Elle est vraiment conservateur cette pétasse ! (Forum)
Source : Justin Trudeau humilié par la Cour fédérale
Nathalie Elgrably
Jeudi, 25 janvier 2024 15:30
MISE À JOUR Jeudi, 25 janvier 2024 15:30
La Cour fédérale a tranché. La proclamation de la Loi sur les mesures d’urgence par le gouvernement Trudeau pour démanteler le «convoi de la liberté», à l’hiver 2022, était «déraisonnable» et «illégale».
Cette décision est bien plus qu’un simple jugement. C’est une cuisante et humiliante raclée infligée aux libéraux et à tous ceux qui ont avalisé avec enthousiasme, sinon avec délectation, leur détermination à anéantir un mouvement de contestation.
Excuses
En début de mandat, Justin Trudeau avait démontré son exceptionnelle aisance à présenter des excuses larmoyantes pour tous les travers commis par ses prédécesseurs. On se serait donc attendu à ce qu’il accepte dignement sa défaite judiciaire et qu’il présente des excuses pour ses propres débordements et son manque de jugement envers les camionneurs qu’il a injustement démonisés. Cela aurait été un minimum absolu.
Mais c’était trop en attendre de Trudeau. Comme il ne supporte pas la contradiction, son gouvernement a immédiatement annoncé son intention de porter la cause en appel.
C’est irrévérencieux envers les contribuables, qui feront les frais de cette démarche, mais c’est certainement mieux ainsi.
Ottawa ayant usé et abusé de son pouvoir pour gérer le mécontentement citoyen, la justice doit être rigoriste à son égard.
En confirmant l’inconstitutionnalité du recours à cette loi, la Cour suprême enverrait, d’une part, un avertissement sérieux aux futurs premiers ministres qui seraient tentés d’imiter Trudeau pour se débarrasser des voix discordantes. Voilà qui redonnerait confiance aux Canadiens en leurs institutions!
D’autre part, ce jugement rendrait inévitable un appel à l’imputabilité, à la sanction des coupables, et au dédommagement des victimes. Car, pour l’instant, rien n’est prévu.
Conséquences
Or, un jugement dépourvu de conséquences concrètes cause plus de tort que de bien. En signalant aux élus qu’ils peuvent impunément enfreindre les lois, il les invite à multiplier les actes délictueux. Le Canada se porte déjà affreusement mal. Inutile d’en rajouter!
________________
Méchante pétasse cette crisse de folle, je me demande comment se fait-il que ce torchon virtuel laisse exprimer cette pétasse en lui accordant un éditorial, une crisse de vache hawaïenne !
Ben non ben non, elle n'est pas si pire que ça, c'est juste qu'elle est coucou et certainement une antivax qui croit tout ce qui a été dit et écrit concernant le vaccin contre la covid-19, une vache hawaïenne qui broute dans le pré des conservateurs, une autre endoctrinée qui est incapable d'être objective.
C'est pourtant clair dans les lois canadiennes que les manifestations font parties des moyens de s'exprimer contre les instances gouvernementales mais il est bien spécifié aussi qu'il est interdit de faire un blocus dans une ville pour ralentir le quotidien des citadins de cette dite ville. Immobiliser une ville pour manifester un mécontentement contre le gouvernement, ça se fait pas, cela se nomme un blocus et ce n'est plus une manifestation surtout que la motivation était rien d'autre qu'une demande de destitution du gouvernement, voire même avec des menaces aux allures subversives d'une sédition en règle.
Il est bien évident que la cour fédérale est anti-démocratiquement remplie de conservateurs, de Harper !
Dédé
Elle est vraiment conservateur cette pétasse !
Source : Justin Trudeau humilié par la Cour fédérale
Nathalie Elgrably
Jeudi, 25 janvier 2024 15:30
MISE À JOUR Jeudi, 25 janvier 2024 15:30
La Cour fédérale a tranché. La proclamation de la Loi sur les mesures d’urgence par le gouvernement Trudeau pour démanteler le «convoi de la liberté», à l’hiver 2022, était «déraisonnable» et «illégale».
Cette décision est bien plus qu’un simple jugement. C’est une cuisante et humiliante raclée infligée aux libéraux et à tous ceux qui ont avalisé avec enthousiasme, sinon avec délectation, leur détermination à anéantir un mouvement de contestation.
Excuses
En début de mandat, Justin Trudeau avait démontré son exceptionnelle aisance à présenter des excuses larmoyantes pour tous les travers commis par ses prédécesseurs. On se serait donc attendu à ce qu’il accepte dignement sa défaite judiciaire et qu’il présente des excuses pour ses propres débordements et son manque de jugement envers les camionneurs qu’il a injustement démonisés. Cela aurait été un minimum absolu.
