https://www.journaldequebec.com/2024/02/19/la-caricature-dygreck-en-video-voici-la-rais...

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Une loi spéciale aurait été moins coûteux !

https://www.journaldequebec.com/2024/02/19/la-caricature-dygreck-en-video-voici-la-rais...

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Une loi spéciale aurait été moins coûteux !

ouais mais un moment donné il faut pouvoir garder les profs en place... y a un problème de décrochage de profs, un métier qui est devenu de la marde avec le temps...
une loi spéciale aurait nécessairement entraîné la démission de plusieurs profs

la gestion de la crise a été un vrai fiasco avec Burnout Drainvide baveux et incompétent au max
Ils ont laissé des élèves sans école pendant des semaines, la pire province au canada... et des fonctionnaires à l'éducation qui se sont pogné le cul tout comme pendant le covid. Retraites anticipées pour plusieurs.

c'est gênant!

'd'ici pas long vous allez probablement avoir des écoles à la maison avec un prof autorisé par l'état.... et une caméra dans le salon pour vérifier tout fait et geste...

https://www.journaldequebec.com/2023/09/08/on-est-dans-le-mur--plus-de-14-230-enseignan...

14 230 enseignants manqueront à l’appel d’ici quatre ans

Les prévisions de Québec concernant la pénurie d'enseignants, obtenues par «Le Journal», font craindre le pire
«On est dans le mur»: 14 230 enseignants manqueront à l’appel d’ici quatre ans - explications

Photo logo de la journaliste Daphnée Dion Viens du Journal de Québec, lundi le 11 Janvier 2016 à Québec. SIMON CLARK/JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI
DAPHNÉE DION-VIENS
Vendredi, 8 septembre 2023 00:00

MISE À JOUR Vendredi, 8 septembre 2023 17:29

La pénurie d’enseignants est déjà criante dans le réseau scolaire, mais elle ne fera que s’aggraver au cours des prochaines années. Québec prévoit qu’il manquera 14 230 profs dans les écoles québécoises d’ici quatre ans, ce qui fait craindre le pire à des acteurs du réseau scolaire et des experts.

• À lire aussi: Abolir la 6e année pour contrer la pénurie d’enseignants?

La situation est à ce point critique que des solutions drastiques sont mises de l'avant pour contrer la pénurie, comme la réduction du parcours scolaire d’une année.

Écoutez l'entrevue avec Yolande Brunelle, ex-enseignante, ancienne directrice d’école primaire et superviseure de stage à l’UQAM à l’émission d’Alexandre Dubé via QUB radio :

«On n’y arrivera pas»
Le ministère de l’Éducation prévoit, dans un document daté de juin obtenu par Le Journal, que le nombre «d’enseignants manquants» dans le réseau scolaire public s’élèvera à 3600 en moyenne pour chacune des quatre prochaines années, pour un total de 14 230 (voir détails plus bas).

Ce nombre comprend 6000 postes ou contrats, majoritairement au secondaire, alors que les autres besoins sont pour des remplacements et de la suppléance.

«C’est encore pire que ce à quoi on s’attendait. On le voit, mathématiquement, on n’y arrivera pas», laisse tomber Nicolas Prévost, président de la Fédération québécoise des directions d’établissement d’enseignement.

«On ne s’en va pas dans le mur, on est dans le mur», lance de son côté Martin Maltais, professeur de financement et de politiques éducatives à l’Université du Québec à Rimouski.

«Avec des chiffres comme ceux-là, le ministre va devoir envisager autre chose» que les solutions mises de l’avant jusqu’à maintenant, ajoute-t-il.

Selon nos informations, Québec ne s’était pas livré à un tel exercice de prévision depuis au moins 20 ans. Le ministère a mis en place, à l'automne 2022, une nouvelle direction qui a pour but de «soutenir le réseau scolaire en matière de planification de la main-d’œuvre et de recommander aux autorités des solutions porteuses», indique son porte-parole, Bryan St-Louis.

Encore plus de départs à la retraite
Ces prévisions sont basées notamment sur le nombre de diplômés en enseignement chaque année et le nombre croissant de départs à la retraite, qui fera un bond de 60% au cours des prochaines années.

Les projections gouvernementales comprennent aussi des «hypothèses de mouvement de personnel», qui prennent en compte les enseignants qui quittent avant l'âge de la retraite et ceux qui abandonnent en tout début de carrière, indique le ministère.

