2$ d’extra pour une assiette vide (Forum)
Source : Restaurant à déjeuner: 2$ d’extra pour une assiette vide
JESSICA POTSOU
Samedi, 1 juin 2024 15:36
MISE À JOUR Samedi, 1 juin 2024 15:36
Une femme a reçu une mauvaise surprise samedi matin lorsqu’elle a reçu sa facture de restaurant à Sainte-Anne-des-Plaines, dans les Laurentides: on lui a facturé l’assiette vide qu’elle avait demandée pour partager ses fruits avec son enfant.
Le tout s’est produit samedi matin lorsque Judy Widmer, qui a partagé sa mésaventure dans Facebook, est allée manger à La Pataterie Labelle à Sainte-Anne-des-Plaines. Quand la serveuse a pris sa commande, elle lui a demandé ce que son petit allait prendre. La mère a alors expliqué que son enfant n’avait que 2 ans et que, puisqu’il ne mangeait presque rien, elle allait partager son repas avec lui. Par conséquent, elle a demandé une assiette vide pour faciliter le partage.
C’est lorsqu’elle a reçu la facture que la femme a vu qu’on lui avait facturé 2 $ pour l’assiette vide. Elle a donc demandé des explications à la serveuse et au gérant. On lui a alors indiqué que c’était une politique du restaurant et que c’était écrit dans le menu.
«Le menu, la manière dont c’est fait, c’est un napperon. Ce n’est pas un menu [dont] on tourne les pages. Sur le napperon, c’est écrit en tout petit dans le sens inverse qu’ils chargeaient 2 $ pour les assiettes d’extra. Je ne l’ai jamais lu, je ne l’ai jamais vu et je ne pensais pas que ça allait s’appliquer à un enfant de 2 ans qui ne mange pas vraiment», a-t-elle dit en entrevue avec l’Agence QMI.
Pour Judy Widmer, ce n’est pas le 2$ qui l’a déconcertée, mais bien le fait qu’on lui ait facturé du «vide» alors qu’on lui a même donné une assiette dans laquelle on avait mis de petites portions individuelles de confiture et de beurre d’arachides toutes emballées.
«Charger 2$ [d’] extra pour une assiette VIDE pour un bébé de tout juste 2 ans [...] Avoir su j’aurai pris mon assiette de TOAST pour donner 1 bout [de] melon d’eau et une orange à mon bébé de mon assiette à 16$ [sic]», a-t-elle ainsi écrit dans une publication Facebook.
Après vérification auprès du restaurant, il semblerait que ce soit bel et bien une politique habituelle.
____________________
Ben quoi, il faut bien payer la plonge !
Non mais quand même, charger une assiette vide, il faut le faire en sacrament !
Donc si vous passez à Ste-Anne-des Plaines, n'allez pas à ce restaurant, un plan qu'il vous charge des sous pour avoir placer le service sur votre table !
D'ailleurs le nom du resto est bien en vue.
Méchant restaurateur.
Dédé
2$ d’extra pour une assiette vide
Source : Restaurant à déjeuner: 2$ d’extra pour une assiette vide
JESSICA POTSOU
Samedi, 1 juin 2024 15:36MISE À JOUR Samedi, 1 juin 2024 15:36
Une femme a reçu une mauvaise surprise samedi matin lorsqu’elle a reçu sa facture de restaurant à Sainte-Anne-des-Plaines, dans les Laurentides: on lui a facturé l’assiette vide qu’elle avait demandée pour partager ses fruits avec son enfant.
Le tout s’est produit samedi matin lorsque Judy Widmer, qui a partagé sa mésaventure dans Facebook, est allée manger à La Pataterie Labelle à Sainte-Anne-des-Plaines. Quand la serveuse a pris sa commande, elle lui a demandé ce que son petit allait prendre. La mère a alors expliqué que son enfant n’avait que 2 ans et que, puisqu’il ne mangeait presque rien, elle allait partager son repas avec lui. Par conséquent, elle a demandé une assiette vide pour faciliter le partage.
C’est lorsqu’elle a reçu la facture que la femme a vu qu’on lui avait facturé 2 $ pour l’assiette vide. Elle a donc demandé des explications à la serveuse et au gérant. On lui a alors indiqué que c’était une politique du restaurant et que c’était écrit dans le menu.
