail aux résidents temporaires du Québec.

Francis Vailles
FRANCIS VAILLES
LA PRESSE
Désolé de vous décevoir, mais la pénurie de logements ne ralentira pas l’an prochain ni dans trois ans, elle risque plutôt de s’aggraver. Et avec elle, la pression à la hausse sur les loyers.

Mis à jour le 27 sept. 2023Partager
L’une des principales raisons n’a rien à voir avec la spéculation, l’offre de logements ou les normes municipales, mais avec la demande, notamment le boom d’immigration planifié par Ottawa.

Qu’on se comprenne bien, l’immigration est un bienfait, selon la plupart des experts. Sauf que le rythme d’entrée des nouveaux arrivants est tel qu’il devient difficile à soutenir pour le marché immobilier locatif.

Les chiffres que j’ai épluchés sur l’immigration temporaire sont frappants. L’année 2023 dépassera très nettement 2022, qui était déjà un record.

Pour faire image, ce flot de nouveaux arrivants au Québec en 2023 devrait dépassser la population de la Ville de Sherbrooke (environ 175 000), selon ce qu’on comprend des données d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada. Et la plupart s’installent dans la région de Montréal.

Je ne suis pas le seul à faire ce constat : le président de la Banque Nationale, Laurent Ferreira, appuyé par son économiste en chef, Stéfane Marion, juge que la forte croissance de la population canadienne nourrie par l’immigration est inflationniste, notamment sur le logement⁠1.

Deux phénomènes se conjuguent. Les mises en chantier de logements sont en baisse marquée et l’immigration temporaire explose.

Après un record en 2021, les mises en chantier se sont littéralement dégonflées, avec la hausse des taux d’intérêt. Au Québec, les nouveaux logements locatifs – premier havre des immigrants – se construisent au rythme annualisé de moins de 20 000, actuellement, loin des 48 000 de juin 2021⁠2.

Phénomène semblable dans l’ensemble canadien, quoique moins marqué : le rythme annuel de 95 000 mises en chantier locatif en octobre 2022 a chuté à 81 000 le mois dernier⁠3.


Pendant ce temps, l’arrivée des résidents non permanents s’accélère, si l’on se fie aux permis de travail accordés par Immigration Canada.

Au cours des sept premiers mois de l’année, les autorités ont délivré plus de 122 000 nouveaux permis de travail aux résidents temporaires du Québec.

À ce rythme, le Québec absorberait plus de 200 000 nouveaux travailleurs non permanents en 2023, soit plus du double du record de 2022 (94 195) et trois fois le volume prépandémique de 2019 (70 000). Et encore, il faut ajouter l’accroissement des nouveaux étudiants étrangers.


Pour l’ensemble du Canada, le nombre de permis de travail est aussi en voie de doubler l’année record de 2022, et excédera 1,1 million, si la tendance se maintient. Avec les nouveaux étudiants étrangers, ce chiffre devrait être encore plus élevé.

Bref, la hausse est exponentielle et elle a nécessairement un impact sur le marché immobilier⁠4.

Qu’est-ce qui explique l’explosion ? Impossible d’avoir des réponses précises et rapides d’Immigration Canada. Y a-t-il un mauvais décompte ? Un retard des traitements qui a été comblé ? Un changement réglementaire favorisant le boom ?

L’agence Statistique Canada fera justement le point mercredi matin sur ces résidents non permanents, après discussions avec Immigration Canada et les experts provinciaux. Son avis parle d’un niveau record au premier trimestre de 2023⁠5.

Selon mes recherches, les Ukrainiens, les travailleurs temporaires appelés à soulager la pénurie de main-d’œuvre et les demandeurs d’asile dans les aéroports, entre autres, expliquent la situation. Immigration Canada est aussi plus permissif (voir autre texte).

Quoiqu’il en soit, ce boom d’immigration fait pression sur le marché résidentiel, mais aussi sur les services publics, comme la santé et l’éducation, déjà débordés. Et il laisse craindre qu’il nuise aux objectifs canadiens d’immigration, notamment chez les étudiants étrangers de pays industriels, qui pourraient aller voir ailleurs.

Marocaine d’origine, Me Nadia Barrou, qui a immigré ici il y a une quarantaine d’années, s’inquiète. « Je le dis avec bienveillance, mais c’est démesuré, ce qui se passe. On veut de l’immigration, bien sûr, c’est mon métier. Mais on n’arrive pas à donner notre meilleur, parce qu’il nous manque d’infrastructures d’accueil pour les immigrants et qu’il y a des délais incroyables. On ne tient plus compte de l’angoisse des nouveaux arrivants, qui sont désemparés.

L’afflux peut aussi créer des tensions, éveiller un sentiment anti-immigrant dans la population, qui peine à avoir des services de santé, de garderie et autres.

Nadia Barrou, avocate spécialisée en immigration

Peut-être sera-t-il possible d’amoindrir la pénurie de logements, à un moment donné. Après tout, le flot d’Ukrainiens finira par se tarir, Ottawa pourrait tempérer ses objectifs d’immigration et les autorités pourraient assouplir certaines règles urbanistiques, par exemple en permettant davantage de logements accessoires (sous-sol, cours arrière, cases de stationnement, etc.).

Il faut toutefois faire une croix sur l’abordabilité, m’expliquent des entrepreneurs, en mal de solutions pour réduire leurs coûts, surtout avec le niveau des taux d’intérêt. Un logement neuf de quatre pièces et demie à 1800 $ par mois dans la région de Montréal n’est plus une exception.


D’ailleurs, une récente étude de la SCHL conclut que pour retrouver l’abordabilité des années 2000, la hausse de l’offre de logements devrait être telle qu’il faudrait multiplier par trois la construction de logements au Québec d’ici 2030, à 150 000 mises en chantier par année.

Or, le record québécois de tous les temps est de 74 000, en 1987, et l’industrie vit une pénurie de main-d’œuvre actuellement, rappelons-le.

Oublions la pensée magique, il faudra vivre avec cette nouvelle réalité du logement pendant longtemps…

1. Lisez l’article « Laurent Ferreira, PDG de la Banque Nationale – « C’est le moment d’être prudent » »
2. Ces données sont un peu différentes de celles généralement publiées par la SCHL, puisque j’ai fait une moyenne mobile de six mois des mises en chantier dessaisonalisées, question de mieux saisir les tendances.

3. La part du locatif au Québec est bien plus grande aujourd’hui (58 %) qu’il y a 10 ans (20 %), comme au Canada d’ailleurs (30 % en 2022 contre 12 % en 2012).

4. Une partie de la hausse peut s’expliquer par le renouvellement de permis de travail déjà accordés, mais l’essentiel vient des nouveaux titulaires.

5. Lisez la publication de Statistique Canada
D’où vient le boom ?
Divers facteurs expliquent l’explosion du nombre de résidents non permanents. Parmi eux figure le flot d’Ukrainiens, les travailleurs temporaires et la plus grande permissivité d’Immigration Canada.

Depuis un an, la rareté de main-d’œuvre a incité les entreprises à multiplier les demandes de travailleurs en vertu du Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET), surtout au Québec.

Le rythme ralentira au cours des prochains mois avec le ralentissement économique, si l’on se fie aux données et observations sur le terrain de la firme spécialisée Auray Sourcing. Tout de même, les demandes des entreprises pour obtenir des permis PTET continuent d’être bien plus fortes qu’avant la pandémie, ce qui est précurseur de l’entrée de nouveaux arrivants dans les prochains mois.

Les Ukrainiens
Le boom vient aussi de l’afflux d’Ukrainiens qui ont fui la guerre. Pour leur accorder rapidement des permis de travail, le fédéral a adopté un volet spécifique dans son Programme de mobilité internationale (PMI).

L’effet est clair : au cours des sept premiers mois de 2023, plus de 69 000 Ukrainiens ont reçu leur permis de travail au Canada – une bonne part au Québec – et à ce rythme, le volume dépassera de 50 % celui de 2022.

