L'aide médicale à mourir, un conservateur pas d'accord. (Forum)
Source : Un député conservateur compare l’aide médicale à mourir à un meurtre
GABRIEL CÔTÉ
Vendredi, 16 février 2024 13:39
MISE À JOUR Vendredi, 16 février 2024 13:39
L’aide médicale à mourir est un meurtre et une façon pour le gouvernement de se dédouaner de ses responsabilités par rapport aux personnes vulnérables, a affirmé un député conservateur à Ottawa.
«Dans ce pays, il y a une épidémie de personnes qui souffrent en raison d’une dépendance ou de maladies mentales, et je n’accepterai pas de me faire sentir honteux par quelqu’un qui prétend que je suis un fanatique parce que je dis que je veux protéger les personnes vulnérables!» a lancé le député conservateur Michael Barrett, en anglais, pendant les débats, jeudi, sur le projet de loi libéral visant à repousser à 2027 l’élargissement de l’aide médicale à mourir aux personnes atteintes de troubles mentaux.
L’élu ontarien répondait alors à une remarque du député bloquiste Simon-Pierre Savard-Tremblay qui venait de citer approximativement un mot de Voltaire, selon lequel le fanatisme osait se dire le fils de la religion.
«La position des conservateurs sur l’aide médicale à mourir [...], c’est l’abolition», a-t-il ensuite affirmé.
Piqué au vif, M. Barrett a rétorqué, toujours en anglais, qu’il espérait qu’aucun élu présent «ne préférerait que le gouvernement abandonne ses responsabilités et tue des gens plutôt que de leur donner le traitement dont ils ont besoin et auquel ils ont droit».
«Je ne pense pas comme ça, je suis convaincu que nous devons aider les personnes les plus vulnérables», a-t-il conclu, avant de recevoir les applaudissements de ses collègues.
Indigné, M. Savard-Tremblay s’est levé pour demander des excuses. «Je ne peux pas accepter qu’on me dise que j’appelle au meurtre par le gouvernement», a-t-il lâché.
Au cours des débats, le Bloc Québécois a présenté des amendements afin de relayer la demande du gouvernement Legault de modifier le Code criminel pour permettre au Québec d’aller de l’avant avec les demandes anticipées dès l’automne prochain. L’amendement a été battu, mais il a reçu l’appui des conservateurs du Québec.
Appelé à réagir, le lieutenant québécois de Pierre Poilievre, Pierre Paul-Hus, a dit ne pas avoir de commentaire à faire à propos du point de vue de son collègue ontarien.
«Par rapport aux questions morales comme l’aide médicale à mourir, le vote est toujours libre. Chaque personne a son niveau d’acceptation, selon l’étape où c’est rendu. C’est excessivement délicat comme sujet», a-t-il expliqué en entrevue au téléphone.
M. Paul-Hus s’est dit personnellement favorable aux demandes anticipées d’aide médicale à mourir, et il a d’ailleurs voté en faveur de l’amendement proposé par le Bloc, qui toutefois posait selon lui certains problèmes «au niveau technique».
Le projet de loi des libéraux de Justin Trudeau est maintenant en attente de l’approbation du Sénat.
_______________________
C'est un sujet délicat qui pourrait tout de même se virer à des débordements incontrôlables pour faciliter la responsabilité médicale à prendre en charge sur certains patient atteints de maladie incurable. Évidemment, la loi en tant que telle n'est pas rendue là mais qu'en sera-t-elle dans une cinquantaine d'années avec de nouvelles directives ou amendements ?
La démence puisqu'il s'agit d'une maladie mentale dégénérative ainsi que l’Alzheimer, est encore sur la rectification de cette loi sur l'aide médicale à mourir. Elle n'est pas encore une maladie incurable puisqu'il y a encore une place médicale pour améliorer les conditions de vie pour les personnes qui en sont atteintes. Il est là le hic de la nouvelle demande pour rectifier cette loi.