Mais c’était trop en attendre de Trudeau. Comme il ne supporte pas la contradiction, son gouvernement a immédiatement annoncé son intention de porter la cause en appel.
C’est irrévérencieux envers les contribuables, qui feront les frais de cette démarche, mais c’est certainement mieux ainsi.
Ottawa ayant usé et abusé de son pouvoir pour gérer le mécontentement citoyen, la justice doit être rigoriste à son égard.
En confirmant l’inconstitutionnalité du recours à cette loi, la Cour suprême enverrait, d’une part, un avertissement sérieux aux futurs premiers ministres qui seraient tentés d’imiter Trudeau pour se débarrasser des voix discordantes. Voilà qui redonnerait confiance aux Canadiens en leurs institutions!
D’autre part, ce jugement rendrait inévitable un appel à l’imputabilité, à la sanction des coupables, et au dédommagement des victimes. Car, pour l’instant, rien n’est prévu.
Conséquences
Or, un jugement dépourvu de conséquences concrètes cause plus de tort que de bien. En signalant aux élus qu’ils peuvent impunément enfreindre les lois, il les invite à multiplier les actes délictueux. Le Canada se porte déjà affreusement mal. Inutile d’en rajouter!
________________Méchante pétasse cette crisse de folle, je me demande comment se fait-il que ce torchon virtuel laisse exprimer cette pétasse en lui accordant un éditorial, une crisse de vache hawaïenne !
Ben non ben non, elle n'est pas si pire que ça, c'est juste qu'elle est coucou et certainement une antivax qui croit tout ce qui a été dit et écrit concernant le vaccin contre la covid-19, une vache hawaïenne qui broute dans le pré des conservateurs, une autre endoctrinée qui est incapable d'être objective.
C'est pourtant clair dans les lois canadiennes que les manifestations font parties des moyens de s'exprimer contre les instances gouvernementales mais il est bien spécifié aussi qu'il est interdit de faire un blocus dans une ville pour ralentir le quotidien des citadins de cette dite ville. Immobiliser une ville pour manifester un mécontentement contre le gouvernement, ça se fait pas, cela se nomme un blocus et ce n'est plus une manifestation surtout que la motivation était rien d'autre qu'une demande de destitution du gouvernement, voire même avec des menaces aux allures subversives d'une sédition en règle.
Il est bien évident que la cour fédérale est anti-démocratiquement remplie de conservateurs, de Harper !
Dédé
Quelle crisse de pétasse! C'était du terrorisme intérieur et Trudeau a eu raison de faire ce qu'il a fait. Même que je l'ai trouvé lent à agir. Si elle veut parler d'humiliation, qu'elle nous parle donc de la volée que Trudeau a donné à un CONservateur sur un ring de boxe et la défaite cinglante qu'il a fait subir à Harper.
Elle est vraiment conservateur cette pétasse !
Méchante pétasse cette crisse de folle, je me demande comment se fait-il que ce torchon virtuel laisse exprimer cette pétasse en lui accordant un éditorial, une crisse de vache hawaïenne !
Ben non ben non, elle n'est pas si pire que ça, c'est juste qu'elle est coucou et certainement une antivax qui croit tout ce qui a été dit et écrit concernant le vaccin contre la covid-19, une vache hawaïenne qui broute dans le pré des conservateurs, une autre endoctrinée qui est incapable d'être objective.
C'est pourtant clair dans les lois canadiennes que les manifestations font parties des moyens de s'exprimer contre les instances gouvernementales mais il est bien spécifié aussi qu'il est interdit de faire un blocus dans une ville pour ralentir le quotidien des citadins de cette dite ville. Immobiliser une ville pour manifester un mécontentement contre le gouvernement, ça se fait pas, cela se nomme un blocus et ce n'est plus une manifestation surtout que la motivation était rien d'autre qu'une demande de destitution du gouvernement, voire même avec des menaces aux allures subversives d'une sédition en règle.
Il est bien évident que la cour fédérale est anti-démocratiquement remplie de conservateurs, de Harper !
Dédé
Quelle crisse de pétasse! C'était du terrorisme intérieur et Trudeau a eu raison de faire ce qu'il a fait. Même que je l'ai trouvé lent à agir. Si elle veut parler d'humiliation, qu'elle nous parle donc de la volée que Trudeau a donné à un CONservateur sur un ring de boxe et la défaite cinglante qu'il a fait subir à Harper.
