Il faut sauver IsraËl : La Dernière Misison de Chuck Norris (Forum)

par Jéromec, dimanche 07 juillet 2024, 00:23 (il y a 63 jours)

Il faut sauver IsraËl : La Dernière Misison de Chuck Norris :Les tribulations d'une ancienne vedette de cinéma chargé par le département de la défense de protéger Israël contre le Hamas, le Hezbolla, l'Égypte, la Syrie, l'Iran, l'Irak, l'Arabie Saoudite, la Russie, la Corée du Nord. Chuck accepte la mission à condition que son équipe travaille seule. Contre toutes attente il parvient à réussir sa mission non sans casser quelques gueules.

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Chuck Norris n'a pas de bouton Escape sur son clavier...
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ça va bien aller....

Gaza: le Hamas annonce 16 morts dans un raid israélien

par Jéromec, dimanche 07 juillet 2024, 00:28 (il y a 63 jours) @ Jéromec

ça va bien aller...

https://www.tvanouvelles.ca/2024/07/06/gaza-le-hamas-annonce-16-morts-dans-un-raid-isra...

Gaza: le Hamas annonce 16 morts dans un raid israélien sur une école

L’armée israélienne a mené samedi de nouvelles frappes meurtrières dans la bande de Gaza, dont l’une visant, selon le Hamas, une école abritant des déplacés dont 16 ont été tués, les violences ne connaissant pas non plus de répit avec le Hezbollah dans le Liban voisin.

Alors que la guerre à Gaza entre dimanche dans son 10e mois, le gouvernement du Hamas qui dirige le territoire palestinien a annoncé que 16 personnes avaient été tuées dans une frappe israélienne sur une école abritant des déplacés dans le camp de Nousseirat (centre).

Sollicitée par l’AFP, l’armée israélienne n’a pas commenté ces informations dans l’immédiat.

Dans le même temps, les efforts diplomatiques ont été relancés en vue d’un cessez-le-feu et d’une libération des otages retenus à Gaza, Israël annonçant l’envoi la semaine prochaine d’une délégation pour poursuivre les pourparlers avec les médiateurs qataris.

AFP

La guerre a été déclenchée par une attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien dans le sud d’Israël le 7 octobre, qui a entraîné la mort de 1195 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP établi à partir de données officielles. Sur 251 personnes alors enlevées, 116 sont toujours retenues à Gaza dont 42 sont mortes, selon l’armée israélienne.

Israël a juré de détruire le mouvement palestinien, qu’il classe comme organisation terroriste à l’instar des États-Unis et de l’Union européenne. Son offensive militaire sur le territoire palestinien a fait 38 098, en majorité des civils, selon des données samedi du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas.

Dans la petite bande de terre dévastée, où Israël assiège quelque 2,4 millions de personnes dans des conditions jugées «désastreuses» par l’ONU, l’eau et la nourriture manquent. Selon les Nations unies, 80% de la population est déplacée et plusieurs habitants, dont des enfants, sont morts de malnutrition.
«Massacre»

Le ministère de la Santé du gouvernement du Hamas a fustigé comme un «massacre odieux» la frappe sur l’école de Nousseirat, affirmant que 50 personnes avaient également été blessées et transférées vers l’hôpital des martyrs d’Al-Aqsa.

D’après le bureau de presse du gouvernement du Hamas, 7000 déplacés se trouvaient dans l’école.

AFP

Plus tôt, les secouristes avaient fait état de 10 personnes tuées, dont trois journalistes locaux, par une frappe sur une maison du camp. Un quatrième journaliste a été tué dans la ville de Gaza (nord), selon le bureau de presse du Hamas.

Les combats se sont en outre poursuivis à Choujaïya, un quartier est de ville de Gaza, où les soldats mènent une opération terrestre appuyée par l’aviation depuis le 27 juin.

L’armée a affirmé y avoir tué «des terroristes du Hamas» et détruit des «armes et infrastructures», dont des tunnels, accusant «l’ennemi de chercher à rétablir une base» dans le quartier.

Les soldats bataillent aussi à Rafah (sud), où des témoins ont fait état de tirs à l’artillerie lourde dans le centre de la ville. Selon l’armée, «des cellules terroristes ont été éliminées» et «plusieurs tunnels détruits et des armes saisies».

L’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA) a affirmé que deux de ses employés avaient été tués à Al-Bureij (centre) sans autre précision.

Après neuf mois de conflit, l’armée israélienne a dû de nouveau intervenir dans plusieurs secteurs qu’elle avait dit contrôler, dont Choujaïya.

La guerre menace de prendre une dimension régionale avec des échanges de tirs quotidiens entre Israël et le Hezbollah libanais, des deux côtés de la frontière.

