Dossier : services préhospitaliers (Forum)
KATHRYNE LAMONTAGNE , PASCAL DUGAS BOURDON et MARIE-CLAUDE PARADIS-DESFOSSÉS
Samedi, 24 février 2024 00:00
MISE À JOUR Samedi, 24 février 2024 00:00
Notre Bureau d’enquête a compilé et analysé les délais moyens entre un appel urgent au 911 et l’arrivée des ambulanciers dans les 112 municipalités de plus de 10 000 habitants du Québec, sur une période d’une année. Résultat: près de 85% d’entre elles sont incapables de fournir dans les temps requis une ambulance à une personne dont la vie est menacée.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, juge inacceptables les longs délais d’intervention des ambulanciers au Québec et annonce qu'il déposera «dans les prochains jours» un plan d'action sur les services préhospitaliers.
«Les situations rapportées par Le Journal sont inacceptables, nous ne pouvons faire aucun compromis sur la sécurité des patients», a déclaré vendredi sur X le ministre de la Santé, en réaction aux reportages de notre Bureau d'enquête.
«La couverture ambulancière doit être adaptée à la réalité de chaque territoire. Chaque établissement doit évaluer ses besoins et nous en faire part afin que nous puissions apporter les ajustements nécessaires», a-t-il poursuivi.
En entrevue plus tôt avec notre Bureau d'enquête, Martin Forgues, directeur général adjoint, Service préhospitalier et des effectifs médicaux au ministère de la Santé, tenait le même discours. Il assurait vouloir corriger la situation, sans toutefois être en mesure d'indiquer quand il y parviendra.
Lire la suite à la source
______________
Toujours du
Jamais de solution. Avec le train de vie que les gens vivent, et l'augmentation de la population partout au Québec, les mesures sont devenues obsolètes et d'ailleurs, ces dites mesures ont toujours été en deçà des attentes puisque aussi loin que je me souviennes, ces mesures ont toujours été lamentables. Ça dort au gaz ces pousseux de crayons !
Toutefois, le contexte actuel ne permettrait pas offrir mieux pour la population car les paramédics se retrouvent avec des problèmes de santé mentale ( en burn-out ) rapidement et que plusieurs choisissent une autre carrière plutôt se retrouver sans ressources à un travail qui demande énormément en responsabilité civile, ils n'ont pas le droit à l'erreur. Sans compter que ce métier est le plus dangereux pour les blessures au dos, j'en sais quelque chose.
Ça coûte énormément cher de déployer des ambulances aux municipalités, on jase à coup de plus d'un million$ par jour si nous prenons le temps d'analyser cette situation de déploiement. Le coût de transport par ambulance est pourtant assez élevé pour éviter la non-nécessité d'avoir ce service mais il y a tout de même de l'exagération qui bien souvent, ne nécessite pas un transport par ambulance. Ça aussi peut causer du retard dans le service d'urgence.
La solution serait qu'il y ait des superviseurs-paramédics à la grandeur de la province ( avec le nécessaire pour un service préhospitalier à bord de leur véhicule ) pour entériner un transport par ambulance. Au moins, si une ambulance n'est pas disponible à un temps requis, les gens pourraient recevoir les soins adéquats durant l'attente du service de transport préhospitalier. Je l'ai déjà suggéré et cette suggestion n'a pas été retenue pour des raisons que j'ignore, sans doute pour des raisons d'argents. Il me semble qu'un superviseur pour un bassin de 100,000 habitants, ça devrait se faire et en plus, ça minimiserait le transport inutile ou même s'il y a nécessité de transport non urgent.
Évidemment, le service préhospitalier privé en-dehors des grandes villes qui ont un réseau de service d'Urgence-Santé, devrait faire un rapport sur chaque transport qu'ils font afin de voir la nécessité d'augmenter ou pas la flotte de leur ambulance dans les secteurs qu'ils opèrent. Ainsi le ministère de la santé qui gère les services préhospitaliers aurait l'heure juste de ce qui en est pour répondre adéquatement à une urgence.
Me semble que ça serait assez simple pour gérer cette situation qui perdure depuis le temps de Mathusalem !
Dédé
à qui profite le crime?
Me semble que ça serait assez simple pour gérer cette situation qui perdure depuis le temps de Mathusalem !
Dédé
à qui profite le crime?
Qui est un des principal CONseiller du PR, de quelle famille est-il et quel intérêt$$$ sert$-il?
ET si certains avaient tout intérêt à laisser se dégrader les services publiques?
Hein?
Et si on veut aller plus loin, la buisness de l'insécurité, c'est payant aussi...
Mais rassurons nous Nabot Dubois est allé à la Cabane à Sucre, chose PéKul chez Cé Tubête, pis toutes leurs kâlisses de selfies à marde sauf pour aller dans le vif du sujet... Santé, Éducation, Inflation...
Dossier : services préhospitaliers
KATHRYNE LAMONTAGNE , PASCAL DUGAS BOURDON et MARIE-CLAUDE PARADIS-DESFOSSÉS
Samedi, 24 février 2024 00:00MISE À JOUR Samedi, 24 février 2024 00:00
Notre Bureau d’enquête a compilé et analysé les délais moyens entre un appel urgent au 911 et l’arrivée des ambulanciers dans les 112 municipalités de plus de 10 000 habitants du Québec, sur une période d’une année. Résultat: près de 85% d’entre elles sont incapables de fournir dans les temps requis une ambulance à une personne dont la vie est menacée.
