À Escoter la Mairesse Rose...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2087110/manifestants-propalestiens-montreal-consei...

Valérie Plante escortée par le SPVM en raison d’une manifestation propalestinienne

Simon Filiatrault

Une quinzaine de manifestants propalestiniens ont perturbé une séance du conseil d'arrondissement de Ville-Marie, mardi soir. La mairesse Valérie Plante ainsi que les autres élus présents ont été escortés à l'extérieur de la salle du conseil, le temps que le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) montre la sortie aux protestataires.

Une vidéo de l'incident circule sur les réseaux sociaux. On peut notamment y entendre les manifestants scander "Israël bombarde, Valérie fournit les armes!".

La femme filmant la scène reproche aussi à la mairesse le récent démantèlement du camp propalestinien établi au square Victoria. "Honte à vous de démanteler les camps en solidarité à la Palestine et avec les personnes en situation d’itinérance", lance-t-elle. "Vous vous foutez d'eux [sic]."

Dans ce contexte, Mme Plante et les autres élus du conseil ont été forcés de s'isoler, a expliqué une porte-parole du cabinet, Marikym Gaudreault. La séance a repris son cours peu de temps après l’intervention de policiers, a-t-elle ajouté.

La manifestation, cela dit, s'est somme toute déroulée dans un calme relatif, a précisé le SPVM. Les agents sont restés sur place après l'événement pour s'assurer que la réunion du conseil se poursuive dans le calme.

Plus de détails suivront.

de nos amis les Roastbeefs de RAdio-Cadenas en anglais la bridage de la ESkul sort de leur dortoir... pour une rare fois...

McGill University moves in on pro-Palestinian encampment

https://www.youtube.com/watch?v=UPN6YGzBvRU

Je gage un vieux 3$ dollars que le campement va revenir en force et-ou être déplacé..

C'est d'être terminé..
Et c'est pas Bonmerdel qui va bloquer le tout..

https://montrealgazette.com/news/local-news/mcgill-pro-palestinian-encampment-dismantle...

Movement ‘will not end with the encampments,’ pro-Palestinian protester says

McGill says the encampment was a "magnet for violence and intimidation" organized largely by individuals who are not part of the university.
Author of the article:
Jason Magder, Katelyn Thomas, René Bruemmer, Harry North • Montreal Gazette
Published Jul 10, 2024 • Last updated 1 hour ago • 6 minute read
Pro-Palestinian protesters are removed from McGill University's campus in Montreal by officers from the Sûreté du Québec riot squad.
Pro-Palestinian protesters are escorted away from McGill University's campus in Montreal by officers from the Sûreté du Québec riot squad. Photo by John Mahoney /Montreal Gazette
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Tap here for live updates to this story July 10, 2024.

McGill University has dismantled the pro-Palestinian encampment that has been on its downtown Montreal campus since April 27.

SPVM spokesperson Jean-Pierre Brabant said Wednesday morning that the force had been informed by McGill that it would be taking action. Sherbrooke was closed between Peel and University Sts. and several nearby businesses were closed.
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Trending

Heavy rain closes parts of Montreal-area highways, including Décarie Expressway
Wet, empty lanes of highway in a trench
Movement ‘will not end with the encampments,’ pro-Palestinian protester says
Pro-Palestinian protesters are removed from McGill University's campus in Montreal by officers from the Sûreté du Québec riot squad.
With McGill encampment over, pro-Palestinian activists plan Thursday protest
Front-end loaders and dump trucks were brought in to help dismantle the pro-Palestinian encampment at McGill University in Montreal Wednesday, July 10, 2024.
Bell ordered to pay Montrealer $1,000 over 'Kafkaesque' customer service
A Bell Canada sign on the exterior of an office building
Montreal girl barred from karate class over hijab, Human Rights Commission says
The front of Karate Auto Defense Lamarre Inc. is seen on July 3, 2024.

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Police and agents from the private security firm Sirco arrived at the camp around 4.30 a.m., according to encampment representative and McGill student Zaina Karim.

Excavators and front-end loaders brought in to take down the encampment’s infrastructure were moving debris into dump trucks and off campus. Although the operation was nearly completed by 2 p.m., police remained on site.

“People tried to remain at camp and they were forcefully escorted out even though they wanted to remain,” Karim said.

McGill “never had conversations in good faith with the students there,” said Karim, who added that protesters had been prepared to be forcibly removed.

McGill said the dangers associated with the camp had been escalating and that Montreal fire services had been denied entry.

“On July 5, a security guard was assaulted and the campus was again vandalized, with windows in multiple buildings broken,” McGill said, and the university hired Sirco to investigate.

On Wednesday afternoon, a spokesperson for the student encampment said the dismantling shows McGill “was never committed” to a peaceful resolution.
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“We, the students who had set up the encampment, have made it clear from its first day of inception that we are willing to pack up and go home so long as the university commits to divesting from companies complicit in war and genocide,” the spokesperson said. “We have to ask ourselves: Why is the administration more committed to maintaining its ties with these companies than they are to reaching a peaceful end to the encampment?”

He said protesters should not be discouraged by Wednesday’s events.

“The movement for Palestine has never been as co-ordinated and powerful as it is now, and it will continue to pursue our demands until justice prevails.”

Raihaana Adira and a few pro-Israeli friends who attended the protests outside McGill Wednesday morning got into a brief confrontation with pro-Palestinian protesters.

Adira was one of the two McGill students who tried to have a court injunction leveled against the protesters within days of the encampment’s erection. The request was rejected in Quebec Superior Court.