L’explosion vient aussi des étudiants étrangers qui se trouvent du travail au Canada une fois leur diplôme terminé (les post-diplômes). Le phénomène est en croissance au Québec, mais il est toutefois beaucoup plus important en Ontario, où il représente même 35 % des nouveaux permis de travail des résidents non permanents de 2023, contre 10 % au Québec.

Le contingent d’étudiants indiens, entre autres, est très fort au Canada anglais.

Mais il y a autre chose. La forte croissance vient aussi de l’élargissement, ces derniers mois, des catégories d’immigrants temporaires pour lesquelles le fédéral n’exige plus que soit faite une enquête d’impact sur le marché du travail pour avoir un permis.

Avant 2023, par exemple, seuls les employés dits « qualifiés » pouvaient faire venir leurs conjoints et enfants au Canada et leur permettre d’obtenir un permis de travail ouvert. Cette exigence du PMI a été élargie à tout type d’emploi, que ce soit serveur ou ingénieur, m’explique l’avocate spécialisée en immigration Nadia Barrou, de Montréal.

Et elle s’applique partout au Canada, même au Québec, sans que le gouvernement Legault ait son mot à dire.

Autre élément important : une mesure contestée d’Immigration Canada a gonflé d’un coup les demandes d’asile dans les aéroports canadiens ces derniers mois, notamment de ressortissants d’Afrique de l’Ouest, mais aussi de l’Inde, entre autres⁠1.


Et pour nombre d’entre eux, un permis de travail est presque automatiquement accordé, même si le statut de réfugié n’est pas encore attesté, chose qui peut prendre plusieurs mois, m’explique Mme Barrou.

Un regard sur l’origine des titulaires de permis permet de constater qu’un fort contingent d’immigrants temporaires provient de pays en situation trouble, comme Haïti, l’Iran et le Nigeria, dont les ressortissants obtiennent des permis en vertu du PMI.

Les ressortissants d’origine indienne, cela dit, sont les plus nombreux à immigrer temporairement au Canada, et de très loin. Le constat est frappant dans le contexte des récentes tensions avec l’Inde lié à l’assassinat d’un leader sikh.

Même chose pour les écoles et tout le reste !!! Je n'ai rien contre les arrivants des autres pays mais on doit commencer par penser à nous avant d'accueillir des réfugiés non ???
Et ce n'est pas la faute de Mr Legault car c'est le fédéral qui décide !!!
On n'invite pas des gens quand on en a pas assez pour se nourrir nous-même hein !!!
Le problème c'est quand ce n'est pas nous qui les invite mais un étranger.... quelqu'un qui n'habite pas dans notre maison....... :-(

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Le manque de logements .

par Blake, dimanche 07 janvier 2024, 20:58 (il y a 413 jours) @ Claudie

https://www.lapresse.ca/affaires/chroniques/2023-09-27/penurie-de-logements-et-loyers/l...

Pénurie de logements et loyers Le boom d’immigrants secoue le marché

PHOTO IVANOH DEMERS, ARCHIVES LA PRESSE

Le rythme d’entrée des nouveaux arrivants au pays est tel qu’il devient difficile à soutenir pour le marché immobilier locatif. Au cours des sept premiers mois de l’année, les autorités ont délivré plus de 122 000 nouveaux permis de travail aux résidents temporaires du Québec.

Francis Vailles
FRANCIS VAILLES
LA PRESSE
Désolé de vous décevoir, mais la pénurie de logements ne ralentira pas l’an prochain ni dans trois ans, elle risque plutôt de s’aggraver. Et avec elle, la pression à la hausse sur les loyers.

Mis à jour le 27 sept. 2023Partager
L’une des principales raisons n’a rien à voir avec la spéculation, l’offre de logements ou les normes municipales, mais avec la demande, notamment le boom d’immigration planifié par Ottawa.

Qu’on se comprenne bien, l’immigration est un bienfait, selon la plupart des experts. Sauf que le rythme d’entrée des nouveaux arrivants est tel qu’il devient difficile à soutenir pour le marché immobilier locatif.

Les chiffres que j’ai épluchés sur l’immigration temporaire sont frappants. L’année 2023 dépassera très nettement 2022, qui était déjà un record.

Pour faire image, ce flot de nouveaux arrivants au Québec en 2023 devrait dépassser la population de la Ville de Sherbrooke (environ 175 000), selon ce qu’on comprend des données d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada. Et la plupart s’installent dans la région de Montréal.

Je ne suis pas le seul à faire ce constat : le président de la Banque Nationale, Laurent Ferreira, appuyé par son économiste en chef, Stéfane Marion, juge que la forte croissance de la population canadienne nourrie par l’immigration est inflationniste, notamment sur le logement⁠1.

Deux phénomènes se conjuguent. Les mises en chantier de logements sont en baisse marquée et l’immigration temporaire explose.

Après un record en 2021, les mises en chantier se sont littéralement dégonflées, avec la hausse des taux d’intérêt. Au Québec, les nouveaux logements locatifs – premier havre des immigrants – se construisent au rythme annualisé de moins de 20 000, actuellement, loin des 48 000 de juin 2021⁠2.

Phénomène semblable dans l’ensemble canadien, quoique moins marqué : le rythme annuel de 95 000 mises en chantier locatif en octobre 2022 a chuté à 81 000 le mois dernier⁠3.


Pendant ce temps, l’arrivée des résidents non permanents s’accélère, si l’on se fie aux permis de travail accordés par Immigration Canada.

Au cours des sept premiers mois de l’année, les autorités ont délivré plus de 122 000 nouveaux permis de travail aux résidents temporaires du Québec.

À ce rythme, le Québec absorberait plus de 200 000 nouveaux travailleurs non permanents en 2023, soit plus du double du record de 2022 (94 195) et trois fois le volume prépandémique de 2019 (70 000). Et encore, il faut ajouter l’accroissement des nouveaux étudiants étrangers.


Pour l’ensemble du Canada, le nombre de permis de travail est aussi en voie de doubler l’année record de 2022, et excédera 1,1 million, si la tendance se maintient. Avec les nouveaux étudiants étrangers, ce chiffre devrait être encore plus élevé.

Bref, la hausse est exponentielle et elle a nécessairement un impact sur le marché immobilier⁠4.

Qu’est-ce qui explique l’explosion ? Impossible d’avoir des réponses précises et rapides d’Immigration Canada. Y a-t-il un mauvais décompte ? Un retard des traitements qui a été comblé ? Un changement réglementaire favorisant le boom ?

L’agence Statistique Canada fera justement le point mercredi matin sur ces résidents non permanents, après discussions avec Immigration Canada et les experts provinciaux. Son avis parle d’un niveau record au premier trimestre de 2023⁠5.

Selon mes recherches, les Ukrainiens, les travailleurs temporaires appelés à soulager la pénurie de main-d’œuvre et les demandeurs d’asile dans les aéroports, entre autres, expliquent la situation. Immigration Canada est aussi plus permissif (voir autre texte).

Quoiqu’il en soit, ce boom d’immigration fait pression sur le marché résidentiel, mais aussi sur les services publics, comme la santé et l’éducation, déjà débordés. Et il laisse craindre qu’il nuise aux objectifs canadiens d’immigration, notamment chez les étudiants étrangers de pays industriels, qui pourraient aller voir ailleurs.

Marocaine d’origine, Me Nadia Barrou, qui a immigré ici il y a une quarantaine d’années, s’inquiète. « Je le dis avec bienveillance, mais c’est démesuré, ce qui se passe. On veut de l’immigration, bien sûr, c’est mon métier. Mais on n’arrive pas à donner notre meilleur, parce qu’il nous manque d’infrastructures d’accueil pour les immigrants et qu’il y a des délais incroyables. On ne tient plus compte de l’angoisse des nouveaux arrivants, qui sont désemparés.

L’afflux peut aussi créer des tensions, éveiller un sentiment anti-immigrant dans la population, qui peine à avoir des services de santé, de garderie et autres.

Nadia Barrou, avocate spécialisée en immigration

Peut-être sera-t-il possible d’amoindrir la pénurie de logements, à un moment donné. Après tout, le flot d’Ukrainiens finira par se tarir, Ottawa pourrait tempérer ses objectifs d’immigration et les autorités pourraient assouplir certaines règles urbanistiques, par exemple en permettant davantage de logements accessoires (sous-sol, cours arrière, cases de stationnement, etc.).

