Mission périlleuse se rendre sur Mars, voici pourquoi ! (Sciences & Paranormal)
Source : Une nouvelle étude pourrait influencer les prochaines missions vers Mars
AFP
Vendredi, 28 juin 2024 13:55
MISE À JOUR Vendredi, 28 juin 2024 13:55
Mars est soumise à des percussions quasi quotidiennes de météorites, avec environ cinq fois plus d’impacts qu’estimé auparavant, selon des enregistrements sismiques effectués sur la planète rouge.
Jusqu’ici on estimait la fréquence de ces impacts avec des modèles associant des observations de cratères de météorites sur la Lune et des images de la surface martienne prises par des sondes en orbite.
On ajustait ces modèles aux caractéristiques de la planète rouge. Bien plus massive que la Lune, et bien plus proche de la ceinture principale d’astéroïdes du système solaire, Mars est une cible de choix pour les gros cailloux errant dans l’espace.
De surcroît, quasiment dénuée d’atmosphère – la sienne est cent fois plus fine que celle de la Terre –, elle ne peut même pas compter sur ce bouclier protecteur pour désintégrer une partie des météorites.
Une équipe internationale, menée par des chercheurs de l’École polytechnique de Zurich (ETH) et de l’Imperial College à Londres, apporte dans la revue Nature Astronomy parue vendredi un nouveau regard sur le sujet, grâce au son.
«Il paraît plus efficace d’écouter les impacts que de chercher à les voir si nous voulons comprendre à quelle fréquence ils interviennent», a dit Gareth Collins, co-auteur de l’étude et professeur à l’Imperial College britannique, dans un communiqué de son institution.
Et quoi de mieux que le sismographe SEIS (Expérience sismique pour la structure interne), un instrument réalisé sous la supervision du CNES (Centre national d’études spatiales).
Une sonde de la Nasa, InSight, l’a déposé en novembre 2018 dans la plaine martienne d’Elysium, permettant pour la première fois à l’humanité de coller son oreille contre le sol de la planète. L’objectif initial étant de mesurer son activité interne et d’éventuels évènements sismiques.
«Entendre chaque impact»
L’équipe de chercheurs a utilisé ces données pour déterminer que la planète est frappée chaque année par 280 à 360 météorites créant des cratères d’au moins huit mètres de diamètre. «Ce taux est cinq fois plus élevé que le nombre estimé à partir des seules images prises en orbite», explique Géraldine Zenhäusern, chercheuse à l’ETH, dans un communiqué de son établissement.
L’identification des petits cratères de météorites depuis une sonde en orbite est d’autant plus difficile que la planète est le théâtre de fréquentes tempêtes de sable pouvant les masquer.
«Si les nouveaux cratères peuvent mieux ressortir sur un terrain plat et poussiéreux, ce genre de terrain ne couvre que la moitié de la planète», selon Mme Zenhäusern. L’avantage du sismographe a été de «pouvoir entendre chaque impact à la portée de la sonde».
Les calculs de l’équipe reposent sur l’identification d’un type particulier d’ondes acoustiques, qui se propagent à la surface de Mars à l’impact de la météorite. Ces évènements, appelés Marsquake-VF (tremblements de Mars à haute fréquence), ont permis d’estimer le diamètre d’un cratère et sa distance par rapport à la sonde.
Puis de calculer le nombre de cratères créés en un an dans un certain rayon autour de la sonde, avant d’extrapoler ces données à l’échelle de la planète.
«C’est la première étude de ce genre à déterminer avec des données sismologiques la fréquence des impacts de météorites à la surface de Mars», remarque le professeur à l’ETH Domenico Giardini.
Des données «à prendre en compte dans la planification de futures missions sur Mars», selon lui. La planète est frappée environ chaque mois par une météorite créant un cratère d’au moins 30 mètres de diamètre...
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Voilà pourquoi qu'il est préférable d'envoyer uniquement des robots sur Mars pour exploiter celle-ci afin de savoir s'il y a déjà eu de la vie sur cette dernière. Si les scientifiques prétendent qu'il y a déjà eu de l'eau à sa surface, il est fort probable qu'il y aurait eu de la vie ou du moins une forme de vie.
Envoyer des humains sur Mars, c'est comme envoyer un sous-marin pour aller visiter le Titanic, c'est dangereux pour la vie des gens. Non seulement qu'il y a de constantes averses de météorites qui peuvent causer des cratères de 30 mètres, il y a aussi la radiation solaire qui pourrait être un danger imminent. Mars a un atmosphère très peu fonctionnel comme l'explique cet article, ce qui je présume que le bouclier ne doit pas être terrible pour se protéger des radiations solaires.
Je m'imagine très mal à être sur Mars sur une cuvette entrain d'évacuer et me retrouver dans les airs, les culottes en-bas des genoux, parce qu'il y a eu un météorite qui s'est écrasé à 10 mètres de ma Backhouse ( en bon québécois, une bécosse ) !
Non seulement qu'il y a ces dangers imminents, il faut tout de même s'y rendre sur Mars. Selon ce que nous avons pour voyager dans ce cosmos, ça prendrait au moins deux ans pour s'y rendre. Vous imaginez vous rendre sur Mars et que ça va prendre deux ans avant de toucher son sol, c'est bien assez de rendre dingue même avec le meilleur cerveau humain. Nous en avons la preuve ici sur terre, un simple confinement obligatoire qui n'a duré que quelques semaines, a dégénéré des cerveaux dont la plupart qui en ont été atteints, ont fait une dépression assez grave merci.
Alors, vivement des cyborgs pour Mars !