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En plus, comme tu écris, ils avaient des armes dissimulées dans le convoi qui était en direction d'Ottawa. Une chance que la GRC a fait une vérification tout en cassant ce convoi avant qu'il parvienne à destination ( je ne me souviens plus de l'endroit, je crois que c'est en Alberta ou Manitoba ). Sans cette intervention, j'imagine que ça n'aurait pas été très joli à Ottawa.
Elle est vraiment conservateur cette pétasse !
Méchante pétasse cette crisse de folle, je me demande comment se fait-il que ce torchon virtuel laisse exprimer cette pétasse en lui accordant un éditorial, une crisse de vache hawaïenne !
Ben non ben non, elle n'est pas si pire que ça, c'est juste qu'elle est coucou et certainement une antivax qui croit tout ce qui a été dit et écrit concernant le vaccin contre la covid-19, une vache hawaïenne qui broute dans le pré des conservateurs, une autre endoctrinée qui est incapable d'être objective.
C'est pourtant clair dans les lois canadiennes que les manifestations font parties des moyens de s'exprimer contre les instances gouvernementales mais il est bien spécifié aussi qu'il est interdit de faire un blocus dans une ville pour ralentir le quotidien des citadins de cette dite ville. Immobiliser une ville pour manifester un mécontentement contre le gouvernement, ça se fait pas, cela se nomme un blocus et ce n'est plus une manifestation surtout que la motivation était rien d'autre qu'une demande de destitution du gouvernement, voire même avec des menaces aux allures subversives d'une sédition en règle.
Il est bien évident que la cour fédérale est anti-démocratiquement remplie de conservateurs, de Harper !
Dédé
Quelle crisse de pétasse! C'était du terrorisme intérieur et Trudeau a eu raison de faire ce qu'il a fait. Même que je l'ai trouvé lent à agir. Si elle veut parler d'humiliation, qu'elle nous parle donc de la volée que Trudeau a donné à un CONservateur sur un ring de boxe et la défaite cinglante qu'il a fait subir à Harper.
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En plus, comme tu écris, ils avaient des armes dissimulées dans le convoi qui était en direction d'Ottawa. Une chance que la GRC a fait une vérification tout en cassant ce convoi avant qu'il parvienne à destination ( je ne me souviens plus de l'endroit, je crois que c'est en Alberta ou Manitoba ). Sans cette intervention, j'imagine que ça n'aurait pas été très joli à Ottawa.
Oui, la GRC avait trouvé plusieurs armes.
Josée Legault plus sensée que la pétasse !
Source : Justin Trudeau a eu raison d’invoquer la Loi sur les mesures d’urgence
Josée Legault
Vendredi, 26 janvier 2024 00:00
MISE À JOUR Vendredi, 26 janvier 2024 00:15
Quel drôle de jugement que celui rendu par le juge Richard Mosley de la Cour fédérale. Selon lui, Justin Trudeau n’avait pas de « motifs raisonnables » en 2022 pour invoquer la Loi sur les mesures d’urgence (LMU) dans le but d’expulser d’Ottawa le soi-disant convoi de la liberté.
Vraiment? Sa mémoire du contexte réel des événements au moment même où ils avaient lieu semble avoir flanché. Rappelons donc les faits. Quand le gouvernement Trudeau a invoqué la LMU, cette occupation illégale de la Capitale nationale durait déjà depuis des semaines.
Il n’y avait aucun espoir de voir le convoi quitter les lieux volontairement. Même les compagnies de remorquage refusaient de bouger les camions. Les dommages causés aux résidents et commerçants étaient également majeurs.
D’immenses camions klaxonnaient 24/7. Le niveau de décibels était tel que des citoyens ne pouvaient plus dormir. Plusieurs se faisaient harceler verbalement et physiquement par des occupants.
Des journalistes étaient menacés et bousculés en ondes. Des occupants se servaient de leurs propres enfants pour les placer entre eux et les policiers.
L’effet de contagion se faisait sentir ailleurs au Canada, aux États-Unis et en Europe. L’occupation du pont Ambassador a privé l’économie canadienne de plusieurs milliards de dollars.
Exigeant la destitution de Justin Trudeau et la levée des mesures sanitaires, les occupants composés en large partie de complotistes arboraient aussi des drapeaux néonazis, des symboles suprémacistes blancs américains et une horde de banderoles «Fuck Trudeau» et «Fuck Legault».