Tout cas, si une personne a encore toute sa tête malgré cette dégénérescence du cerveau, sa demande peut être rejetée puisque la loi est claire, il faut que la maladie en question soit incurable et que le temps de vie est restreint selon la maladie en question.
Dédé
L'aide médicale à mourir, un conservateur pas d'accord.
Source : Un député conservateur compare l’aide médicale à mourir à un meurtre
GABRIEL CÔTÉ
Vendredi, 16 février 2024 13:39MISE À JOUR Vendredi, 16 février 2024 13:39
L’aide médicale à mourir est un meurtre et une façon pour le gouvernement de se dédouaner de ses responsabilités par rapport aux personnes vulnérables, a affirmé un député conservateur à Ottawa.
«Dans ce pays, il y a une épidémie de personnes qui souffrent en raison d’une dépendance ou de maladies mentales, et je n’accepterai pas de me faire sentir honteux par quelqu’un qui prétend que je suis un fanatique parce que je dis que je veux protéger les personnes vulnérables!» a lancé le député conservateur Michael Barrett, en anglais, pendant les débats, jeudi, sur le projet de loi libéral visant à repousser à 2027 l’élargissement de l’aide médicale à mourir aux personnes atteintes de troubles mentaux.
L’élu ontarien répondait alors à une remarque du député bloquiste Simon-Pierre Savard-Tremblay qui venait de citer approximativement un mot de Voltaire, selon lequel le fanatisme osait se dire le fils de la religion.
«La position des conservateurs sur l’aide médicale à mourir [...], c’est l’abolition», a-t-il ensuite affirmé.
Piqué au vif, M. Barrett a rétorqué, toujours en anglais, qu’il espérait qu’aucun élu présent «ne préférerait que le gouvernement abandonne ses responsabilités et tue des gens plutôt que de leur donner le traitement dont ils ont besoin et auquel ils ont droit».
«Je ne pense pas comme ça, je suis convaincu que nous devons aider les personnes les plus vulnérables», a-t-il conclu, avant de recevoir les applaudissements de ses collègues.
Indigné, M. Savard-Tremblay s’est levé pour demander des excuses. «Je ne peux pas accepter qu’on me dise que j’appelle au meurtre par le gouvernement», a-t-il lâché.
Au cours des débats, le Bloc Québécois a présenté des amendements afin de relayer la demande du gouvernement Legault de modifier le Code criminel pour permettre au Québec d’aller de l’avant avec les demandes anticipées dès l’automne prochain. L’amendement a été battu, mais il a reçu l’appui des conservateurs du Québec.
Appelé à réagir, le lieutenant québécois de Pierre Poilievre, Pierre Paul-Hus, a dit ne pas avoir de commentaire à faire à propos du point de vue de son collègue ontarien.
«Par rapport aux questions morales comme l’aide médicale à mourir, le vote est toujours libre. Chaque personne a son niveau d’acceptation, selon l’étape où c’est rendu. C’est excessivement délicat comme sujet», a-t-il expliqué en entrevue au téléphone.
M. Paul-Hus s’est dit personnellement favorable aux demandes anticipées d’aide médicale à mourir, et il a d’ailleurs voté en faveur de l’amendement proposé par le Bloc, qui toutefois posait selon lui certains problèmes «au niveau technique».
Le projet de loi des libéraux de Justin Trudeau est maintenant en attente de l’approbation du Sénat.
_______________________C'est un sujet délicat qui pourrait tout de même se virer à des débordements incontrôlables pour faciliter la responsabilité médicale à prendre en charge sur certains patient atteints de maladie incurable. Évidemment, la loi en tant que telle n'est pas rendue là mais qu'en sera-t-elle dans une cinquantaine d'années avec de nouvelles directives ou amendements ?
La démence puisqu'il s'agit d'une maladie mentale dégénérative ainsi que l’Alzheimer, est encore sur la rectification de cette loi sur l'aide médicale à mourir. Elle n'est pas encore une maladie incurable puisqu'il y a encore une place médicale pour améliorer les conditions de vie pour les personnes qui en sont atteintes. Il est là le hic de la nouvelle demande pour rectifier cette loi.