Il faut toutefois faire une croix sur l’abordabilité, m’expliquent des entrepreneurs, en mal de solutions pour réduire leurs coûts, surtout avec le niveau des taux d’intérêt. Un logement neuf de quatre pièces et demie à 1800 $ par mois dans la région de Montréal n’est plus une exception.


D’ailleurs, une récente étude de la SCHL conclut que pour retrouver l’abordabilité des années 2000, la hausse de l’offre de logements devrait être telle qu’il faudrait multiplier par trois la construction de logements au Québec d’ici 2030, à 150 000 mises en chantier par année.

Or, le record québécois de tous les temps est de 74 000, en 1987, et l’industrie vit une pénurie de main-d’œuvre actuellement, rappelons-le.

Oublions la pensée magique, il faudra vivre avec cette nouvelle réalité du logement pendant longtemps…

1. Lisez l’article « Laurent Ferreira, PDG de la Banque Nationale – « C’est le moment d’être prudent » »
2. Ces données sont un peu différentes de celles généralement publiées par la SCHL, puisque j’ai fait une moyenne mobile de six mois des mises en chantier dessaisonalisées, question de mieux saisir les tendances.

3. La part du locatif au Québec est bien plus grande aujourd’hui (58 %) qu’il y a 10 ans (20 %), comme au Canada d’ailleurs (30 % en 2022 contre 12 % en 2012).

4. Une partie de la hausse peut s’expliquer par le renouvellement de permis de travail déjà accordés, mais l’essentiel vient des nouveaux titulaires.

5. Lisez la publication de Statistique Canada
D’où vient le boom ?
Divers facteurs expliquent l’explosion du nombre de résidents non permanents. Parmi eux figure le flot d’Ukrainiens, les travailleurs temporaires et la plus grande permissivité d’Immigration Canada.

Depuis un an, la rareté de main-d’œuvre a incité les entreprises à multiplier les demandes de travailleurs en vertu du Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET), surtout au Québec.

Le rythme ralentira au cours des prochains mois avec le ralentissement économique, si l’on se fie aux données et observations sur le terrain de la firme spécialisée Auray Sourcing. Tout de même, les demandes des entreprises pour obtenir des permis PTET continuent d’être bien plus fortes qu’avant la pandémie, ce qui est précurseur de l’entrée de nouveaux arrivants dans les prochains mois.

Les Ukrainiens
Le boom vient aussi de l’afflux d’Ukrainiens qui ont fui la guerre. Pour leur accorder rapidement des permis de travail, le fédéral a adopté un volet spécifique dans son Programme de mobilité internationale (PMI).

L’effet est clair : au cours des sept premiers mois de 2023, plus de 69 000 Ukrainiens ont reçu leur permis de travail au Canada – une bonne part au Québec – et à ce rythme, le volume dépassera de 50 % celui de 2022.

L’explosion vient aussi des étudiants étrangers qui se trouvent du travail au Canada une fois leur diplôme terminé (les post-diplômes). Le phénomène est en croissance au Québec, mais il est toutefois beaucoup plus important en Ontario, où il représente même 35 % des nouveaux permis de travail des résidents non permanents de 2023, contre 10 % au Québec.

Le contingent d’étudiants indiens, entre autres, est très fort au Canada anglais.

Mais il y a autre chose. La forte croissance vient aussi de l’élargissement, ces derniers mois, des catégories d’immigrants temporaires pour lesquelles le fédéral n’exige plus que soit faite une enquête d’impact sur le marché du travail pour avoir un permis.

Avant 2023, par exemple, seuls les employés dits « qualifiés » pouvaient faire venir leurs conjoints et enfants au Canada et leur permettre d’obtenir un permis de travail ouvert. Cette exigence du PMI a été élargie à tout type d’emploi, que ce soit serveur ou ingénieur, m’explique l’avocate spécialisée en immigration Nadia Barrou, de Montréal.

Et elle s’applique partout au Canada, même au Québec, sans que le gouvernement Legault ait son mot à dire.

Autre élément important : une mesure contestée d’Immigration Canada a gonflé d’un coup les demandes d’asile dans les aéroports canadiens ces derniers mois, notamment de ressortissants d’Afrique de l’Ouest, mais aussi de l’Inde, entre autres⁠1.


Et pour nombre d’entre eux, un permis de travail est presque automatiquement accordé, même si le statut de réfugié n’est pas encore attesté, chose qui peut prendre plusieurs mois, m’explique Mme Barrou.

Un regard sur l’origine des titulaires de permis permet de constater qu’un fort contingent d’immigrants temporaires provient de pays en situation trouble, comme Haïti, l’Iran et le Nigeria, dont les ressortissants obtiennent des permis en vertu du PMI.

Les ressortissants d’origine indienne, cela dit, sont les plus nombreux à immigrer temporairement au Canada, et de très loin. Le constat est frappant dans le contexte des récentes tensions avec l’Inde lié à l’assassinat d’un leader sikh.

Même chose pour les écoles et tout le reste !!! Je n'ai rien contre les arrivants des autres pays mais on doit commencer par penser à nous avant d'accueillir des réfugiés non ???
Et ce n'est pas la faute de Mr Legault car c'est le fédéral qui décide !!!
On n'invite pas des gens quand on en a pas assez pour se nourrir nous-même hein !!!
Le problème c'est quand ce n'est pas nous qui les invite mais un étranger.... quelqu'un qui n'habite pas dans notre maison....... :-(


Concernant le logement, faudrait pas oublier les crosseurs qui transforment leurs logements en airbnb et les rénovictions. Ça, ça met du monde à la rue.

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Le manque de logements .

par Ammabaoth @, dimanche 07 janvier 2024, 21:56 (il y a 413 jours) @ Blake

Je comprend pas pourquoi les RBNB ne seraient pas bien où bon ?

Je que j'en ai compris.

Est que des gens feraient de l'argent avec ça.

Et que le gouvernement mafieux n'aurait pas ça part ?

Moi je ne vois rien de mal à faire de l'argent sans que le gouvernement mafieux est ça part.

Pourquoi le gouvernement faudrait qu'il est toujours ça part et qu'il décide tout ?

--
☆Ammabaoth☆

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Le manque de logements .

par Dédé, dimanche 07 janvier 2024, 22:34 (il y a 413 jours) @ Blake

Même chose pour les écoles et tout le reste !!! Je n'ai rien contre les arrivants des autres pays mais on doit commencer par penser à nous avant d'accueillir des réfugiés non ???
Et ce n'est pas la faute de Mr Legault car c'est le fédéral qui décide !!!
On n'invite pas des gens quand on en a pas assez pour se nourrir nous-même hein !!!
Le problème c'est quand ce n'est pas nous qui les invite mais un étranger.... quelqu'un qui n'habite pas dans notre maison....... :-(


Concernant le logement, faudrait pas oublier les crosseurs qui transforment leurs logements en airbnb et les rénovictions. Ça, ça met du monde à la rue.

_________________

Ce n'est que la pointe de l'iceberg pour ces crosseurs concernant la pénurie de logement et évidemment, ces crosseurs profitent de la demande pour augmenter leurs logements vu la rareté par cette demande, à cause justement de l'immigration. Donc, l'immigration est la principale cause de la crise du logement, partout au Québec.

Même chose pour le système de la Santé, le système scolaire et la pénurie de main-d'oeuvre. Évidemment, il faut créer plus d'embauche et octroyer plus d'entrer pour les études en ajoutant des primes pour attirer les gens pour s'y inscrire. Aussi, il faudra être moins rigide pour les attestations des expertises professionnelles que détiennent les migrants en les inscrivants dans leur domaine d'expertise afin qu'ils puissent pratiquer.

En Santé, il y a pas assez d'embauche à temps plein, Il y a trop de poste à temps partiel et ça rend trop une insécurité d'emploi et que pour la plupart des gens inscrits sur les listes d'attente ou de remplacement, préfèrent plutôt trouver un autre emploi. Donc, vu l'augmentation de la population surtout à Montréal et les environs, le gouvernement devra ouvrir davantage les coffres pour améliorer la situation de main-d'oeuvre en octroyant plus de poste à temps plein au lieu d'enrichir les pousseux de crayon dans les CIUSSS.