Pas d’autre choix
L’organisation du convoi était d’ailleurs financée en partie par l’extrême droite américaine. Face à un tel gâchis qui n’en finissait plus, Justin Trudeau n’a tout simplement pas eu le choix. Il devait invoquer la LMU. Pourquoi?
Parce qu’avant l’arrivée même du convoi, pourtant amplement annoncée sur les médias sociaux par des organisateurs jurant que le convoi resterait à Ottawa tant que leurs «demandes» ne seraient pas accordées, les autorités responsables n’avaient rien fait en mode prévention.
On parle ici de l’inaction crasse du chef de la police d’Ottawa, du maire d’Ottawa et du premier ministre Doug Ford. L’occupation illégale qui s’est ensuivie en était le résultat direct.
Je l’ai écrit à l’époque et je le redis. Avant l’arrivée du convoi, des autorités policières compétentes auraient érigé un périmètre de sécurité autour du Parlement.
Cela aurait bloqué l’entrée aux camions tout en respectant le droit des gens à manifester pacifiquement à pied. Or, ce n’est pas ce qui s’est passé.
À bout de moyens, le premier ministre du Canada se devait donc d’intervenir. L’occupation illégale se déroulait en plein cœur de la capitale nationale.
Devant l’incapacité époustouflante de la police d’Ottawa de faire son boulot, sans compter le silence assourdissant de Doug Ford, il lui fallait y mettre fin. D’autant plus que l’occupation dégénérait de semaine en semaine.
In extremis
In extremis, le seul outil concret dont disposait alors Justin Trudeau était la Loi sur les mesures d’urgence. Laquelle – et ce n’est pas un détail – est nettement plus respectueuse des libertés fondamentales que son ancêtre, la défunte et très autoritaire Loi sur les mesures de guerre.
En toute rigueur, c’est d’ailleurs ce qu’en avait conclu l’an dernier le président de la Commission sur l’état d’urgence, le juge Paul Rouleau.
Sa conclusion était que l’invocation de la Loi sur les mesures d’urgence était justifiée par une situation «devenue incontrôlable». Un euphémisme considérant le pourrissement ahurissant des événements.
Qu’un an plus tard, un juge de la Cour fédérale ne l’ait pas compris laisse songeur. D’où l’importance de porter ce jugement en appel.
________________
C'est pas mal plus sensé cet éditorial et démontre bien que l'idéologie conspirationniste est un mal que ce juge de la cour fédéral semble montrer hors de tout doute son parti de référence pour conclure sa décision d'un épais de droitard.
Cette éditorialiste cible très bien ce que la majorité des gens pensent réellement de cette situation passée. Elle est loin de cette pétasse de conspie qui ne comprend rien de la réalité
Dédé
Josée Legault plus sensée que la pétasse !
Source : Justin Trudeau a eu raison d’invoquer la Loi sur les mesures d’urgence
Josée Legault
Vendredi, 26 janvier 2024 00:00MISE À JOUR Vendredi, 26 janvier 2024 00:15
Quel drôle de jugement que celui rendu par le juge Richard Mosley de la Cour fédérale. Selon lui, Justin Trudeau n’avait pas de « motifs raisonnables » en 2022 pour invoquer la Loi sur les mesures d’urgence (LMU) dans le but d’expulser d’Ottawa le soi-disant convoi de la liberté.
Vraiment? Sa mémoire du contexte réel des événements au moment même où ils avaient lieu semble avoir flanché. Rappelons donc les faits. Quand le gouvernement Trudeau a invoqué la LMU, cette occupation illégale de la Capitale nationale durait déjà depuis des semaines.
Il n’y avait aucun espoir de voir le convoi quitter les lieux volontairement. Même les compagnies de remorquage refusaient de bouger les camions. Les dommages causés aux résidents et commerçants étaient également majeurs.
D’immenses camions klaxonnaient 24/7. Le niveau de décibels était tel que des citoyens ne pouvaient plus dormir. Plusieurs se faisaient harceler verbalement et physiquement par des occupants.
Des journalistes étaient menacés et bousculés en ondes. Des occupants se servaient de leurs propres enfants pour les placer entre eux et les policiers.
L’effet de contagion se faisait sentir ailleurs au Canada, aux États-Unis et en Europe. L’occupation du pont Ambassador a privé l’économie canadienne de plusieurs milliards de dollars.
Exigeant la destitution de Justin Trudeau et la levée des mesures sanitaires, les occupants composés en large partie de complotistes arboraient aussi des drapeaux néonazis, des symboles suprémacistes blancs américains et une horde de banderoles «Fuck Trudeau» et «Fuck Legault».