«Le menu, la manière dont c’est fait, c’est un napperon. Ce n’est pas un menu [dont] on tourne les pages. Sur le napperon, c’est écrit en tout petit dans le sens inverse qu’ils chargeaient 2 $ pour les assiettes d’extra. Je ne l’ai jamais lu, je ne l’ai jamais vu et je ne pensais pas que ça allait s’appliquer à un enfant de 2 ans qui ne mange pas vraiment», a-t-elle dit en entrevue avec l’Agence QMI.
Pour Judy Widmer, ce n’est pas le 2$ qui l’a déconcertée, mais bien le fait qu’on lui ait facturé du «vide» alors qu’on lui a même donné une assiette dans laquelle on avait mis de petites portions individuelles de confiture et de beurre d’arachides toutes emballées.
«Charger 2$ [d’] extra pour une assiette VIDE pour un bébé de tout juste 2 ans [...] Avoir su j’aurai pris mon assiette de TOAST pour donner 1 bout [de] melon d’eau et une orange à mon bébé de mon assiette à 16$ [sic]», a-t-elle ainsi écrit dans une publication Facebook.
Après vérification auprès du restaurant, il semblerait que ce soit bel et bien une politique habituelle.
____________________Ben quoi, il faut bien payer la plonge !
Non mais quand même, charger une assiette vide, il faut le faire en sacrament !
Donc si vous passez à Ste-Anne-des Plaines, n'allez pas à ce restaurant, un plan qu'il vous charge des sous pour avoir placer le service sur votre table !
D'ailleurs le nom du resto est bien en vue.
Méchant restaurateur.
Dédé
Ciboire! Sont dans le trouble pour faire ça.
2$ d’extra pour une assiette vide
Source : Restaurant à déjeuner: 2$ d’extra pour une assiette vide
JESSICA POTSOU
Samedi, 1 juin 2024 15:36MISE À JOUR Samedi, 1 juin 2024 15:36
Une femme a reçu une mauvaise surprise samedi matin lorsqu’elle a reçu sa facture de restaurant à Sainte-Anne-des-Plaines, dans les Laurentides: on lui a facturé l’assiette vide qu’elle avait demandée pour partager ses fruits avec son enfant.
Le tout s’est produit samedi matin lorsque Judy Widmer, qui a partagé sa mésaventure dans Facebook, est allée manger à La Pataterie Labelle à Sainte-Anne-des-Plaines. Quand la serveuse a pris sa commande, elle lui a demandé ce que son petit allait prendre. La mère a alors expliqué que son enfant n’avait que 2 ans et que, puisqu’il ne mangeait presque rien, elle allait partager son repas avec lui. Par conséquent, elle a demandé une assiette vide pour faciliter le partage.
C’est lorsqu’elle a reçu la facture que la femme a vu qu’on lui avait facturé 2 $ pour l’assiette vide. Elle a donc demandé des explications à la serveuse et au gérant. On lui a alors indiqué que c’était une politique du restaurant et que c’était écrit dans le menu.
«Le menu, la manière dont c’est fait, c’est un napperon. Ce n’est pas un menu [dont] on tourne les pages. Sur le napperon, c’est écrit en tout petit dans le sens inverse qu’ils chargeaient 2 $ pour les assiettes d’extra. Je ne l’ai jamais lu, je ne l’ai jamais vu et je ne pensais pas que ça allait s’appliquer à un enfant de 2 ans qui ne mange pas vraiment», a-t-elle dit en entrevue avec l’Agence QMI.
Pour Judy Widmer, ce n’est pas le 2$ qui l’a déconcertée, mais bien le fait qu’on lui ait facturé du «vide» alors qu’on lui a même donné une assiette dans laquelle on avait mis de petites portions individuelles de confiture et de beurre d’arachides toutes emballées.
«Charger 2$ [d’] extra pour une assiette VIDE pour un bébé de tout juste 2 ans [...] Avoir su j’aurai pris mon assiette de TOAST pour donner 1 bout [de] melon d’eau et une orange à mon bébé de mon assiette à 16$ [sic]», a-t-elle ainsi écrit dans une publication Facebook.