Les projections concernant le nombre d’élèves dans les écoles québécoises ne sont toutefois pas assez élevées compte tenu de l'immigration, selon Martin Maltais, alors qu'il s'agit d'une réalité qui est sous-estimée depuis des années par le ministère dans ses projections démographiques.

«Je ne comprends pas qu’on puisse manquer de jugement à ce point-là», laisse-t-il tomber.

Le professeur de l’UQAR souligne par ailleurs que le recrutement de profs non qualifiés sera de plus en plus difficile, parce que ceux intéressés auront déjà levé la main.

Dans son document, le ministère précise toutefois que les «effets potentiels» de l’Opération main-d’œuvre – qui comprend notamment des mesures pour attirer des étudiants en enseignement – pourraient permettre de réduire les besoins de 30%.

Ces projections, «qui doivent être utilisées avec grande prudence» selon Québec, sont jugées irréalistes par les experts consultés.

Où sont les enseignants?
Geneviève Sirois, professeure en administration scolaire à la TÉLUQ, estime pour sa part qu’il faut s’interroger davantage sur les raisons qui poussent les profs à s’absenter, puisque ces chiffres démontrent que les écoles ont surtout besoin de suppléants pour les remplacer.

«Ça nous remet en pleine face le problème de garder nos enseignants en classe», alors que Québec mise plutôt sur des formations qualifiantes plus courtes pour contrer la pénurie, déplore-t-elle.

Or la solution passe plutôt par l’amélioration des conditions de travail, selon la professeure de la TÉLUQ.

À la Fédération des centres de services scolaires, on espère que la négociation en cours avec Québec «saura tenir compte, en toile de fond, de la pénurie».

Sa présidente-directrice générale, Caroline Dupré, presse par ailleurs toutes les universités «d’emboîter le pas» afin de former plus rapidement les profs non qualifiés, dont le nombre augmentera forcément dans les prochaines années.

Du côté des directions d’école, Nicolas Prévost souligne toutefois que le recours à des profs sans formation en enseignement représente un «cercle vicieux» qui alourdit encore davantage la charge de travail des collègues qui leur viennent en aide.

NOMBRE D’ENSEIGNANTS MANQUANTS DANS LES ÉCOLES PUBLIQUES QUÉBÉCOISES

fait divers de plus en plus fréquent dans écoles qui ressemblent de plus en plus à des pénitenciers!

ce qui est vraiment plate dans le dossier des négociations c'est qu'au final c'était juste une question de salaire$ et non des conditions de travail
https://courrierlaval.com/police-laval-arrete-eleves-intimide-menaces-mort-ecole-lodyss...

Élèves arrêtés pour menaces de mort à L’Odyssée-des-Jeunes

Le vendredi 16 février, le Service de police de Laval (SPL) a arrêté deux garçons âgés de 13 ans, car ils auraient intimidé et proféré des menaces de mort envers deux autres élèves de l’école L’Odyssée-des-Jeunes.

Deux semaines plus tôt, le mardi 6 février, les deux victimes, âgées entre 12 et 13 ans, auraient porté secours à une jeune fille de 11 ans, fréquentant aussi leur école, qui était impliquée dans une bagarre avec les deux suspects.

À noter que cette rixe s’était déroulée ailleurs que sur le terrain de l’établissement scolaire situé rue Cyrille-Delage, à Vimont.

Depuis, une surveillance policière accrue avait été autorisée autour de L’Odyssée-des-Jeunes, après le dépôt d’une plainte officielle envers les deux suspects qui ont été interpellés par la suite puis libérés avec des conditions à respecter.

Cette présence policière visait notamment à rassurer l’ensemble des élèves de l’école.

Cependant, on ignore toujours la nature des motifs ayant déclenché la bagarre initiale entre ces jeunes adolescents.

Soulignons aussi que les deux jeunes suspects arrêtés puis relâchés ont été suspendus par l’école.

quand tu as un deux de pique de ministre prend ses vacances en Europe pendant l'été qui revietn à la dernière minute pour annoncer qu'il manque des milliers de profs et qui porte des lunettes roses
T'aimerais-tu ça avoir ça comme boss?

https://www.985fm.ca/audio/607776/bernard-drainville-espere-que-l-on-pourra-voir-les-am...

«J'ai espoir que l'insatisfaction va diminuer avec le temps» -Bernard Drainville
Accompagné du ministre de l’Éducation, Bernard Drainville, et la présidente du Conseil du Trésor Sonia LeBel, le premier ministre Legault a fait le point dimanche sur les finances de la province et les avancées en éducation à la suite des négociations avec le secteur public.