Tout cas, si une personne a encore toute sa tête malgré cette dégénérescence du cerveau, sa demande peut être rejetée puisque la loi est claire, il faut que la maladie en question soit incurable et que le temps de vie est restreint selon la maladie en question.
Dédé
Pas surprenant de voir les CONServateurs s'élever contre ça avec la base religieuse au sein du parti. Les gens vont votre pour ce parti pourri et ils vont instaurer de l'idéologie d'extrême-droite et les portes grandes ouvertes pour les riches et le privé. Ca parti va se concentrer sur les plus forts la poche.
L'aide médicale à mourir, un conservateur pas d'accord.
C'est un sujet délicat qui pourrait tout de même se virer à des débordements incontrôlables pour faciliter la responsabilité médicale à prendre en charge sur certains patient atteints de maladie incurable. Évidemment, la loi en tant que telle n'est pas rendue là mais qu'en sera-t-elle dans une cinquantaine d'années avec de nouvelles directives ou amendements ?
La démence puisqu'il s'agit d'une maladie mentale dégénérative ainsi que l’Alzheimer, est encore sur la rectification de cette loi sur l'aide médicale à mourir. Elle n'est pas encore une maladie incurable puisqu'il y a encore une place médicale pour améliorer les conditions de vie pour les personnes qui en sont atteintes. Il est là le hic de la nouvelle demande pour rectifier cette loi.
Tout cas, si une personne a encore toute sa tête malgré cette dégénérescence du cerveau, sa demande peut être rejetée puisque la loi est claire, il faut que la maladie en question soit incurable et que le temps de vie est restreint selon la maladie en question.
Dédé
Pas surprenant de voir les CONServateurs s'élever contre ça avec la base religieuse au sein du parti. Les gens vont votre pour ce parti pourri et ils vont instaurer de l'idéologie d'extrême-droite et les portes grandes ouvertes pour les riches et le privé. Ca parti va se concentrer sur les plus forts la poche.
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C'est certain que rien n'est surprenant pour ce parti rétrograde. Nous avons vu c'est quoi un tel parti sous la gouvernement Harper. Ce sale individu a réduit les prestation de chômage et a légiféré pour que l'accessibilité soit restreinte à un point tel que les employeurs avaient le gros bout pour réduire les travailleurs à ne pas rouspéter et demeurer à leur emploi car s'ils cessaient leur emploi, il n'avait aucune raison valable et n'avaient que dalle comme rémunération de cette prestation. Sans compter à la privatisation de certains services gouvernementaux dont je ne me souviens plus lesquels.
Il faut s'attendre au pire si Poildecul entre au pouvoir, même minoritaire, c'est un sale individu !
Un Con servateur pour la fessée...
ça s'invente pas... (voir le texte surligné en rouge)
Tout un programme les Con Servateurs... baisser les taxes sur l'essence au passage...
https://www.journaldemontreal.com/2024/02/15/ottawa-songe-a-abolir-la-fessee-aux-enfants
Ottawa songe à abolir la fessée aux enfants
PARTAGE
RAPHAËL PIRRO
Jeudi, 15 février 2024 16:25
MISE À JOUR Jeudi, 15 février 2024 16:25
Un projet de loi du NPD visant à criminaliser la fessée aux enfants fait son chemin à Ottawa.
L’initiative du néo-démocrate Peter Julian a reçu les appuis du Bloc Québécois et des libéraux, mercredi, assez pour être étudiée au Comité permanent de la justice et des droits de la personne. Les conservateurs sont les seuls à s’y opposer clairement.
«Je constate que des pays comme l'Iran, l'Arabie saoudite et la Russie autorisent encore les châtiments corporels infligés aux enfants. Cependant, nos alliés, les pays démocratiques, s'accordent pour interdire cette pratique. Pourquoi?», a questionné M. Julian lors d’un débat sur le sujet à l’automne.
Des élus du Bloc Québécois et du gouvernement libéral ont relevé certaines craintes voulant que des professeurs puissent être criminalisés simplement pour s’être défendus contre des élèves violents.