Après vérification auprès du restaurant, il semblerait que ce soit bel et bien une politique habituelle.
____________________Ben quoi, il faut bien payer la plonge !
Non mais quand même, charger une assiette vide, il faut le faire en sacrament !
Donc si vous passez à Ste-Anne-des Plaines, n'allez pas à ce restaurant, un plan qu'il vous charge des sous pour avoir placer le service sur votre table !
D'ailleurs le nom du resto est bien en vue.
Méchant restaurateur.
Dédé
Ciboire! Sont dans le trouble pour faire ça.
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Sont plus voleurs que les résidents fédéraux qui y sont enfermés !
2$ d’extra pour une assiette vide
Source : Restaurant à déjeuner: 2$ d’extra pour une assiette vide
JESSICA POTSOU
Samedi, 1 juin 2024 15:36MISE À JOUR Samedi, 1 juin 2024 15:36
Une femme a reçu une mauvaise surprise samedi matin lorsqu’elle a reçu sa facture de restaurant à Sainte-Anne-des-Plaines, dans les Laurentides: on lui a facturé l’assiette vide qu’elle avait demandée pour partager ses fruits avec son enfant.
Le tout s’est produit samedi matin lorsque Judy Widmer, qui a partagé sa mésaventure dans Facebook, est allée manger à La Pataterie Labelle à Sainte-Anne-des-Plaines. Quand la serveuse a pris sa commande, elle lui a demandé ce que son petit allait prendre. La mère a alors expliqué que son enfant n’avait que 2 ans et que, puisqu’il ne mangeait presque rien, elle allait partager son repas avec lui. Par conséquent, elle a demandé une assiette vide pour faciliter le partage.
C’est lorsqu’elle a reçu la facture que la femme a vu qu’on lui avait facturé 2 $ pour l’assiette vide. Elle a donc demandé des explications à la serveuse et au gérant. On lui a alors indiqué que c’était une politique du restaurant et que c’était écrit dans le menu.
«Le menu, la manière dont c’est fait, c’est un napperon. Ce n’est pas un menu [dont] on tourne les pages. Sur le napperon, c’est écrit en tout petit dans le sens inverse qu’ils chargeaient 2 $ pour les assiettes d’extra. Je ne l’ai jamais lu, je ne l’ai jamais vu et je ne pensais pas que ça allait s’appliquer à un enfant de 2 ans qui ne mange pas vraiment», a-t-elle dit en entrevue avec l’Agence QMI.
Pour Judy Widmer, ce n’est pas le 2$ qui l’a déconcertée, mais bien le fait qu’on lui ait facturé du «vide» alors qu’on lui a même donné une assiette dans laquelle on avait mis de petites portions individuelles de confiture et de beurre d’arachides toutes emballées.
«Charger 2$ [d’] extra pour une assiette VIDE pour un bébé de tout juste 2 ans [...] Avoir su j’aurai pris mon assiette de TOAST pour donner 1 bout [de] melon d’eau et une orange à mon bébé de mon assiette à 16$ [sic]», a-t-elle ainsi écrit dans une publication Facebook.
Après vérification auprès du restaurant, il semblerait que ce soit bel et bien une politique habituelle.
____________________Ben quoi, il faut bien payer la plonge !
Non mais quand même, charger une assiette vide, il faut le faire en sacrament !
Donc si vous passez à Ste-Anne-des Plaines, n'allez pas à ce restaurant, un plan qu'il vous charge des sous pour avoir placer le service sur votre table !
D'ailleurs le nom du resto est bien en vue.
Méchant restaurateur.
Dédé
Ciboire! Sont dans le trouble pour faire ça.
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Sont plus voleurs que les résidents fédéraux qui y sont enfermés !
l'enfer de la restauration...