Alors qu'il a réitéré qu'il n'y aura «pas d'austérité», malgré l'annonce d'investissements majeurs dans le réseau de l’éducation, François Legault a annoncé que le prochain budget sera largement déficitaire.

Au micro de Louis Lacroix lundi matin, écoutez Bernard Drainville aborder les gains en efficacité et les améliorations accordées aux travailleurs de l'éducation avec les dernières conventions collectives dans le secteur public.

Il donne d'ailleurs des exemples de la souplesse qui a été accordée par les syndicats et qui était tant importante aux yeux du ministre.

Revenant sur la question des salaires, le ministre explique que les enseignants après 13 ans d'ancienneté obtiendront maintenant plus de 100 000$ par année.

Il rappelle qu'il aimerait pouvoir abaisser les ratios dans les classes à court terme, mais que le manque de personnel ne lui permet pas de le faire actuellement.

«Moi, l'espoir que j'ai, c'est qu'au fur et à mesure où les enseignants vont vivre avec ces nouvelles conditions, ils vont les voir les améliorations dans leur quotidien. Donc l'insatisfaction, dont vous parlez, j'ai bon espoir qu'elle va diminuer avec le temps et que les enseignants et le personnel scolaire vont se dire: "Bien, c'est mieux."»

Bernard Drainville

M. Drainville espère que le temps permettra aux enseignants de voir les choses s'améliorer et de rendre le secteur de l'enseignant plus attractif.

https://www.journaldequebec.com/2024/02/19/la-caricature-dygreck-en-video-voici-la-rais...

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Une loi spéciale aurait été moins coûteux !

Il prépare son austérité et il mettra ça sur la faute des autres.

https://www.journaldequebec.com/2024/02/19/la-caricature-dygreck-en-video-voici-la-rais...

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Une loi spéciale aurait été moins coûteux !

Il prépare son austérité et il mettra ça sur la faute des autres.

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Pour qu'un premier ministre dise que les profs sont les responsables pour ce qui s'en vient comme budget provincial, il démontre sans nul doute qu'il est un médiocre négociateur. Par contre comme tu l'écris, ça sent l'austérité son affaire.

https://www.journaldequebec.com/2024/02/19/la-caricature-dygreck-en-video-voici-la-rais...

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Une loi spéciale aurait été moins coûteux !

Il prépare son austérité et il mettra ça sur la faute des autres.

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Pour qu'un premier ministre dise que les profs sont les responsables pour ce qui s'en vient comme budget provincial, il démontre sans nul doute qu'il est un médiocre négociateur. Par contre comme tu l'écris, ça sent l'austérité son affaire.

Mais il restera silencieux sur les cliniques privées et les agences privées qui rapportent un pactole aux tu-namis des véreux de la droite capricieuse.

https://www.journaldequebec.com/2024/02/19/la-caricature-dygreck-en-video-voici-la-rais...

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Une loi spéciale aurait été moins coûteux !

Il prépare son austérité et il mettra ça sur la faute des autres.

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Pour qu'un premier ministre dise que les profs sont les responsables pour ce qui s'en vient comme budget provincial, il démontre sans nul doute qu'il est un médiocre négociateur. Par contre comme tu l'écris, ça sent l'austérité son affaire.

Mais il restera silencieux sur les cliniques privées et les agences privées qui rapportent un pactole aux tu-namis des véreux de la droite capricieuse.

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Rien ne me surprend avec un poli-ti-chien.

https://www.journaldequebec.com/2024/02/19/la-caricature-dygreck-en-video-voici-la-rais...

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Une loi spéciale aurait été moins coûteux !

Il prépare son austérité et il mettra ça sur la faute des autres.

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Pour qu'un premier ministre dise que les profs sont les responsables pour ce qui s'en vient comme budget provincial, il démontre sans nul doute qu'il est un médiocre négociateur. Par contre comme tu l'écris, ça sent l'austérité son affaire.

Mais il restera silencieux sur les cliniques privées et les agences privées qui rapportent un pactole aux tu-namis des véreux de la droite capricieuse.

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Rien ne me surprend avec un poli-ti-chien.

Surtout celui-là. Il a bien caché son jeu pour se faire élire pour 2 mandats.

Pas pour rien qu'il disait toujours lors de sa cabale du premier mandat ; On verra !

Pas pour rien qu'il disait toujours lors de sa cabale du premier mandat ; On verra !

Le fameux, on verra.