Pas d’autre choix
L’organisation du convoi était d’ailleurs financée en partie par l’extrême droite américaine. Face à un tel gâchis qui n’en finissait plus, Justin Trudeau n’a tout simplement pas eu le choix. Il devait invoquer la LMU. Pourquoi?
Parce qu’avant l’arrivée même du convoi, pourtant amplement annoncée sur les médias sociaux par des organisateurs jurant que le convoi resterait à Ottawa tant que leurs «demandes» ne seraient pas accordées, les autorités responsables n’avaient rien fait en mode prévention.
On parle ici de l’inaction crasse du chef de la police d’Ottawa, du maire d’Ottawa et du premier ministre Doug Ford. L’occupation illégale qui s’est ensuivie en était le résultat direct.
Je l’ai écrit à l’époque et je le redis. Avant l’arrivée du convoi, des autorités policières compétentes auraient érigé un périmètre de sécurité autour du Parlement.
Cela aurait bloqué l’entrée aux camions tout en respectant le droit des gens à manifester pacifiquement à pied. Or, ce n’est pas ce qui s’est passé.
À bout de moyens, le premier ministre du Canada se devait donc d’intervenir. L’occupation illégale se déroulait en plein cœur de la capitale nationale.
Devant l’incapacité époustouflante de la police d’Ottawa de faire son boulot, sans compter le silence assourdissant de Doug Ford, il lui fallait y mettre fin. D’autant plus que l’occupation dégénérait de semaine en semaine.
In extremis
In extremis, le seul outil concret dont disposait alors Justin Trudeau était la Loi sur les mesures d’urgence. Laquelle – et ce n’est pas un détail – est nettement plus respectueuse des libertés fondamentales que son ancêtre, la défunte et très autoritaire Loi sur les mesures de guerre.
En toute rigueur, c’est d’ailleurs ce qu’en avait conclu l’an dernier le président de la Commission sur l’état d’urgence, le juge Paul Rouleau.
Sa conclusion était que l’invocation de la Loi sur les mesures d’urgence était justifiée par une situation «devenue incontrôlable». Un euphémisme considérant le pourrissement ahurissant des événements.
Qu’un an plus tard, un juge de la Cour fédérale ne l’ait pas compris laisse songeur. D’où l’importance de porter ce jugement en appel.
________________C'est pas mal plus sensé cet éditorial et démontre bien que l'idéologie conspirationniste est un mal que ce juge de la cour fédéral semble montrer hors de tout doute son parti de référence pour conclure sa décision d'un épais de droitard.
Cette éditorialiste cible très bien ce que la majorité des gens pensent réellement de cette situation passée. Elle est loin de cette pétasse de conspie qui ne comprend rien de la réalité
Dédé
Oui, Josée Legault a toujours de bons textes et elle est plus crédible que Elgravy.
Josée Legault plus sensée que la pétasse !
Source : Justin Trudeau a eu raison d’invoquer la Loi sur les mesures d’urgence
Josée Legault
Vendredi, 26 janvier 2024 00:00MISE À JOUR Vendredi, 26 janvier 2024 00:15
Quel drôle de jugement que celui rendu par le juge Richard Mosley de la Cour fédérale. Selon lui, Justin Trudeau n’avait pas de « motifs raisonnables » en 2022 pour invoquer la Loi sur les mesures d’urgence (LMU) dans le but d’expulser d’Ottawa le soi-disant convoi de la liberté.
Vraiment? Sa mémoire du contexte réel des événements au moment même où ils avaient lieu semble avoir flanché. Rappelons donc les faits. Quand le gouvernement Trudeau a invoqué la LMU, cette occupation illégale de la Capitale nationale durait déjà depuis des semaines.
Il n’y avait aucun espoir de voir le convoi quitter les lieux volontairement. Même les compagnies de remorquage refusaient de bouger les camions. Les dommages causés aux résidents et commerçants étaient également majeurs.
D’immenses camions klaxonnaient 24/7. Le niveau de décibels était tel que des citoyens ne pouvaient plus dormir. Plusieurs se faisaient harceler verbalement et physiquement par des occupants.
Des journalistes étaient menacés et bousculés en ondes. Des occupants se servaient de leurs propres enfants pour les placer entre eux et les policiers.
L’effet de contagion se faisait sentir ailleurs au Canada, aux États-Unis et en Europe. L’occupation du pont Ambassador a privé l’économie canadienne de plusieurs milliards de dollars.