Dédé
Mission périlleuse se rendre sur Mars, voici pourquoi !
Source : Une nouvelle étude pourrait influencer les prochaines missions vers Mars
AFP
Vendredi, 28 juin 2024 13:55MISE À JOUR Vendredi, 28 juin 2024 13:55
Mars est soumise à des percussions quasi quotidiennes de météorites, avec environ cinq fois plus d’impacts qu’estimé auparavant, selon des enregistrements sismiques effectués sur la planète rouge.
Jusqu’ici on estimait la fréquence de ces impacts avec des modèles associant des observations de cratères de météorites sur la Lune et des images de la surface martienne prises par des sondes en orbite.
On ajustait ces modèles aux caractéristiques de la planète rouge. Bien plus massive que la Lune, et bien plus proche de la ceinture principale d’astéroïdes du système solaire, Mars est une cible de choix pour les gros cailloux errant dans l’espace.
De surcroît, quasiment dénuée d’atmosphère – la sienne est cent fois plus fine que celle de la Terre –, elle ne peut même pas compter sur ce bouclier protecteur pour désintégrer une partie des météorites.
Une équipe internationale, menée par des chercheurs de l’École polytechnique de Zurich (ETH) et de l’Imperial College à Londres, apporte dans la revue Nature Astronomy parue vendredi un nouveau regard sur le sujet, grâce au son.
«Il paraît plus efficace d’écouter les impacts que de chercher à les voir si nous voulons comprendre à quelle fréquence ils interviennent», a dit Gareth Collins, co-auteur de l’étude et professeur à l’Imperial College britannique, dans un communiqué de son institution.
Et quoi de mieux que le sismographe SEIS (Expérience sismique pour la structure interne), un instrument réalisé sous la supervision du CNES (Centre national d’études spatiales).
Une sonde de la Nasa, InSight, l’a déposé en novembre 2018 dans la plaine martienne d’Elysium, permettant pour la première fois à l’humanité de coller son oreille contre le sol de la planète. L’objectif initial étant de mesurer son activité interne et d’éventuels évènements sismiques.
«Entendre chaque impact»
L’équipe de chercheurs a utilisé ces données pour déterminer que la planète est frappée chaque année par 280 à 360 météorites créant des cratères d’au moins huit mètres de diamètre. «Ce taux est cinq fois plus élevé que le nombre estimé à partir des seules images prises en orbite», explique Géraldine Zenhäusern, chercheuse à l’ETH, dans un communiqué de son établissement.
L’identification des petits cratères de météorites depuis une sonde en orbite est d’autant plus difficile que la planète est le théâtre de fréquentes tempêtes de sable pouvant les masquer.
«Si les nouveaux cratères peuvent mieux ressortir sur un terrain plat et poussiéreux, ce genre de terrain ne couvre que la moitié de la planète», selon Mme Zenhäusern. L’avantage du sismographe a été de «pouvoir entendre chaque impact à la portée de la sonde».
Les calculs de l’équipe reposent sur l’identification d’un type particulier d’ondes acoustiques, qui se propagent à la surface de Mars à l’impact de la météorite. Ces évènements, appelés Marsquake-VF (tremblements de Mars à haute fréquence), ont permis d’estimer le diamètre d’un cratère et sa distance par rapport à la sonde.
Puis de calculer le nombre de cratères créés en un an dans un certain rayon autour de la sonde, avant d’extrapoler ces données à l’échelle de la planète.
«C’est la première étude de ce genre à déterminer avec des données sismologiques la fréquence des impacts de météorites à la surface de Mars», remarque le professeur à l’ETH Domenico Giardini.
Des données «à prendre en compte dans la planification de futures missions sur Mars», selon lui. La planète est frappée environ chaque mois par une météorite créant un cratère d’au moins 30 mètres de diamètre...
________________________Voilà pourquoi qu'il est préférable d'envoyer uniquement des robots sur Mars pour exploiter celle-ci afin de savoir s'il y a déjà eu de la vie sur cette dernière. Si les scientifiques prétendent qu'il y a déjà eu de l'eau à sa surface, il est fort probable qu'il y aurait eu de la vie ou du moins une forme de vie.
Envoyer des humains sur Mars, c'est comme envoyer un sous-marin pour aller visiter le Titanic, c'est dangereux pour la vie des gens. Non seulement qu'il y a de constantes averses de météorites qui peuvent causer des cratères de 30 mètres, il y a aussi la radiation solaire qui pourrait être un danger imminent. Mars a un atmosphère très peu fonctionnel comme l'explique cet article, ce qui je présume que le bouclier ne doit pas être terrible pour se protéger des radiations solaires.
Je m'imagine très mal à être sur Mars sur une cuvette entrain d'évacuer et me retrouver dans les airs, les culottes en-bas des genoux, parce qu'il y a eu un météorite qui s'est écrasé à 10 mètres de ma Backhouse ( en bon québécois, une bécosse ) !
Non seulement qu'il y a ces dangers imminents, il faut tout de même s'y rendre sur Mars. Selon ce que nous avons pour voyager dans ce cosmos, ça prendrait au moins deux ans pour s'y rendre. Vous imaginez vous rendre sur Mars et que ça va prendre deux ans avant de toucher son sol, c'est bien assez de rendre dingue même avec le meilleur cerveau humain. Nous en avons la preuve ici sur terre, un simple confinement obligatoire qui n'a duré que quelques semaines, a dégénéré des cerveaux dont la plupart qui en ont été atteints, ont fait une dépression assez grave merci.
Alors, vivement des cyborgs pour Mars !
Dédé
En plein ça.