Le conservateur Damien Kurek a aussi fait part des inquiétudes de certaines organisations de professeurs, mais plus globalement, il y voit un «contrôle accru de l’État» sur l’éducation des enfants.
«Il est absolument fondamental de veiller à ce que les parents disposent de toute la latitude nécessaire pour élever des citoyens équilibrés et productifs», a-t-il dit.
La fessée à travers le monde
Interdite dans de nombreux pays, la fessée demeure courante à travers le monde.
Des chiffres récents de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) montrent qu’environ 60% des enfants de 2 à 14 ans «subissent régulièrement des châtiments corporels de la part de leurs parents ou d’autres personnes qui s’occupent d'eux».
La fessée au Canada
Au Canada, la fessée est tolérée en vertu de l’article 43 du Code criminel, qui stipule que «tout instituteur, père ou mère, ou toute personne qui remplace le père ou la mère, est fondé à employer la force pour corriger un élève ou un enfant, selon le cas, confié à ses soins, pourvu que la force ne dépasse pas la mesure raisonnable dans les circonstances».
C’est précisément cet article que cherche à abroger le député Julian.
Malgré des débats ponctuels au fil des années, l’article 43 est resté pratiquement inchangé depuis la première version du Code criminel, en 1892. Seule la mention des «apprentis» et des «instituteurs» a été retirée.
La fessée avait rebondi à la Cour suprême en 2004 dans le cadre d’un recours intenté par l’organisme Canadian Foundation for Children, Youth and the Law.
À six juges contre trois, la plus haute cour du pays a statué que l’article 43 ne porte pas atteinte au droit des enfants à la sécurité et à l’égalité, ni à leur droit d’être protégés contre des «traitements ou peines cruels et inusités».
Selon ces derniers, la fessée est justifiable pourvu que l’enfant soit en mesure «de comprendre la correction et d’en tirer profit», que la force utilisée demeure «passagère et négligeable» et qu’elle ne doit pas avoir d’effet préjudiciable ni dégradant sur l’enfant.
L'aide médicale à mourir, un conservateur pas d'accord.
C'est un sujet délicat qui pourrait tout de même se virer à des débordements incontrôlables pour faciliter la responsabilité médicale à prendre en charge sur certains patient atteints de maladie incurable. Évidemment, la loi en tant que telle n'est pas rendue là mais qu'en sera-t-elle dans une cinquantaine d'années avec de nouvelles directives ou amendements ?
La démence puisqu'il s'agit d'une maladie mentale dégénérative ainsi que l’Alzheimer, est encore sur la rectification de cette loi sur l'aide médicale à mourir. Elle n'est pas encore une maladie incurable puisqu'il y a encore une place médicale pour améliorer les conditions de vie pour les personnes qui en sont atteintes. Il est là le hic de la nouvelle demande pour rectifier cette loi.
Tout cas, si une personne a encore toute sa tête malgré cette dégénérescence du cerveau, sa demande peut être rejetée puisque la loi est claire, il faut que la maladie en question soit incurable et que le temps de vie est restreint selon la maladie en question.
Dédé
Pas surprenant de voir les CONServateurs s'élever contre ça avec la base religieuse au sein du parti. Les gens vont votre pour ce parti pourri et ils vont instaurer de l'idéologie d'extrême-droite et les portes grandes ouvertes pour les riches et le privé. Ca parti va se concentrer sur les plus forts la poche.
_____________________
C'est certain que rien n'est surprenant pour ce parti rétrograde. Nous avons vu c'est quoi un tel parti sous la gouvernement Harper. Ce sale individu a réduit les prestation de chômage et a légiféré pour que l'accessibilité soit restreinte à un point tel que les employeurs avaient le gros bout pour réduire les travailleurs à ne pas rouspéter et demeurer à leur emploi car s'ils cessaient leur emploi, il n'avait aucune raison valable et n'avaient que dalle comme rémunération de cette prestation. Sans compter à la privatisation de certains services gouvernementaux dont je ne me souviens plus lesquels.