Exigeant la destitution de Justin Trudeau et la levée des mesures sanitaires, les occupants composés en large partie de complotistes arboraient aussi des drapeaux néonazis, des symboles suprémacistes blancs américains et une horde de banderoles «Fuck Trudeau» et «Fuck Legault».
Pas d’autre choix
L’organisation du convoi était d’ailleurs financée en partie par l’extrême droite américaine. Face à un tel gâchis qui n’en finissait plus, Justin Trudeau n’a tout simplement pas eu le choix. Il devait invoquer la LMU. Pourquoi?
Parce qu’avant l’arrivée même du convoi, pourtant amplement annoncée sur les médias sociaux par des organisateurs jurant que le convoi resterait à Ottawa tant que leurs «demandes» ne seraient pas accordées, les autorités responsables n’avaient rien fait en mode prévention.
On parle ici de l’inaction crasse du chef de la police d’Ottawa, du maire d’Ottawa et du premier ministre Doug Ford. L’occupation illégale qui s’est ensuivie en était le résultat direct.
Je l’ai écrit à l’époque et je le redis. Avant l’arrivée du convoi, des autorités policières compétentes auraient érigé un périmètre de sécurité autour du Parlement.
Cela aurait bloqué l’entrée aux camions tout en respectant le droit des gens à manifester pacifiquement à pied. Or, ce n’est pas ce qui s’est passé.
À bout de moyens, le premier ministre du Canada se devait donc d’intervenir. L’occupation illégale se déroulait en plein cœur de la capitale nationale.
Devant l’incapacité époustouflante de la police d’Ottawa de faire son boulot, sans compter le silence assourdissant de Doug Ford, il lui fallait y mettre fin. D’autant plus que l’occupation dégénérait de semaine en semaine.
In extremis
In extremis, le seul outil concret dont disposait alors Justin Trudeau était la Loi sur les mesures d’urgence. Laquelle – et ce n’est pas un détail – est nettement plus respectueuse des libertés fondamentales que son ancêtre, la défunte et très autoritaire Loi sur les mesures de guerre.
En toute rigueur, c’est d’ailleurs ce qu’en avait conclu l’an dernier le président de la Commission sur l’état d’urgence, le juge Paul Rouleau.
Sa conclusion était que l’invocation de la Loi sur les mesures d’urgence était justifiée par une situation «devenue incontrôlable». Un euphémisme considérant le pourrissement ahurissant des événements.
Qu’un an plus tard, un juge de la Cour fédérale ne l’ait pas compris laisse songeur. D’où l’importance de porter ce jugement en appel.
________________C'est pas mal plus sensé cet éditorial et démontre bien que l'idéologie conspirationniste est un mal que ce juge de la cour fédéral semble montrer hors de tout doute son parti de référence pour conclure sa décision d'un épais de droitard.
Cette éditorialiste cible très bien ce que la majorité des gens pensent réellement de cette situation passée. Elle est loin de cette pétasse de conspie qui ne comprend rien de la réalité
Dédé
Oui, Josée Legault a toujours de bons textes et elle est plus crédible que Elgravy.
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Je me demande pourquoi ce journal laisse exprimer cette crisse de pétasse de conspie dans leur feuille de chou, ça ne fait pas crédible.
Josée Legault plus sensée que la pétasse !
Source : Justin Trudeau a eu raison d’invoquer la Loi sur les mesures d’urgence
Josée Legault
Vendredi, 26 janvier 2024 00:00MISE À JOUR Vendredi, 26 janvier 2024 00:15
Quel drôle de jugement que celui rendu par le juge Richard Mosley de la Cour fédérale. Selon lui, Justin Trudeau n’avait pas de « motifs raisonnables » en 2022 pour invoquer la Loi sur les mesures d’urgence (LMU) dans le but d’expulser d’Ottawa le soi-disant convoi de la liberté.
Vraiment? Sa mémoire du contexte réel des événements au moment même où ils avaient lieu semble avoir flanché. Rappelons donc les faits. Quand le gouvernement Trudeau a invoqué la LMU, cette occupation illégale de la Capitale nationale durait déjà depuis des semaines.
Il n’y avait aucun espoir de voir le convoi quitter les lieux volontairement. Même les compagnies de remorquage refusaient de bouger les camions. Les dommages causés aux résidents et commerçants étaient également majeurs.
D’immenses camions klaxonnaient 24/7. Le niveau de décibels était tel que des citoyens ne pouvaient plus dormir. Plusieurs se faisaient harceler verbalement et physiquement par des occupants.