AFP

Un «responsable local» du mouvement pro-iranien a été tué par une attaque de drone israélien sur un véhicule près de Baalbek, dans l’est du Liban à quelque 100 km de la frontière, selon une source proche du Hezbollah.

Le puissant mouvement pro-iranien, qui a ouvert un front avec Israël en soutien au Hamas, a annoncé avoir lancé dans la journée des «drones explosifs contre un site militaire» à Beit Hillel dans le nord d’Israël.

L’armée a fait état de «l’interception d’une cible aérienne suspecte» et de la chute à Beit Hillel «d’appareils hostiles», et affirmé avoir bombardé des «cibles terroristes» dans le sud du Liban.
«Ramener les otages maintenant»

Dans ce contexte, de nouveaux efforts sont en cours pour un cessez-le-feu à Gaza, à l’approche d’une visite aux États-Unis du premier ministre israélien Benjamin Netanyahou qui doit s’adresser au Congrès le 24 juillet.

À l’issue d’entretiens vendredi à Doha avec le chef du Mossad israélien, David Barnea, le bureau de Netanyahou a annoncé qu’une équipe poursuivrait «la semaine prochaine» les négociations au Qatar.

Il a fait état d’«écarts» persistants avec le Hamas, qui a de son côté annoncé de nouvelles «idées».

Depuis plusieurs mois, les efforts de médiation menés par le Qatar, les États-Unis et l’Égypte se heurtent aux exigences jusque là inconciliables des deux camps.

Netanyahou affirme vouloir continuer la guerre jusqu’à la destruction du Hamas et la libération de tous les otages, le Hamas réclamant de son côté un cessez-le-feu définitif et un retrait israélien de Gaza avant un accord.

«Notre gouvernement doit réaliser que ramener les otages à la maison maintenant est la chose la plus importante», affirme à l’AFP Shay Dickmann, étudiante en médecine de 29 ans, dont la cousine est en otage à Gaza.

«À cause de toi, nous mourrons, sors de nos vies», peut-on lire sur une pancarte avec la photo de Benjamin Netanyahou, lors d’un nouveau rassemblement à Tel-Aviv contre son gouvernement et pour la libération des otages.

Les groupes armés d’Irak à l’affût d’une guerre Israël-Hezbo

par Jéromec, dimanche 07 juillet 2024, 00:33 (il y a 63 jours) @ Jéromec

heureusement il y a Chuck Norris pour défendre Azrael...

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ça va bien aller, la Planète sera sauvé grâce à Légros et ses autos électriques à marde...

https://fr.timesofisrael.com/les-groupes-armes-dirak-a-laffut-dune-guerre-israel-hezbol...

Les groupes armés d’Irak à l’affût d’une guerre Israël-Hezbollah
En filigrane de la guerre qui oppose Israël au Hamas à Gaza depuis neuf mois, s'était rapidement greffée une confrontation plus large impliquant Téhéran et ses alliés
Par AFP et Times of Israel Staff 4 juillet 2024, 12:05

Des membres des brigades du Hezbollah, les Kataëb Hezbollah, assistant aux funérailles de Fadel al-Maksusi, un terroriste qui faisait également partie de la Résistance islamique en Irak, le groupe qui a revendiqué toutes les attaques récentes contre les troupes américaines en Irak et en Syrie, à Brigade, le 21 novembre 2023. (Crédit : Ahmad al-Rubaye/AFP)
Des membres des brigades du Hezbollah, les Kataëb Hezbollah, assistant aux funérailles de Fadel al-Maksusi, un terroriste qui faisait également partie de la Résistance islamique en Irak, le groupe qui a revendiqué toutes les attaques récentes contre les troupes américaines en Irak et en Syrie, à Brigade, le 21 novembre 2023. (Crédit : Ahmad al-Rubaye/AFP)

Dans un contexte régional crispé par la guerre à Gaza et la menace d’une confrontation entre Israël et le puissant groupe terroriste libanais du Hezbollah, les groupes armés irakiens pro-Iran restent à l’affût, distillant une rhétorique va-t-en guerre qui fait craindre un élargissement du conflit.

Le risque est réel : cet hiver, la Résistance islamique en Irak, nébuleuse de mouvements irakiens pro-Iran, a mené plus de 175 tirs de roquettes et frappes de drones, en Irak et en Syrie, contre les soldats américains intégrés à une coalition internationale antijihadistes.

Un conflit entre Israël et le Hezbollah « ne se limitera pas au territoire libanais : en Irak et dans la région, des groupes armés entreront dans la confrontation », résume le politologue irakien Ali al-Baidar.

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Cette mobilisation vise à démontrer « leurs capacités, mais aussi leur loyauté à un camp particulier », dit-il.

Dimanche, des factions armées irakiennes ont tancé Washington, parrain indéfectible d’Israël.