Concernant le système scolaire, il faudrait construire d'autres écoles avec l'arrivée massive de l'immigration et aussi même si le gouvernement est pro laïque, engager des étrangers pour les croyances religieuses auxquelles les enfants de tout âge sont soumis par leur famille, sans nécessairement créer des périodes de prière directement dans ces dites écoles. Il faut savoir que l'intégration est lente et qu'il faut une longue période d'adaptation pour ne créer en bout de ligne, des ghettos institutionnels. Dans un même temps, il faut aussi grossir la banque d'emploi pour le professorat et pour les experts en santé mentale et autres spécialités nécessaire aux développement des enfants. Couillard a fait un coup de barre fastidieux pour ces services en éducation et il faudrait que le gouvernement actuel rétablisse ce que nous avions avant cette cassure.

Quant à l'emploi, pour bien faire il faut un incitatif et le seul moyen de parvenir à éradiquer cette pénurie de main-d'oeuvre, c'est de placer la barre haute pour le salaire minimum. Avec le contexte économique actuel, nous ne sommes plus dans les années 70 pour avoir un salaire minimum aussi bas. À mon avis, il faut au minimum de 25$/heure et se foutre des doléances des employeurs qui ne rêvent que d'avoir ce que personne d'autres peuvent s'offrir avec un salaire minimum. Ils ont juste à s'adapter à cette nouvelle réalité que personne ne veut travailler pour des peanuts !

Est-ce utopique de voir se réaliser tout ceci ? Bien oui, c'est utopique !

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Le manque de logements .

par Dédé, dimanche 07 janvier 2024, 22:53 (il y a 413 jours) @ Ammabaoth

Je comprend pas pourquoi les RBNB ne seraient pas bien où bon ?

Je que j'en ai compris.

Est que des gens feraient de l'argent avec ça.

Et que le gouvernement mafieux n'aurait pas ça part ?

Moi je ne vois rien de mal à faire de l'argent sans que le gouvernement mafieux est ça part.

Pourquoi le gouvernement faudrait qu'il est toujours ça part et qu'il décide tout ?

______________

Le gouvernement ne peut rien faire contre ça. Si les gens sont assez fous pour louer un local à 300$ par jour, ce n'est certainement pas la faute à RBNB, eux ne font que des sous, en autant qu'ils déclarent leurs revenus.

Il y a tout de même des lois municipales concernant les logements locatifs. RBNB et autres compagnies connexes, ne peuvent pas louer à leur façon certains locaux avec ces lois municipales.

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Le manque de logements .

par Blake, lundi 08 janvier 2024, 01:33 (il y a 413 jours) @ Ammabaoth

Je comprend pas pourquoi les RBNB ne seraient pas bien où bon ?

Je que j'en ai compris.

Est que des gens feraient de l'argent avec ça.

Et que le gouvernement mafieux n'aurait pas ça part ?

Moi je ne vois rien de mal à faire de l'argent sans que le gouvernement mafieux est ça part.

Pourquoi le gouvernement faudrait qu'il est toujours ça part et qu'il décide tout ?

Si le gouvernement n'a pas sa part, les services se paient comment? Tu veux vivre dans la loi de la jungle? Tu aimes voir des gens dans la misère pour dire que ce n'est pas ton problème et qu'ils s'arrangent?

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Le manque de logements .

par Blake, lundi 08 janvier 2024, 01:41 (il y a 413 jours) @ Dédé

Même chose pour les écoles et tout le reste !!! Je n'ai rien contre les arrivants des autres pays mais on doit commencer par penser à nous avant d'accueillir des réfugiés non ???
Et ce n'est pas la faute de Mr Legault car c'est le fédéral qui décide !!!
On n'invite pas des gens quand on en a pas assez pour se nourrir nous-même hein !!!
Le problème c'est quand ce n'est pas nous qui les invite mais un étranger.... quelqu'un qui n'habite pas dans notre maison....... :-(


Concernant le logement, faudrait pas oublier les crosseurs qui transforment leurs logements en airbnb et les rénovictions. Ça, ça met du monde à la rue.

_________________

Ce n'est que la pointe de l'iceberg pour ces crosseurs concernant la pénurie de logement et évidemment, ces crosseurs profitent de la demande pour augmenter leurs logements vu la rareté par cette demande, à cause justement de l'immigration. Donc, l'immigration est la principale cause de la crise du logement, partout au Québec.

Même chose pour le système de la Santé, le système scolaire et la pénurie de main-d'oeuvre. Évidemment, il faut créer plus d'embauche et octroyer plus d'entrer pour les études en ajoutant des primes pour attirer les gens pour s'y inscrire. Aussi, il faudra être moins rigide pour les attestations des expertises professionnelles que détiennent les migrants en les inscrivants dans leur domaine d'expertise afin qu'ils puissent pratiquer.

En Santé, il y a pas assez d'embauche à temps plein, Il y a trop de poste à temps partiel et ça rend trop une insécurité d'emploi et que pour la plupart des gens inscrits sur les listes d'attente ou de remplacement, préfèrent plutôt trouver un autre emploi. Donc, vu l'augmentation de la population surtout à Montréal et les environs, le gouvernement devra ouvrir davantage les coffres pour améliorer la situation de main-d'oeuvre en octroyant plus de poste à temps plein au lieu d'enrichir les pousseux de crayon dans les CIUSSS.

Concernant le système scolaire, il faudrait construire d'autres écoles avec l'arrivée massive de l'immigration et aussi même si le gouvernement est pro laïque, engager des étrangers pour les croyances religieuses auxquelles les enfants de tout âge sont soumis par leur famille, sans nécessairement créer des périodes de prière directement dans ces dites écoles. Il faut savoir que l'intégration est lente et qu'il faut une longue période d'adaptation pour ne créer en bout de ligne, des ghettos institutionnels. Dans un même temps, il faut aussi grossir la banque d'emploi pour le professorat et pour les experts en santé mentale et autres spécialités nécessaire aux développement des enfants. Couillard a fait un coup de barre fastidieux pour ces services en éducation et il faudrait que le gouvernement actuel rétablisse ce que nous avions avant cette cassure.

Quant à l'emploi, pour bien faire il faut un incitatif et le seul moyen de parvenir à éradiquer cette pénurie de main-d'oeuvre, c'est de placer la barre haute pour le salaire minimum. Avec le contexte économique actuel, nous ne sommes plus dans les années 70 pour avoir un salaire minimum aussi bas. À mon avis, il faut au minimum de 25$/heure et se foutre des doléances des employeurs qui ne rêvent que d'avoir ce que personne d'autres peuvent s'offrir avec un salaire minimum. Ils ont juste à s'adapter à cette nouvelle réalité que personne ne veut travailler pour des peanuts !

Est-ce utopique de voir se réaliser tout ceci ? Bien oui, c'est utopique !

T'as pas le choix d'avoir de l'immigration, les Québécois ne font plus assez d'enfants. Les immigrants n'ont pas les moyens de se payer des logements chers donc c'est pas vraiment eux le problème mais que l'humain en veut toujours plus en fourrant son prochain. L'appât du gain. 25$, c'est un minimum avec ;e coût de la vie d'aujourd'hui. Mais évidemment, s'il y a trop d'immigrants, on crée un problème avec les services qui eux, ne s'améliorent pas surtout avec les riches qui cachent de l'argent dans les paradis fiscaux pour ne pas payer d'impôts et ne pas participer aux coûts des services mais quand c'est le temps de les utiliser, ils ne se gênent pas.

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Le manque de logements .

par Blake, lundi 08 janvier 2024, 01:44 (il y a 413 jours) @ Dédé

Je comprend pas pourquoi les RBNB ne seraient pas bien où bon ?

Je que j'en ai compris.

Est que des gens feraient de l'argent avec ça.

Et que le gouvernement mafieux n'aurait pas ça part ?

Moi je ne vois rien de mal à faire de l'argent sans que le gouvernement mafieux est ça part.