Des journalistes étaient menacés et bousculés en ondes. Des occupants se servaient de leurs propres enfants pour les placer entre eux et les policiers.
L’effet de contagion se faisait sentir ailleurs au Canada, aux États-Unis et en Europe. L’occupation du pont Ambassador a privé l’économie canadienne de plusieurs milliards de dollars.
Exigeant la destitution de Justin Trudeau et la levée des mesures sanitaires, les occupants composés en large partie de complotistes arboraient aussi des drapeaux néonazis, des symboles suprémacistes blancs américains et une horde de banderoles «Fuck Trudeau» et «Fuck Legault».
Pas d’autre choix
L’organisation du convoi était d’ailleurs financée en partie par l’extrême droite américaine. Face à un tel gâchis qui n’en finissait plus, Justin Trudeau n’a tout simplement pas eu le choix. Il devait invoquer la LMU. Pourquoi?
Parce qu’avant l’arrivée même du convoi, pourtant amplement annoncée sur les médias sociaux par des organisateurs jurant que le convoi resterait à Ottawa tant que leurs «demandes» ne seraient pas accordées, les autorités responsables n’avaient rien fait en mode prévention.
On parle ici de l’inaction crasse du chef de la police d’Ottawa, du maire d’Ottawa et du premier ministre Doug Ford. L’occupation illégale qui s’est ensuivie en était le résultat direct.
Je l’ai écrit à l’époque et je le redis. Avant l’arrivée du convoi, des autorités policières compétentes auraient érigé un périmètre de sécurité autour du Parlement.
Cela aurait bloqué l’entrée aux camions tout en respectant le droit des gens à manifester pacifiquement à pied. Or, ce n’est pas ce qui s’est passé.
À bout de moyens, le premier ministre du Canada se devait donc d’intervenir. L’occupation illégale se déroulait en plein cœur de la capitale nationale.
Devant l’incapacité époustouflante de la police d’Ottawa de faire son boulot, sans compter le silence assourdissant de Doug Ford, il lui fallait y mettre fin. D’autant plus que l’occupation dégénérait de semaine en semaine.
In extremis
In extremis, le seul outil concret dont disposait alors Justin Trudeau était la Loi sur les mesures d’urgence. Laquelle – et ce n’est pas un détail – est nettement plus respectueuse des libertés fondamentales que son ancêtre, la défunte et très autoritaire Loi sur les mesures de guerre.
En toute rigueur, c’est d’ailleurs ce qu’en avait conclu l’an dernier le président de la Commission sur l’état d’urgence, le juge Paul Rouleau.
Sa conclusion était que l’invocation de la Loi sur les mesures d’urgence était justifiée par une situation «devenue incontrôlable». Un euphémisme considérant le pourrissement ahurissant des événements.
Qu’un an plus tard, un juge de la Cour fédérale ne l’ait pas compris laisse songeur. D’où l’importance de porter ce jugement en appel.
________________C'est pas mal plus sensé cet éditorial et démontre bien que l'idéologie conspirationniste est un mal que ce juge de la cour fédéral semble montrer hors de tout doute son parti de référence pour conclure sa décision d'un épais de droitard.
Cette éditorialiste cible très bien ce que la majorité des gens pensent réellement de cette situation passée. Elle est loin de cette pétasse de conspie qui ne comprend rien de la réalité
Dédé
Oui, Josée Legault a toujours de bons textes et elle est plus crédible que Elgravy.
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Je me demande pourquoi ce journal laisse exprimer cette crisse de pétasse de conspie dans leur feuille de chou, ça ne fait pas crédible.
Le Journal de Montréal et de Québec se dirige de plus en plus vers une idéologie de droitards. Tu vas t'en rendre compte de plus en plus. D'ailleurs, QUB Radio a de plus en plus d'intervenants de la droite et extrême-droite pro-Trump, pro Le Pen et pro Zémour.
Josée Legault plus sensée que la pétasse !
Je me demande pourquoi ce journal laisse exprimer cette crisse de pétasse de conspie dans leur feuille de chou, ça ne fait pas crédible.
Le Journal de Montréal et de Québec se dirige de plus en plus vers une idéologie de droitards. Tu vas t'en rendre compte de plus en plus. D'ailleurs, QUB Radio a de plus en plus d'intervenants de la droite et extrême-droite pro-Trump, pro Le Pen et pro Zémour.
__________________
Est-ce que la Presse.ca serait mieux ?
Je n'aime pas cette dérive du journal de Montréal, c'est comme s'il accepte d'être moins crédible au détriment des sommes qu'il reçoive, comme s'il était d'accord avec aucun principe, pourvu qu'il reçoive des sous.