Evoquant l’hypothèse d’une « guerre totale contre le Liban », la Coordination de la Résistance irakienne a assuré que « si les sionistes mettent leurs menaces à exécution, le rythme et l’ampleur des opérations les visant ira en s’intensifiant. Les intérêts de l’ennemi américain » – en Irak et dans la région -, « seront des cibles légitimes ».

Cette « Coordination » regroupe notamment les Brigades du Hezbollah, Al-Nujaba, et les Brigades Sayyed al-Chouhada, tous visés par des sanctions américaines, et fer de lance des attaques contre la coalition antijihadistes.
Illustration – Capture d’écran d’une vidéo montrant l’explosion d’un missile intercepteur contre un drone présumé venu d’Irak près d’Eilat, missile dont l’envoi a été revendiqué par le groupe Résistance islamique en Irak, le 28 mai 2024. (Capture d’écran : X, used in accordance with Clause 27a of the Copyright Law)

« Entraîner l’Irak »

En filigrane de la guerre qui oppose Israël au groupe terroriste islamiste palestinien du Hamas à Gaza depuis neuf mois, s’était rapidement greffée une confrontation plus large impliquant Téhéran et ses alliés, disant soutenir les Palestiniens.

Le Hezbollah échange quotidiennement des tirs transfrontaliers depuis le Liban avec Israël. Et les rebelles Houthis du Yémen attaquent en mer Rouge les navires qui seraient liés à Israël, perturbant le commerce maritime mondial dans cette zone stratégique.
Roquettes tirées sur le nord d’Israël le 3 juillet 2024. (Crédit : Capture d’écran/X)

L’analyste Ali al-Baidar rappelle aussi les « les expériences passées » en Irak : « des opérations et des attaques contre les forces américaines et les missions diplomatiques ».

« Il est possible que ces attaques se répètent avec une plus forte intensité », dit-il.

Fin janvier, une frappe de drone avait tué trois soldats américains et provoqué une poussée de fièvre. Déployant 2 500 militaires en Irak et 900 en Syrie auprès de la coalition, les Etats-Unis avaient durci le ton et mené des frappes meurtrières contre les factions pro-Iran.

« Nous n’hésiterons pas à prendre toutes les actions appropriées pour protéger notre personnel », rappelle encore à l’AFP un porte-parole du Département d’Etat américain, s’exprimant sous anonymat.

« Les milices en Irak alignées sur l’Iran portent atteinte à la souveraineté du pays en lançant des attaques contre des pays tiers, entraînant potentiellement l’Irak dans un conflit régional plus large », avertit cette source.

Depuis des semaines, la « Résistance » met l’accent sur des « opérations conjointes » menées avec les Houthis et enchaîne les communiqués de revendication pour des tirs de drones contre des cibles en Israël.

Sans nommément désigner aucun agresseur, l’armée israélienne a confirmé depuis avril une poignée d’attaques d’aéronefs venant de l’Est, assurant que ces appareils sont interceptés avant d’entrer dans son espace aérien.

« Solidarité transnationale »

Près d’Israël, les factions irakiennes sont déployées dans la Syrie en
guerre : au sud de Damas, et plus au Sud avec des « troupes d’élites » au Golan, d’après l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

Pour le spécialiste de l’Irak Tamer Badawi, l’importance des « attaques coordonnées » avec les Houthis « réside d’abord dans leur symbolique : l’idée selon laquelle des groupes séparés par des distances géographiques significatives sont capables de synchroniser leur action armée ».

Et une intervention de groupes irakiens sur le terrain libanais – via « l’envoi de combattants en masse » ou seulement de « conseillers » -, dépendra des « besoins de guerre du Hezbollah », souligne le doctorant à l’Université britannique du Kent.
Le secrétaire-général du Hezbollah, Hassan Nasrallah, lors d’un discours télévisé pendant un rassemblement marquant la journée annuelle al-Quds (Journée de Jérusalem) dans un quartier du sud de Beyrouth, le 5 avril 2024. (Crédit : Anwar Amro/AFP)

Cette mobilisation répondrait au besoin de « projeter l’image d’une solidarité transnationale », ajoute l’analyste : « pour ces groupes la symbolique est importante, elle contribue à leur image de marque, en tant que membres d’une même ligue, tout autant qu’une implication dans une action armée ».

Interrogé par l’AFP, un « commandant de terrain » de la « Résistance » irakienne promet « escalade contre escalade » en cas de guerre. Il rappelle que la « Résistance » irakienne dispose déjà au Liban « d’experts et de conseillers ».

Commentant les appels des alliés en Irak, en Syrie, ou au Yémen, à dépêcher leurs combattants au Liban, le chef du Hezbollah Hassan Nasrallah tempérait récemment ces ardeurs.

Niveau « ressources humaines », assurait le chef du Hezbollah, « la résistance au Liban dispose d’effectifs dépassant ses besoins et les impératifs du front, même dans les pires conditions de combats ».

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