Pourquoi le gouvernement faudrait qu'il est toujours ça part et qu'il décide tout ?

______________

Le gouvernement ne peut rien faire contre ça. Si les gens sont assez fous pour louer un local à 300$ par jour, ce n'est certainement pas la faute à RBNB, eux ne font que des sous, en autant qu'ils déclarent leurs revenus.

Il y a tout de même des lois municipales concernant les logements locatifs. RBNB et autres compagnies connexes, ne peuvent pas louer à leur façon certains locaux avec ces lois municipales.

Ces lois sont assez faciles à contourner et il n'y a pas assez d'inspecteurs pour les faire respecter. Même chose pour les rénovictions.

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Le manque de logements .

par Ammabaoth @, lundi 08 janvier 2024, 04:03 (il y a 413 jours) @ Blake

Je comprend pas pourquoi les RBNB ne seraient pas bien où bon ?

Je que j'en ai compris.

Est que des gens feraient de l'argent avec ça.

Et que le gouvernement mafieux n'aurait pas ça part ?

Moi je ne vois rien de mal à faire de l'argent sans que le gouvernement mafieux est ça part.

Pourquoi le gouvernement faudrait qu'il est toujours ça part et qu'il décide tout ?


Si le gouvernement n'a pas sa part, les services se paient comment? Tu veux vivre dans la loi de la jungle? Tu aimes voir des gens dans la misère pour dire que ce n'est pas ton problème et qu'ils s'arrangent?

Non bien au contraire.

Regarde, je n'ai pas de maison.

J'aurais pu durant ma vie avec les revenus que j'ai fais

Je me suis découragé vis à vis tout les frais.

Je voudrais une petite maison.

Mais on me dit, que je ne peux pas construire ce que je veux.

Les maisons mobiles et où une maison construite avec un container "seacan" les villes veulent pas.

Le gouvernement perd des plumes par sa propre faute.

Il doit reconquérir le coeur des gens entre autre le mien.

--
☆Ammabaoth☆

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Le manque de logements .

par Dédé, lundi 08 janvier 2024, 04:40 (il y a 413 jours) @ Blake

Alors ce sont aux dirigeants de pallier aux manques en acceptant l'immigration. Lorsque ça entre à la pelleté, il faut construire en pelleté. :D

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Le manque de logements .

par Ammabaoth @, lundi 08 janvier 2024, 07:50 (il y a 413 jours) @ Dédé

Alors ce sont aux dirigeants de pallier aux manques en acceptant l'immigration. Lorsque ça entre à la pelleté, il faut construire en pelleté. :D

C'est au tour du Québec cet année de commencer à avoir son boumm économique.

Des maisons, des mines et Northvolt.

Les logements sociaux ?
Et les bidons ville non plus je sais pas si ils vont laissé les gens pauvres s'organiser.

--
☆Ammabaoth☆

«Personne ne s’est retrouvé à la rue» lors des quatre dernie

par Jéromec, lundi 08 janvier 2024, 08:10 (il y a 413 jours) @ Claudie

:bravo:
Avec un sombre idiot comme PM qui peine à comprendre l'ampleur du problème.... kâve de même c'est gênant..

https://www.noovo.info/nouvelle/personne-ne-sest-retrouve-a-la-rue-lors-des-quatre-dern...

«Personne ne s’est retrouvé à la rue» lors des quatre derniers 1er juillet, selon Legault

ublié le 19 juin 2023 à 15:53
Mis à jour le 19 juin 2023 à 18:20
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Questionné au sujet du nombre de ménages toujours à la recherche d’un logement en vue du 1er juillet, François Legault a affirmé lundi que personne ne s’était retrouvé à la rue lors de la période du déménagement au cours de son mandat.
«D’abord, il faut regarder l’expérience. Je suis rendu avec quatre 1er juillet d’expérience et ça s’est bien passé pour ces quatre 1er juillet. Quand je dis que ça s’est bien passé, c’est que personne ne s’est retrouvé à la rue», a déclaré le premier ministre en marge d’une conférence de presse.


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M. Legault a toutefois convenu que certaines personnes avaient temporairement dû être hébergées dans des hôtels.

«L’idée, c’est que personne ne se retrouve à la rue pour un cinquième 1er juillet depuis que je suis premier ministre. On travaille de concert avec les municipalités», a-t-il ajouté.

Le premier ministre a poursuivi en concédant que le Québec manquait de logements abordables, notamment pour les personnes âgées et que cela représentait un défi.

Voyez le reportage d'Étienne Fortin-Gauthier dans la vidéo liée à l'article.

«Le défi, c’est d’accélérer la construction de logement et on va financer, soit directement des logements, soit acheter des logements existants, soit donner de l’aide au logement. On est ouverts à créer des logements», a indiqué François Legault.

Le gouvernement qu'il dirige a mis du temps à reconnaître qu'il y avait bel et bien une crise du logement au Québec et tente par tous les moyens de faire démarrer des constructions plus hâtives de logements dans l'espoir d'effectuer un rattrapage.

«Ce qu'il est important de comprendre, c'est que un: il manque de logements abordables; deux, il manque aussi pour la classe moyenne de logements tout court, de logements entre autres pour les familles et en particulier à Montréal, mais aussi dans d'autres régions.

Des 1er juillet de plus en plus difficiles, réplique le FRAPRU
La porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), Véronique Laflamme, a toutefois démenti les affirmations du premier ministre. «Au moins 600 ménages locataires étaient sans bail l'an dernier au 1er juillet, dans certains cas, ça a pris des semaines à se reloger», a-t-elle réagi sur Twitter.

En entrevue avec Noovo Info, Mme Laflamme a déploré que le 1er juillet, comme la crise du logement, étaient gérés comme «des opérations de communication publique».


«On joue sur les mots et on dirait que parce que le premier ministre n'a vu personne sur le trottoir, on a l'impression que personne n'était dans la rue. Mais dans les quatre dernières années, on a des 1er juillet de plus en plus difficile», a noté la porte-parole du FRAPRU, ajoutant que la situation du logement se détériorait «de plus en plus rapidement».

D'après elle, le nombre de ménages sans bail à l'arrivée du 1er juillet est en augmentation constante depuis quatre ans. Selon les chiffres du FRAPRU, 175 ménages locataires étaient sans bail le 1er juillet en 2019. Ces chiffres atteignaient 350 en 2020, 500 en 2021 et 600 en 2022.

Réaction du PLQ
La porte-parole libérale en matière d'habitation, Virginie Dufour, a réagi vivement aux propos du premier ministre, qu'elle accuse d'être «complètement déconnecté de la situation actuelle du logement au Québec».

Dans un communiqué publié peu de temps après la déclaration de M. Legault, elle affirme que «le chef caquiste ose se vanter qu'il a toujours réussi à passer à travers cette date sans que personne ne soit mis à la rue. Après avoir nié la crise du logement pendant des années, il conserve ses lunettes roses en ignorant complètement le taux d'inoccupation de logements qui n'a jamais été aussi bas qu'en ce moment.»

Avec des informations d'Émilie Clavel pour Noovo Info et de Pierre Saint-Arnaud, La Presse canadienne.

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Le manque de logements .

par Blake, lundi 08 janvier 2024, 11:00 (il y a 413 jours) @ Ammabaoth

Je comprend pas pourquoi les RBNB ne seraient pas bien où bon ?

Je que j'en ai compris.

Est que des gens feraient de l'argent avec ça.

Et que le gouvernement mafieux n'aurait pas ça part ?

Moi je ne vois rien de mal à faire de l'argent sans que le gouvernement mafieux est ça part.

Pourquoi le gouvernement faudrait qu'il est toujours ça part et qu'il décide tout ?


Si le gouvernement n'a pas sa part, les services se paient comment? Tu veux vivre dans la loi de la jungle? Tu aimes voir des gens dans la misère pour dire que ce n'est pas ton problème et qu'ils s'arrangent?


Non bien au contraire.

Regarde, je n'ai pas de maison.

J'aurais pu durant ma vie avec les revenus que j'ai fais

Je me suis découragé vis à vis tout les frais.

Je voudrais une petite maison.

Mais on me dit, que je ne peux pas construire ce que je veux.