Pareil, pareil comme la patente à marde de No Sir.
Josée Legault plus sensée que la pétasse !
Je me demande pourquoi ce journal laisse exprimer cette crisse de pétasse de conspie dans leur feuille de chou, ça ne fait pas crédible.
Le Journal de Montréal et de Québec se dirige de plus en plus vers une idéologie de droitards. Tu vas t'en rendre compte de plus en plus. D'ailleurs, QUB Radio a de plus en plus d'intervenants de la droite et extrême-droite pro-Trump, pro Le Pen et pro Zémour.
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Est-ce que la Presse.ca serait mieux ?
Je n'aime pas cette dérive du journal de Montréal, c'est comme s'il accepte d'être moins crédible au détriment des sommes qu'il reçoive, comme s'il était d'accord avec aucun principe, pourvu qu'il reçoive des sous.
Pareil, pareil comme la patente à marde de No Sir.
Depuis les pertes d'argent face aux GAFAM, ils semblent se diriger vers le brassage de marde avec des chroniqueurs et des sujets droitards. Oui, personnellement, je trouve La Presse, Le Devoir et surtout le site web de nouvelles de Radio-Can pas mal mieux. Québécor est aussi un style un peu différent des médias que j'ai nommés et ils vont de plus en plus sur l'opinion. Et ceux qui donnent leur opinion à Québécor sont en majorité de droite et aime le sensationnalisme.
Josée Legault plus sensée que la pétasse !
Je me demande pourquoi ce journal laisse exprimer cette crisse de pétasse de conspie dans leur feuille de chou, ça ne fait pas crédible.
Le Journal de Montréal et de Québec se dirige de plus en plus vers une idéologie de droitards. Tu vas t'en rendre compte de plus en plus. D'ailleurs, QUB Radio a de plus en plus d'intervenants de la droite et extrême-droite pro-Trump, pro Le Pen et pro Zémour.
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Est-ce que la Presse.ca serait mieux ?
Je n'aime pas cette dérive du journal de Montréal, c'est comme s'il accepte d'être moins crédible au détriment des sommes qu'il reçoive, comme s'il était d'accord avec aucun principe, pourvu qu'il reçoive des sous.
Pareil, pareil comme la patente à marde de No Sir.
Depuis les pertes d'argent face aux GAFAM, ils semblent se diriger vers le brassage de marde avec des chroniqueurs et des sujets droitards. Oui, personnellement, je trouve La Presse, Le Devoir et surtout le site web de nouvelles de Radio-Can pas mal mieux. Québécor est aussi un style un peu différent des médias que j'ai nommés et ils vont de plus en plus sur l'opinion. Et ceux qui donnent leur opinion à Québécor sont en majorité de droite et aime le sensationnalisme.
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LES INFORMATIONS NE SONT PAS DES INFOS STI, CE SONT DE LA FORMATION POUR DU MONDE STUPIDE TABARNACK !!!
THINK BIG STI !!
Josée Legault plus sensée que la pétasse !
Je me demande pourquoi ce journal laisse exprimer cette crisse de pétasse de conspie dans leur feuille de chou, ça ne fait pas crédible.
Le Journal de Montréal et de Québec se dirige de plus en plus vers une idéologie de droitards. Tu vas t'en rendre compte de plus en plus. D'ailleurs, QUB Radio a de plus en plus d'intervenants de la droite et extrême-droite pro-Trump, pro Le Pen et pro Zémour.
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Est-ce que la Presse.ca serait mieux ?
Je n'aime pas cette dérive du journal de Montréal, c'est comme s'il accepte d'être moins crédible au détriment des sommes qu'il reçoive, comme s'il était d'accord avec aucun principe, pourvu qu'il reçoive des sous.
Pareil, pareil comme la patente à marde de No Sir.
Depuis les pertes d'argent face aux GAFAM, ils semblent se diriger vers le brassage de marde avec des chroniqueurs et des sujets droitards. Oui, personnellement, je trouve La Presse, Le Devoir et surtout le site web de nouvelles de Radio-Can pas mal mieux. Québécor est aussi un style un peu différent des médias que j'ai nommés et ils vont de plus en plus sur l'opinion. Et ceux qui donnent leur opinion à Québécor sont en majorité de droite et aime le sensationnalisme.
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LES INFORMATIONS NE SONT PAS DES INFOS STI, CE SONT DE LA FORMATION POUR DU MONDE STUPIDE TABARNACK !!!
THINK BIG STI !!
En plein ça.