Je suis loin d'être pour ça, mais le métier de restauration c'est difficile,l'assiette vide faut laver quand même...
la restauRATtion c'est travailler 7 jours sur 7, des pourboires imposés que le client donne du pourboire ou pas, c'est collecter TVQ et tPS et si le restaurant ose faire des profit$ le gouvernement passe la gratte en impôt pour engrasser des fonctinnaires qui se pognent le cul en télétravail, (retraite anticipée)
C'est pas l'idée laplus brillante du tiroir de charger pour une assiette vide, mais faut comprendre que les restaurants sont étouffés de toutes parts par des gouvernements qui en veulent toujours plus de taxes d'impôts tout en redonnant le moins possible en retour...
Les proprios de re$to sont des esclaves modernes qui collectent des taxes tout bord tout côté et qui ne se font jamais dire merci par des politiciens qui dillapident leurs argent à la sueur de leur front sans jamais avoir la plus élémenteaire courtoisie de dire MERCI De temps à autre...
Les gouvernements tant fédéral provincial que municipal sont comme des chiens enragés à la recherche de taxe$ et règlementations supplémetaires sur le dos des entrepreneurs...
ça pardonnes-tu ça, sûrement pas...
mais la job de restaurateur c'est de la marde totale...pis y se font chier dessus par les politiciens en plus...
l'enfer de la restauration...
Franchement, j'ai déjà été restaurateur dans le passé et je sais que c'est difficile à gérer parce qu'il faut penser à tout. Mais delà à faire payer un client pour assiette vide, ben câlisse, fermes pis change de métier calvaire !
C'est comme les rats de grange chargeraient des frais supplémentaires pour ramasser les œufs au poulailler !
Voyons tabarnack, il faudrait cesser de chialer si les gens acceptent de payer des assiettes vide aux resto sti !
C'est comme le restaurant chic au Vieux Duluth, demandes pas de modifier le menu il te charge en tabarnack !
Restaurants à vendre...
Franchement, j'ai déjà été restaurateur dans le passé et je sais que c'est difficile à gérer parce qu'il faut penser à tout. Mais delà à faire payer un client pour assiette vide, ben câlisse, fermes pis change de métier calvaire !
C'est comme les rats de grange chargeraient des frais supplémentaires pour ramasser les œufs au poulailler !
Voyons tabarnack, il faudrait cesser de chialer si les gens acceptent de payer des assiettes vide aux resto sti !
C'est comme le restaurant chic au Vieux Duluth, demandes pas de modifier le menu il te charge en tabarnack !
beaucoup de restaurateurs ont fermés boutiques, et c'est juste un début...
charger pour des assiettes vides c'est pas l'idée du siècle, mais ils ont vécu l'enfer des fermetures avec des prêt$ non pardonnable... ça tombe comme des mouches...
Toujours aucune demande de permis pour des camions-restauran
J'Extrapole, mais la restauration c'est une industrie de marde avec des gouvernements qui sont toujours dans tes poche$ et ceux des serveuses et qui veulent toujours règlementer encore et toujours plus et qui prennent les profit$ pour donner aux ami$ du parti$.....
Les gouvernements Provinciaux et Muncipaux toujours à la recherche de taxer davantage les entreprises, leurs foutres des règlements et les fermer au besoin.... pendant que le nouveau service à la clientèle des villes c'est de RACCROCHER au nez des citoyens... sans exagérer...
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2077645/camion-restaurant-cuisine-rue-quebec?utm_s...
Toujours aucune demande de permis pour des camions-restaurants à Québec cet été
Si la tendance se maintient, les camions-restaurants seront absents des espaces publics municipaux de Québec. Un manque d’intérêt de la part des restaurateurs de rue, qui témoigne de leur mécontentement face au manque de flexibilité de l’administration municipale.
Nicolas Lavigne était l'un des pionniers des camions-restaurants à Québec il y a sept ans.
Mais plus question pour lui de faire une demande de permis à la Ville pour installer ses camions sur des terrains municipaux.
"Cette semaine, c'est près de 3000 repas qu'on va servir dans diverses entreprises [...], on n'a pas le temps d'aller attendre dans un parc", s’exclame celui qui ne déplace plus ses camions-restaurants que pour des événements privés.
Il faut dire qu’il n'est pas le seul à faire de même au cours des dernières années, puisque le nombre d'autorisations octroyées par la ville a fondu, passant de 5 en 2017 à 0 l'an dernier. Aucune demande de permis n'a encore été faite cette année. La Ville de Québec n'a pas souhaité commenter ce reportage.