Les maisons mobiles et où une maison construite avec un container "seacan" les villes veulent pas.

Le gouvernement perd des plumes par sa propre faute.

Il doit reconquérir le coeur des gens entre autre le mien.

Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.

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Le manque de logements .

par Blake, lundi 08 janvier 2024, 11:07 (il y a 413 jours) @ Dédé

Alors ce sont aux dirigeants de pallier aux manques en acceptant l'immigration. Lorsque ça entre à la pelleté, il faut construire en pelleté. :D

Il faut y aller avec le nombre qui est possible de recevoir à mesure qu'on avance. Je regarde par ici, il y a plein d'immigrants qui comblent des postes et surtout dans les hôpitaux. Donc, s'ils ne sont pas là, il y a un problème. Je pense qu'on n'a pas le choix de recevoir des nouveaux arrivants mais ça ne veut pas dire qu'un calcul raisonnable ne peut pas être fait afin de ne pas loader le Québec.

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«Personne ne s’est retrouvé à la rue» lors des quatre dernie

par Blake, lundi 08 janvier 2024, 11:10 (il y a 413 jours) @ Jéromec

:bravo:
Avec un sombre idiot comme PM qui peine à comprendre l'ampleur du problème.... kâve de même c'est gênant..

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ublié le 19 juin 2023 à 15:53
Mis à jour le 19 juin 2023 à 18:20
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Questionné au sujet du nombre de ménages toujours à la recherche d’un logement en vue du 1er juillet, François Legault a affirmé lundi que personne ne s’était retrouvé à la rue lors de la période du déménagement au cours de son mandat.
«D’abord, il faut regarder l’expérience. Je suis rendu avec quatre 1er juillet d’expérience et ça s’est bien passé pour ces quatre 1er juillet. Quand je dis que ça s’est bien passé, c’est que personne ne s’est retrouvé à la rue», a déclaré le premier ministre en marge d’une conférence de presse.


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«L’idée, c’est que personne ne se retrouve à la rue pour un cinquième 1er juillet depuis que je suis premier ministre. On travaille de concert avec les municipalités», a-t-il ajouté.

Le premier ministre a poursuivi en concédant que le Québec manquait de logements abordables, notamment pour les personnes âgées et que cela représentait un défi.

Voyez le reportage d'Étienne Fortin-Gauthier dans la vidéo liée à l'article.

«Le défi, c’est d’accélérer la construction de logement et on va financer, soit directement des logements, soit acheter des logements existants, soit donner de l’aide au logement. On est ouverts à créer des logements», a indiqué François Legault.

Le gouvernement qu'il dirige a mis du temps à reconnaître qu'il y avait bel et bien une crise du logement au Québec et tente par tous les moyens de faire démarrer des constructions plus hâtives de logements dans l'espoir d'effectuer un rattrapage.

«Ce qu'il est important de comprendre, c'est que un: il manque de logements abordables; deux, il manque aussi pour la classe moyenne de logements tout court, de logements entre autres pour les familles et en particulier à Montréal, mais aussi dans d'autres régions.

Des 1er juillet de plus en plus difficiles, réplique le FRAPRU
La porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), Véronique Laflamme, a toutefois démenti les affirmations du premier ministre. «Au moins 600 ménages locataires étaient sans bail l'an dernier au 1er juillet, dans certains cas, ça a pris des semaines à se reloger», a-t-elle réagi sur Twitter.

En entrevue avec Noovo Info, Mme Laflamme a déploré que le 1er juillet, comme la crise du logement, étaient gérés comme «des opérations de communication publique».


«On joue sur les mots et on dirait que parce que le premier ministre n'a vu personne sur le trottoir, on a l'impression que personne n'était dans la rue. Mais dans les quatre dernières années, on a des 1er juillet de plus en plus difficile», a noté la porte-parole du FRAPRU, ajoutant que la situation du logement se détériorait «de plus en plus rapidement».

D'après elle, le nombre de ménages sans bail à l'arrivée du 1er juillet est en augmentation constante depuis quatre ans. Selon les chiffres du FRAPRU, 175 ménages locataires étaient sans bail le 1er juillet en 2019. Ces chiffres atteignaient 350 en 2020, 500 en 2021 et 600 en 2022.

Réaction du PLQ
La porte-parole libérale en matière d'habitation, Virginie Dufour, a réagi vivement aux propos du premier ministre, qu'elle accuse d'être «complètement déconnecté de la situation actuelle du logement au Québec».

Dans un communiqué publié peu de temps après la déclaration de M. Legault, elle affirme que «le chef caquiste ose se vanter qu'il a toujours réussi à passer à travers cette date sans que personne ne soit mis à la rue. Après avoir nié la crise du logement pendant des années, il conserve ses lunettes roses en ignorant complètement le taux d'inoccupation de logements qui n'a jamais été aussi bas qu'en ce moment.»

Avec des informations d'Émilie Clavel pour Noovo Info et de Pierre Saint-Arnaud, La Presse canadienne.

Ciboire! Pas croyable de lire ça. Legault en fume du bon. Une idéologie à la Duhaimagogue et Poildecul. On aura tout vu.

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«Personne ne s’est retrouvé à la rue» lors des quatre dernie

par Dédé, lundi 08 janvier 2024, 12:01 (il y a 413 jours) @ Blake

:bravo:
Avec un sombre idiot comme PM qui peine à comprendre l'ampleur du problème.... kâve de même c'est gênant..

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«Personne ne s’est retrouvé à la rue» lors des quatre derniers 1er juillet, selon Legault

ublié le 19 juin 2023 à 15:53
Mis à jour le 19 juin 2023 à 18:20
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Questionné au sujet du nombre de ménages toujours à la recherche d’un logement en vue du 1er juillet, François Legault a affirmé lundi que personne ne s’était retrouvé à la rue lors de la période du déménagement au cours de son mandat.
«D’abord, il faut regarder l’expérience. Je suis rendu avec quatre 1er juillet d’expérience et ça s’est bien passé pour ces quatre 1er juillet. Quand je dis que ça s’est bien passé, c’est que personne ne s’est retrouvé à la rue», a déclaré le premier ministre en marge d’une conférence de presse.


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«L’idée, c’est que personne ne se retrouve à la rue pour un cinquième 1er juillet depuis que je suis premier ministre. On travaille de concert avec les municipalités», a-t-il ajouté.

Le premier ministre a poursuivi en concédant que le Québec manquait de logements abordables, notamment pour les personnes âgées et que cela représentait un défi.

Voyez le reportage d'Étienne Fortin-Gauthier dans la vidéo liée à l'article.

«Le défi, c’est d’accélérer la construction de logement et on va financer, soit directement des logements, soit acheter des logements existants, soit donner de l’aide au logement. On est ouverts à créer des logements», a indiqué François Legault.

Le gouvernement qu'il dirige a mis du temps à reconnaître qu'il y avait bel et bien une crise du logement au Québec et tente par tous les moyens de faire démarrer des constructions plus hâtives de logements dans l'espoir d'effectuer un rattrapage.

«Ce qu'il est important de comprendre, c'est que un: il manque de logements abordables; deux, il manque aussi pour la classe moyenne de logements tout court, de logements entre autres pour les familles et en particulier à Montréal, mais aussi dans d'autres régions.

Des 1er juillet de plus en plus difficiles, réplique le FRAPRU
La porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), Véronique Laflamme, a toutefois démenti les affirmations du premier ministre. «Au moins 600 ménages locataires étaient sans bail l'an dernier au 1er juillet, dans certains cas, ça a pris des semaines à se reloger», a-t-elle réagi sur Twitter.

En entrevue avec Noovo Info, Mme Laflamme a déploré que le 1er juillet, comme la crise du logement, étaient gérés comme «des opérations de communication publique».


«On joue sur les mots et on dirait que parce que le premier ministre n'a vu personne sur le trottoir, on a l'impression que personne n'était dans la rue. Mais dans les quatre dernières années, on a des 1er juillet de plus en plus difficile», a noté la porte-parole du FRAPRU, ajoutant que la situation du logement se détériorait «de plus en plus rapidement».

