t'sé tabarnak à passer passe par Twitter Kâlisse, tu téléphones kâlisse au lieu de laver ton linges sales en famille...
Bonmerdel, Les valiums C'est pas des WakesUp!S'TI!

https://www.journaldemontreal.com/2024/07/05/montreal-le-campement-du-square-victoria-d...

Agence QMI

Vendredi, 5 juillet 2024 07:45

MISE À JOUR Vendredi, 5 juillet 2024 10:45

La Ville de Montréal a démantelé le campement installé par des manifestants propalestiniens au square Victoria, dans le centre-ville.

Une quinzaine de personnes se trouvaient sur place à l’arrivée des agents du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) vers 5h.

Le SPVM n’a pas voulu communiquer sur le sujet, alors que l’opération était toujours en cours, mais aucun grabuge n’a été signalé.

Pascal Girard/AGENCE QMI

Un centre-ville «sous pression»

En point de presse à l’hôtel de ville, la mairesse de Montréal Valérie Plante s’est défendu d’avoir une approche passive dans le dossier. Cette dernière a évoqué la complexité de l’opération pour justifier le temps qu’ont pris les policiers avant d’agir.

Mme Plante a profité de l’occasion pour critiquer les interventions des ministres François Bonnardel et Pascale Déry sur les réseaux sociaux.

La Joute des analystes du 5 juillet 2024 (Première partie)

«J’aurais vraiment souhaité que M. Bonnardel et Mme Déry daignent prendre le téléphone pour nous parler plutôt que d’envoyer un tweet», a-t-elle déclaré. Elle a également souligné le fait que le ministre de la Sécurité publique a coupé le financement du programme des policiers communautaires qui formait des agents pour intervenir dans ce genre de situation.

Un peu plus tôt aujourd'hui, la mairesse Valérie Plante a déclaré sur X que le démantèlement était «une décision de sécurité publique qui n’a pas été prise à la légère».
Thierry Laforce / Agence QMI

Soulignant que le droit de manifester pour une cause est un droit fondamental, Mme Plante a rappelé qu’il ne peut pas pour autant entraver le droit à la sécurité.

«Comprenez-moi bien, on ne peut pas occuper de façon permanente et statique un lieu public, et ce, peu importe la cause. L’espace public doit rester public», a-t-elle soutenu.
Thierry Laforce / Agence QMI

Selon elle, une telle installation «posait d’importants enjeux de sécurité, autant pour les gens sur le site que pour ceux qui circulent et travaillent à proximité, en plus de contrevenir à un règlement municipal».

À la fin de son message, la mairesse a reconnu que le «centre-ville de Montréal est sous pression».

«De la même manière qu’on ne peut pas accepter comme société que l’espace public devienne un hôpital ou un logement à ciel ouvert, on ne peut pas accepter que l’espace public devienne le quartier général d’une cause, quelle qu’elle soit», a-t-elle statué.
Thierry Laforce / Agence QMI

«Il est déplorable de voir qu’il a fallu autant de pression et une dispute entre l’administration Plante et des ministres du gouvernement du Québec pour que le démantèlement soit finalement déclenché», a réagi le chef de l’opposition à l’hôtel de ville de Montréal, Aref Salem.

«Au lieu d'offrir une ligne d’action cohérente et claire pour tout le monde, l’administration s’est embourbée dans une série de contradictions et d’hésitations au détriment de la quiétude et de la sécurité des Montréalais», a avancé le dirigeant d’Ensemble Montréal.''

ASti la Kraq a détourné 800 millions de Mortréal pour la ligne imaginaire de Mortéal et la police trop occupé à policer les tickets dans le métro que s'occuper de choses sérieuses...!