Autorisations octroyées pour des camions-restaurants par la Ville de Québec
Année Nombres d'autorisations
2017 5
2018 4
2019 4
2020 3
2021 4
2022 4
2023 0
Source : Ville de Québec
Le propriétaire du restaurant Le Côtes-à-Côtes pose devant un camion de cuisine de rue.
Nicolas Lavigne, propriétaire du restaurant Le Côtes-à-Côtes, est l'un des pionniers de la cuisine de rue à Québec.
Photo : Radio-Canada / Flavie Sauvageau
Les camions-restaurants permis sur certains terrains municipaux seulement
Les camions restaurants sont autorisés sur seulement sept terrains publics municipaux à Québec, dont la Plage Jacques-Cartier et le Domaine de Maizerets. Ils sont peu populaires auprès de l'industrie.
AILLEURS SUR INFO : Selon Trump, une peine de prison pourrait être un « point de rupture » pour ses partisans
Or, le manque de flexibilité de la ville est critiqué par les restaurateurs de rue, qui jugent que ces endroits n’ont pas tous l'achalandage requis pour être rentables.
Ça prendrait quelque chose où il y a du monde.
Une citation de Nicolas Lavigne, propriétaire, Le Côtes-à-Côtes : Resto et traiteur
Sites publics municipaux où les camions-restaurants sont autorisés :
Centre de plein air de Beauport
Domaine de Maizerets (Secteur historique)
Emprise de la rue de la Gare-du-Palais (face au Palais de justice)
Emprise de la rue de la Gare-du-Palais (Place Jean-Pelletier)
Parc de la Plage Jacques-Cartier
Parc Étienne-Parent
Secteur de l'étang de la Côte
Boulevard Sainte-Anne
"On a toujours eu l'impression que la Ville de Québec ne s'était pas occupée de la cuisine de rue", admet la vice-présidente de l'Association des restaurateurs de rue du Québec, Gaëlle Cerf.
Selon celle qui est aussi pionnière de la cuisine de rue au Québec, cette stratégie de la Ville peut être motivée par le désir de protéger les restaurateurs qui ont pignon sur rue, à tort. "La réalité c'est que plus de 70 % des propriétaires de camions sont aussi propriétaires de restaurants, donc ça permet pour eux d'élargir leurs horizons ".
Elle croit qu’avec ses touristes, Québec gagnerait à bonifier son paysage gastronomique en permettant l’installation des camions-restaurants sur plus d’espaces publics.
Martin Boulay Lepage est propriétaire de l'entreprise Les événements La Capitale.
Martin Boulay Lepage est propriétaire de l'entreprise Les événements La Capitale et possède son camion de cuisine de rue depuis deux ans.
Photo : Radio-Canada / Flavie Sauvageau
Martin Boulay Lepage a son camion depuis 2 ans à peine. Beignes, barbe à papa, barbotine sont au menu. Mais déjà, la courte liste d’endroits autorisés par la ville ne l’attire pas.
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"Des endroits comme ça, si la température n'est pas présente, c'est a oublier, là. Pour nous aider nous autres puis toute l'industrie, il faut qu'on soit à des endroits où il y a du monde ", explique celui qui réserve son camion aux événements privés.
Une place dans le paysage culinaire de la ville
Jean Soulard avait fait partie d’un comité de la Ville de Québec sur la cuisine de rue en 2016. Il croit que les camions-restaurants ont leur place dans le paysage culinaire de la capitale.
Le bien manger peut être disponible partout, en s'asseyant au restaurant, en prenant quelque chose au food-truck. Après ça, c'est de la business, c’est des choix.
Une citation de Jean Soulard, chef
"Les restaurateurs, ils paient des taxes, et quelque part, ils se disent "je ne veux pas de concurrence" devant chez moi et ça, c'est respectable", soutient l’ancien chef au Château Frontenac.
Mais la réflexion doit aller plus loin, selon lui : "Quand j'étais au Château, s’il y avait eu un food truck [...] sur la terrasse Dufferin, est-ce que ça aurait été une concurrence? Je ne sais trop."