D'après elle, le nombre de ménages sans bail à l'arrivée du 1er juillet est en augmentation constante depuis quatre ans. Selon les chiffres du FRAPRU, 175 ménages locataires étaient sans bail le 1er juillet en 2019. Ces chiffres atteignaient 350 en 2020, 500 en 2021 et 600 en 2022.

Réaction du PLQ
La porte-parole libérale en matière d'habitation, Virginie Dufour, a réagi vivement aux propos du premier ministre, qu'elle accuse d'être «complètement déconnecté de la situation actuelle du logement au Québec».

Dans un communiqué publié peu de temps après la déclaration de M. Legault, elle affirme que «le chef caquiste ose se vanter qu'il a toujours réussi à passer à travers cette date sans que personne ne soit mis à la rue. Après avoir nié la crise du logement pendant des années, il conserve ses lunettes roses en ignorant complètement le taux d'inoccupation de logements qui n'a jamais été aussi bas qu'en ce moment.»

Avec des informations d'Émilie Clavel pour Noovo Info et de Pierre Saint-Arnaud, La Presse canadienne.


Ciboire! Pas croyable de lire ça. Legault en fume du bon. Une idéologie à la Duhaimagogue et Poildecul. On aura tout vu.

________________

Ben non, ben non, il fait juste de la démence ! :mdr:

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«Personne ne s’est retrouvé à la rue» lors des quatre dernie

par Blake, lundi 08 janvier 2024, 12:04 (il y a 413 jours) @ Dédé

:bravo:
Avec un sombre idiot comme PM qui peine à comprendre l'ampleur du problème.... kâve de même c'est gênant..

https://www.noovo.info/nouvelle/personne-ne-sest-retrouve-a-la-rue-lors-des-quatre-dern...

«Personne ne s’est retrouvé à la rue» lors des quatre derniers 1er juillet, selon Legault

ublié le 19 juin 2023 à 15:53
Mis à jour le 19 juin 2023 à 18:20
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Questionné au sujet du nombre de ménages toujours à la recherche d’un logement en vue du 1er juillet, François Legault a affirmé lundi que personne ne s’était retrouvé à la rue lors de la période du déménagement au cours de son mandat.
«D’abord, il faut regarder l’expérience. Je suis rendu avec quatre 1er juillet d’expérience et ça s’est bien passé pour ces quatre 1er juillet. Quand je dis que ça s’est bien passé, c’est que personne ne s’est retrouvé à la rue», a déclaré le premier ministre en marge d’une conférence de presse.


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M. Legault a toutefois convenu que certaines personnes avaient temporairement dû être hébergées dans des hôtels.

«L’idée, c’est que personne ne se retrouve à la rue pour un cinquième 1er juillet depuis que je suis premier ministre. On travaille de concert avec les municipalités», a-t-il ajouté.

Le premier ministre a poursuivi en concédant que le Québec manquait de logements abordables, notamment pour les personnes âgées et que cela représentait un défi.

Voyez le reportage d'Étienne Fortin-Gauthier dans la vidéo liée à l'article.

«Le défi, c’est d’accélérer la construction de logement et on va financer, soit directement des logements, soit acheter des logements existants, soit donner de l’aide au logement. On est ouverts à créer des logements», a indiqué François Legault.

Le gouvernement qu'il dirige a mis du temps à reconnaître qu'il y avait bel et bien une crise du logement au Québec et tente par tous les moyens de faire démarrer des constructions plus hâtives de logements dans l'espoir d'effectuer un rattrapage.

«Ce qu'il est important de comprendre, c'est que un: il manque de logements abordables; deux, il manque aussi pour la classe moyenne de logements tout court, de logements entre autres pour les familles et en particulier à Montréal, mais aussi dans d'autres régions.

Des 1er juillet de plus en plus difficiles, réplique le FRAPRU
La porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), Véronique Laflamme, a toutefois démenti les affirmations du premier ministre. «Au moins 600 ménages locataires étaient sans bail l'an dernier au 1er juillet, dans certains cas, ça a pris des semaines à se reloger», a-t-elle réagi sur Twitter.

En entrevue avec Noovo Info, Mme Laflamme a déploré que le 1er juillet, comme la crise du logement, étaient gérés comme «des opérations de communication publique».


«On joue sur les mots et on dirait que parce que le premier ministre n'a vu personne sur le trottoir, on a l'impression que personne n'était dans la rue. Mais dans les quatre dernières années, on a des 1er juillet de plus en plus difficile», a noté la porte-parole du FRAPRU, ajoutant que la situation du logement se détériorait «de plus en plus rapidement».

D'après elle, le nombre de ménages sans bail à l'arrivée du 1er juillet est en augmentation constante depuis quatre ans. Selon les chiffres du FRAPRU, 175 ménages locataires étaient sans bail le 1er juillet en 2019. Ces chiffres atteignaient 350 en 2020, 500 en 2021 et 600 en 2022.

Réaction du PLQ
La porte-parole libérale en matière d'habitation, Virginie Dufour, a réagi vivement aux propos du premier ministre, qu'elle accuse d'être «complètement déconnecté de la situation actuelle du logement au Québec».

Dans un communiqué publié peu de temps après la déclaration de M. Legault, elle affirme que «le chef caquiste ose se vanter qu'il a toujours réussi à passer à travers cette date sans que personne ne soit mis à la rue. Après avoir nié la crise du logement pendant des années, il conserve ses lunettes roses en ignorant complètement le taux d'inoccupation de logements qui n'a jamais été aussi bas qu'en ce moment.»

Avec des informations d'Émilie Clavel pour Noovo Info et de Pierre Saint-Arnaud, La Presse canadienne.


Ciboire! Pas croyable de lire ça. Legault en fume du bon. Une idéologie à la Duhaimagogue et Poildecul. On aura tout vu.

________________

Ben non, ben non, il fait juste de la démence ! :mdr:

Ça va pas ben son affaire.

:D

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«Personne ne s’est retrouvé à la rue» lors des quatre dernie

par Dédé, lundi 08 janvier 2024, 12:06 (il y a 413 jours) @ Blake

Et ça veut faire un autre mandat, bâtèche de malade ! :mdr:

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Le manque de logements .

par Ammabaoth @, lundi 08 janvier 2024, 12:15 (il y a 413 jours) @ Blake


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.

M'a allé me cacher dans l'bois. :D

--
☆Ammabaoth☆

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Le manque de logements .

par Dédé, lundi 08 janvier 2024, 17:04 (il y a 413 jours) @ Ammabaoth


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.


M'a allé me cacher dans l'bois. :D

______________

Je te vois bien mal en Daniel Boone avec ton couvre-chef en raton laveur ! :mdr:

Le manque de logements .

par Un ange @, lundi 08 janvier 2024, 18:30 (il y a 412 jours) @ Claudie

Effectivement Claudie vous avez raison...On doit être sur de loger les nouveaux arrivants...avant de les faire venir a pochetée... C'est bien beau de combler les postes disponibles mais nous avons une responsabilité(du moins ceux qui ont a cœur d'avoir une bonne société bien équilibré)ou chacun peut se loger et travailler pour bien se loger et vivre avec un petit plus...pour les enfants...Le problème c'est que les propriétaires de logements sont en mode faire du profit a tout prix....La solution serait plus de coopératives de logements...ou les prix seraient ajustés aux revenus...Il faudrait une bonne grosse loterie ou les gagnants auraient la priorité dans les loyers a prix ajustés aux revenus...toute l'argent amassés serait pour bâtir des logements...

Bon il est bon de rêver.
Mais non j'ai lancé l'idée dans l'univers et elle nous reviendra...

La loi cosmique s'accomplit...

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«Personne ne s’est retrouvé à la rue» lors des quatre dernie

par Blake, lundi 08 janvier 2024, 18:49 (il y a 412 jours) @ Dédé

Et ça veut faire un autre mandat, bâtèche de malade ! :mdr:

J'espère qui va pogner de l'air. En plus de sa privatisation partielle d'Hydro, on va perdre des milliards qui va aller dans les mains des ti-namis du privé.

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Le manque de logements .

par Blake, lundi 08 janvier 2024, 18:59 (il y a 412 jours) @ Ammabaoth


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.