Le ministre de la Santé, Christian Dubé, juge inacceptables les longs délais d’intervention des ambulanciers au Québec et annonce qu'il déposera «dans les prochains jours» un plan d'action sur les services préhospitaliers.«Les situations rapportées par Le Journal sont inacceptables, nous ne pouvons faire aucun compromis sur la sécurité des patients», a déclaré vendredi sur X le ministre de la Santé, en réaction aux reportages de notre Bureau d'enquête.
«La couverture ambulancière doit être adaptée à la réalité de chaque territoire. Chaque établissement doit évaluer ses besoins et nous en faire part afin que nous puissions apporter les ajustements nécessaires», a-t-il poursuivi.
En entrevue plus tôt avec notre Bureau d'enquête, Martin Forgues, directeur général adjoint, Service préhospitalier et des effectifs médicaux au ministère de la Santé, tenait le même discours. Il assurait vouloir corriger la situation, sans toutefois être en mesure d'indiquer quand il y parviendra.
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______________Toujours du
Jamais de solution. Avec le train de vie que les gens vivent, et l'augmentation de la population partout au Québec, les mesures sont devenues obsolètes et d'ailleurs, ces dites mesures ont toujours été en deçà des attentes puisque aussi loin que je me souviennes, ces mesures ont toujours été lamentables. Ça dort au gaz ces pousseux de crayons !
Toutefois, le contexte actuel ne permettrait pas offrir mieux pour la population car les paramédics se retrouvent avec des problèmes de santé mentale ( en burn-out ) rapidement et que plusieurs choisissent une autre carrière plutôt se retrouver sans ressources à un travail qui demande énormément en responsabilité civile, ils n'ont pas le droit à l'erreur. Sans compter que ce métier est le plus dangereux pour les blessures au dos, j'en sais quelque chose.
Ça coûte énormément cher de déployer des ambulances aux municipalités, on jase à coup de plus d'un million$ par jour si nous prenons le temps d'analyser cette situation de déploiement. Le coût de transport par ambulance est pourtant assez élevé pour éviter la non-nécessité d'avoir ce service mais il y a tout de même de l'exagération qui bien souvent, ne nécessite pas un transport par ambulance. Ça aussi peut causer du retard dans le service d'urgence.
La solution serait qu'il y ait des superviseurs-paramédics à la grandeur de la province ( avec le nécessaire pour un service préhospitalier à bord de leur véhicule ) pour entériner un transport par ambulance. Au moins, si une ambulance n'est pas disponible à un temps requis, les gens pourraient recevoir les soins adéquats durant l'attente du service de transport préhospitalier. Je l'ai déjà suggéré et cette suggestion n'a pas été retenue pour des raisons que j'ignore, sans doute pour des raisons d'argents. Il me semble qu'un superviseur pour un bassin de 100,000 habitants, ça devrait se faire et en plus, ça minimiserait le transport inutile ou même s'il y a nécessité de transport non urgent.
Évidemment, le service préhospitalier privé en-dehors des grandes villes qui ont un réseau de service d'Urgence-Santé, devrait faire un rapport sur chaque transport qu'ils font afin de voir la nécessité d'augmenter ou pas la flotte de leur ambulance dans les secteurs qu'ils opèrent. Ainsi le ministère de la santé qui gère les services préhospitaliers aurait l'heure juste de ce qui en est pour répondre adéquatement à une urgence.
Me semble que ça serait assez simple pour gérer cette situation qui perdure depuis le temps de Mathusalem !
Dédé
Esti que ça fait dur. Et la solution de la CAQ sera l'austérité. C'est beau en crisse cette gang-là.
privatisation.... Elvis Légault
Esti que ça fait dur. Et la solution de la CAQ sera l'austérité. C'est beau en crisse cette gang-là.
ça va être la privatisation, SUBVENTIONNÉE à vitesse V
y ont les moyens de se payer du privé... et priver les autres de services...
Au moins tant que nous aurons ce charmant forum, nous serons la force d'opposition non officielle..
Elvis Gratton 2 La privatisation
privatisation.... Elvis Légault
Esti que ça fait dur. Et la solution de la CAQ sera l'austérité. C'est beau en crisse cette gang-là.
ça va être la privatisation, SUBVENTIONNÉE à vitesse V
y ont les moyens de se payer du privé... et priver les autres de services...Au moins tant que nous aurons ce charmant forum, nous serons la force d'opposition non officielle..
Elvis Gratton 2 La privatisation
On va être privé de services en crisse prochainement avec Legault.
Dossier : services préhospitaliers
On est pogné avec un cristi de boutte avec eux, parce que les sondage pour le PQ pour les intentions de vote, je n'y crois pas !
Dossier : services préhospitaliers
On est pogné avec un cristi de boutte avec eux, parce que les sondage pour le PQ pour les intentions de vote, je n'y crois pas !
Il est encore très tôt et selon moi, ça désavantage le PQ même si les sondages sont très en leur faveur.