Il faut s'attendre au pire si Poildecul entre au pouvoir, même minoritaire, c'est un sale individu !
Poildecul va faire la même chose. Il l'a dit qu'il couperait des services pour baisser les impôts et donner des avantages aux employeurs.
Un Con servateur pour la fessée...
ça s'invente pas... (voir le texte surligné en rouge)
Tout un programme les Con Servateurs... baisser les taxes sur l'essence au passage...
https://www.journaldemontreal.com/2024/02/15/ottawa-songe-a-abolir-la-fessee-aux-enfants
Ottawa songe à abolir la fessée aux enfants
PARTAGE
RAPHAËL PIRRO
Jeudi, 15 février 2024 16:25MISE À JOUR Jeudi, 15 février 2024 16:25
Un projet de loi du NPD visant à criminaliser la fessée aux enfants fait son chemin à Ottawa.
L’initiative du néo-démocrate Peter Julian a reçu les appuis du Bloc Québécois et des libéraux, mercredi, assez pour être étudiée au Comité permanent de la justice et des droits de la personne. Les conservateurs sont les seuls à s’y opposer clairement.
«Je constate que des pays comme l'Iran, l'Arabie saoudite et la Russie autorisent encore les châtiments corporels infligés aux enfants. Cependant, nos alliés, les pays démocratiques, s'accordent pour interdire cette pratique. Pourquoi?», a questionné M. Julian lors d’un débat sur le sujet à l’automne.
Des élus du Bloc Québécois et du gouvernement libéral ont relevé certaines craintes voulant que des professeurs puissent être criminalisés simplement pour s’être défendus contre des élèves violents.Le conservateur Damien Kurek a aussi fait part des inquiétudes de certaines organisations de professeurs, mais plus globalement, il y voit un «contrôle accru de l’État» sur l’éducation des enfants.
«Il est absolument fondamental de veiller à ce que les parents disposent de toute la latitude nécessaire pour élever des citoyens équilibrés et productifs», a-t-il dit.
La fessée à travers le monde
Interdite dans de nombreux pays, la fessée demeure courante à travers le monde.Des chiffres récents de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) montrent qu’environ 60% des enfants de 2 à 14 ans «subissent régulièrement des châtiments corporels de la part de leurs parents ou d’autres personnes qui s’occupent d'eux».
La fessée au Canada
Au Canada, la fessée est tolérée en vertu de l’article 43 du Code criminel, qui stipule que «tout instituteur, père ou mère, ou toute personne qui remplace le père ou la mère, est fondé à employer la force pour corriger un élève ou un enfant, selon le cas, confié à ses soins, pourvu que la force ne dépasse pas la mesure raisonnable dans les circonstances».C’est précisément cet article que cherche à abroger le député Julian.
Malgré des débats ponctuels au fil des années, l’article 43 est resté pratiquement inchangé depuis la première version du Code criminel, en 1892. Seule la mention des «apprentis» et des «instituteurs» a été retirée.La fessée avait rebondi à la Cour suprême en 2004 dans le cadre d’un recours intenté par l’organisme Canadian Foundation for Children, Youth and the Law.
À six juges contre trois, la plus haute cour du pays a statué que l’article 43 ne porte pas atteinte au droit des enfants à la sécurité et à l’égalité, ni à leur droit d’être protégés contre des «traitements ou peines cruels et inusités».
Selon ces derniers, la fessée est justifiable pourvu que l’enfant soit en mesure «de comprendre la correction et d’en tirer profit», que la force utilisée demeure «passagère et négligeable» et qu’elle ne doit pas avoir d’effet préjudiciable ni dégradant sur l’enfant.
Rien de surprenant avec eux.
Poildecul, qui mange de la marde tabarnack !
Un crisse de mangeux de marde !
Qu'il retourne donc se baigner dans son puisard l'Étron !
Poildecul, qui mange de la marde tabarnack !
Un crisse de mangeux de marde !
Qu'il retourne donc se baigner dans son puisard l'Étron !