M'a allé me cacher dans l'bois. :D

Faut que tu changes de pays si tu veux une autre façon de faire. Mais si tu as un proche malade, il est aussi possible que tu doives faire faillite par la suite ou le laisser mourir par manque de soins dû à l'argent et des services non-rendu par le gouvernement. Car dans certaines endroits, la santé est une business.

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Le manque de logements .

par Ammabaoth @, lundi 08 janvier 2024, 23:21 (il y a 412 jours) @ Blake


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.


M'a allé me cacher dans l'bois. :D


Faut que tu changes de pays si tu veux une autre façon de faire. Mais si tu as un proche malade, il est aussi possible que tu doives faire faillite par la suite ou le laisser mourir par manque de soins dû à l'argent et des services non-rendu par le gouvernement. Car dans certaines endroits, la santé est une business.

J'aimerais te dire, sois sans crainte.
Et que je ne suis pas fou.:-D

Ça devrait bien aller.

J'ai juste pas vraiment confiance en ceux qui nous dirige.

Le Québec est convoité.
Comme l'A"frique"

--
☆Ammabaoth☆

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Le manque de logements .

par Ammabaoth @, lundi 08 janvier 2024, 23:27 (il y a 412 jours) @ Dédé


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.


M'a allé me cacher dans l'bois. :D

______________

Je te vois bien mal en Daniel Boone avec ton couvre-chef en raton laveur ! :mdr:

A coté d'un container avec un petit feu de camp non ?:D

--
☆Ammabaoth☆

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Le manque de logements .

par Blake, mardi 09 janvier 2024, 01:00 (il y a 412 jours) @ Ammabaoth


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.


M'a allé me cacher dans l'bois. :D


Faut que tu changes de pays si tu veux une autre façon de faire. Mais si tu as un proche malade, il est aussi possible que tu doives faire faillite par la suite ou le laisser mourir par manque de soins dû à l'argent et des services non-rendu par le gouvernement. Car dans certaines endroits, la santé est une business.


J'aimerais te dire, sois sans crainte.
Et que je ne suis pas fou.:-D

Ça devrait bien aller.

J'ai juste pas vraiment confiance en ceux qui nous dirige.

Le Québec est convoité.
Comme l'A"frique"

Penses-tu vraiment que bien des gens font une confiance aveugle à ceux qui nous dirigent? Mais le privé est pire que le gouvernement.

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Le manque de logements .

par Ammabaoth @, mardi 09 janvier 2024, 01:27 (il y a 412 jours) @ Blake


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.


M'a allé me cacher dans l'bois. :D


Faut que tu changes de pays si tu veux une autre façon de faire. Mais si tu as un proche malade, il est aussi possible que tu doives faire faillite par la suite ou le laisser mourir par manque de soins dû à l'argent et des services non-rendu par le gouvernement. Car dans certaines endroits, la santé est une business.


J'aimerais te dire, sois sans crainte.
Et que je ne suis pas fou.:-D

Ça devrait bien aller.

J'ai juste pas vraiment confiance en ceux qui nous dirige.

Le Québec est convoité.
Comme l'A"frique"


Penses-tu vraiment que bien des gens font une confiance aveugle à ceux qui nous dirigent? Mais le privé est pire que le gouvernement.

Il faudrait que le leader soit au dessus de tout.

Comme un leader spirituel connecté au vrai chose, vrai but.

Le fameux Grand Monarque.

Mais bon, je peux continuer de rêver :-D

--
☆Ammabaoth☆

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Le manque de logements .

par Blake, mardi 09 janvier 2024, 11:56 (il y a 412 jours) @ Ammabaoth


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.


M'a allé me cacher dans l'bois. :D


Faut que tu changes de pays si tu veux une autre façon de faire. Mais si tu as un proche malade, il est aussi possible que tu doives faire faillite par la suite ou le laisser mourir par manque de soins dû à l'argent et des services non-rendu par le gouvernement. Car dans certaines endroits, la santé est une business.


J'aimerais te dire, sois sans crainte.
Et que je ne suis pas fou.:-D

Ça devrait bien aller.

J'ai juste pas vraiment confiance en ceux qui nous dirige.

Le Québec est convoité.
Comme l'A"frique"


Penses-tu vraiment que bien des gens font une confiance aveugle à ceux qui nous dirigent? Mais le privé est pire que le gouvernement.


Il faudrait que le leader soit au dessus de tout.

Comme un leader spirituel connecté au vrai chose, vrai but.

Le fameux Grand Monarque.

Mais bon, je peux continuer de rêver :-D

C'est un peu trop une idéologie impossible ton affaire. Tu surestimes l'être humain. Oui, tu peux rêver, ça coûte rien.

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Le manque de logements .

par Dédé, mardi 09 janvier 2024, 15:16 (il y a 412 jours) @ Ammabaoth


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.


M'a allé me cacher dans l'bois. :D

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Je te vois bien mal en Daniel Boone avec ton couvre-chef en raton laveur ! :mdr:


A coté d'un container avec un petit feu de camp non ?:D

________________

Avec une Bleue, ben sûr ! :D

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Le manque de logements .

par Ammabaoth @, mardi 09 janvier 2024, 15:46 (il y a 412 jours) @ Dédé


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.


M'a allé me cacher dans l'bois. :D

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Je te vois bien mal en Daniel Boone avec ton couvre-chef en raton laveur ! :mdr:


A coté d'un container avec un petit feu de camp non ?:D

________________

Avec une Bleue, ben sûr ! :D

:D

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☆Ammabaoth☆

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Le manque de logements .

par Dédé, mardi 09 janvier 2024, 20:05 (il y a 411 jours) @ Ammabaoth


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.


M'a allé me cacher dans l'bois. :D

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Je te vois bien mal en Daniel Boone avec ton couvre-chef en raton laveur ! :mdr:


A coté d'un container avec un petit feu de camp non ?:D

________________

Avec une Bleue, ben sûr ! :D


:D

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C'est juste de valeur que je ne peux pas prendre de l'alcool avec ma médication de cardiaque, parce que j'irais bien prendre une Bleue à ton camp ! :D

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Le manque de logements .

par Ammabaoth @, mardi 09 janvier 2024, 20:56 (il y a 411 jours) @ Dédé


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.


M'a allé me cacher dans l'bois. :D

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Je te vois bien mal en Daniel Boone avec ton couvre-chef en raton laveur ! :mdr:


A coté d'un container avec un petit feu de camp non ?:D

________________

Avec une Bleue, ben sûr ! :D


:D

_______________

C'est juste de valeur que je ne peux pas prendre de l'alcool avec ma médication de cardiaque, parce que j'irais bien prendre une Bleue à ton camp ! :D

T'es bien fin Dédé :-)

Mais je ne bois pu depuis un bon petit bout de temps.

J'essaie d'obéir à certaine règle de vie.

Il m'en reste encore à faire genre slaquer le sucre, le café et le pain.:D

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☆Ammabaoth☆

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Le manque de logements .

par Dédé, mardi 09 janvier 2024, 21:39 (il y a 411 jours) @ Ammabaoth


Tu peux aller ailleurs pour faire ton projet.


M'a allé me cacher dans l'bois. :D

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Je te vois bien mal en Daniel Boone avec ton couvre-chef en raton laveur ! :mdr:


A coté d'un container avec un petit feu de camp non ?:D

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Avec une Bleue, ben sûr ! :D


:D

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C'est juste de valeur que je ne peux pas prendre de l'alcool avec ma médication de cardiaque, parce que j'irais bien prendre une Bleue à ton camp ! :D


T'es bien fin Dédé :-)

Mais je ne bois pu depuis un bon petit bout de temps.

J'essaie d'obéir à certaine règle de vie.

Il m'en reste encore à faire genre slaquer le sucre, le café et le pain.:D

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Tant mieux si tu ne bois plus, ça va m'éviter d'acheter de la bière ! :evil:


Les règles de la vie, c'est quoi ce niaisage là ? Il n'y a qu'une vie à vivre, il faut la vivre à plein, c'est ça le plan. :D

Par contre, c'est ton droit, sont à toi les oreilles ! :D

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