“I think this is a great first step,” she said. “However, I fear there’s still going to be a lot of violence and antisemitism on campus. And I think that just because they take away the encampment does not mean that they’re taking the embedded hate against Jewish students at McGill away.”

prévision météo pour en fin de semaine...
29 30 degrés... beau solei....attendez vous à une énorme riposte du mouvement pro palestine.. plutôt que D'Avoir éteint le feu, ils ont soufflés sur les brases pour alimenter davantage la grogne....
Incompétence et imprévoyange signée la Kraq...

mais dans ce genre de manif la pôlice sert de brigadières scolaires pour diriger le traffic, en aucun cas ils vont intervenir si la foule est trop nombreuse, ils ont bien trop peur d'eux...

Je leur prépare une bonne blague au Espévem... ils vont adorer....

Police Academy 4 Citizens on Patrol "Yama Yama" scene

https://www.youtube.com/watch?v=NmA9exNYGSk

Take a Kayak à Mourriale pour intervenir sur Venis à Mourriale...

Les restes de Beryl créent des inondations urbaines à Montréal

https://www.youtube.com/watch?v=xdX350R4p8E

La Vide même pas foutu de tweeter à ce sujet D'innondations urbaines..

un autre fiasco signé la Mairesse Rose, celle qui cède 800 millions pour le Tramway de Kébec en échange d'une ligne rose imaginaire..

https://www.journaldemontreal.com/2024/07/11/un-autre-fiasco-signe-valerie-plante

Campement propalestinien à McGill: un autre fiasco signé Valérie Plante
Honnêtement, j’essaie de trouver une cohérence dans ce qui me semble n’avoir été qu’une gestion négligente, complaisante, totalement improvisée, un cafouillage de A à Z
Campement propalestinien à McGill: un autre fiasco signé Valérie Plante
Photo Agence QMI, JOEL LEMAY
Joseph
Facal
Joseph Facal

Mercredi, 10 juillet 2024 11:30

MISE À JOUR Mercredi, 10 juillet 2024 11:30

Vous allez devoir, cher lecteur, m’aider à comprendre, car je n’y arrive plus.

Au moment où j’écris ces lignes, le campement propalestinien à McGill est en voie d’être démantelé.

Il était plus que temps.
Cohérence?

J’essaie cependant de démêler ce qui est survenu avant.

Si je comprends bien la «logique» initiale de l’administration Plante, les campements d’itinérants n’étaient pas tolérés, mais les propalestiniens l’étaient.

Pourquoi cette différence de traitement? Je ne sais pas. Parce que les seconds relevaient de la liberté d’expression politique?

Mais non, je me reprends tout de suite.

Certains campements d’itinérants furent vite démantelés, mais d’autres, non. Enjeux de sécurité différents?

Oups, désolé, je dois me reprendre de nouveau.

Le campement propalestinien au square Victoria fut assez rapidement démantelé, alors que celui à McGill durait depuis la fin du mois d’avril.

J’ai cru comprendre que, pour la mairesse, la différence est que le square Victoria est un espace public, alors que le campus de McGill est un terrain privé.

Euh, attendez un peu.

Depuis quand la police ne peut pénétrer dans un espace privé sous certaines conditions?

Si des gens faisaient irruption dans la résidence privée de Mme Plante et s’y installaient contre son gré, je ne doute pas qu’elle se sentirait parfaitement justifiée d’appeler la police pour les expulser.

Puis, Mme Plante trouve une nouvelle explication pour justifier de se traîner les pieds à propos de McGill, malgré les supplications de l’université et les craintes pour la sécurité exprimées par des étudiants.

Elle s’est en effet justifiée ainsi: «Les gens qui militent pour une cause spécifique n’ont pas l’intention de rester là à long terme».

Pardon? Quoi? C’était exactement le contraire.

Le campement de McGill était noyauté par un groupe ultraradical nommé Solidarity for Palestinian Human Rights.

Voici quelques expressions tirées d’un des derniers communiqués (uniquement en anglais) de ce groupuscule:

«There will be no business as usual».

McGill est devenue «a critical target».

Il faut démanteler par la force («forcibly dismantling») ce type d’institutions.

On mentionne également une «escalating student intifada» et la «zionist ruling class».

Bref, une apologie pure et simple de la violence, et pas depuis hier.

C’est en effet ce groupe qui avait qualifié l’attaque du Hamas et la prise d’otages du 7 octobre de gestes «héroïques», et qui avait coiffé son annonce d’un camp de «formation révolutionnaire» d’une photo montrant des guerriers avec des AK-47.

Et Mme Plante a laissé traîner, traîner, traîner...
Raison

On n’a pourtant pas traîné avec les propriétaires de terrasses qui excédaient de 58 centimètres la dimension permise sur la rue Crescent.

Honnêtement, j’essaie de trouver une cohérence dans ce qui me semble n’avoir été qu’une gestion négligente, complaisante, totalement improvisée, un cafouillage de A à Z.

Si vous me dites que je perds mon temps à chercher une cohérence, vous avez sans doute raison.

Comme d'hab Légros a laissé Mourriale avec son caca sans donner d'aide, ou presque...

MAis les pro palestiniens ont essuyé un revers, n'est-ce que partie remise...?

https://www.tvanouvelles.ca/2024/07/10/campement-propalestinien-demantele-a-luniversite...

Campement propalestinien démantelé à l'Université McGill: «Enfin!», dit Legault

Patrick Bellerose

| Publié le 10 juillet 2024 à 12 h 58

Le gouvernement Legault s’est réjoui, mercredi, de voir l’Université McGill procéder au démantèlement du campement propalestinien installé sur son campus depuis le 27 avril.

Enfin», a lancé pour tout commentaire le premier ministre François Legault lors de son arrivée au conseil des ministres, à Québec.

Le leader caquiste avait demandé aux policiers d’intervenir pour démanteler le campement au début du mois de mai, sans effet.

Le Service de police de Montréal refusait d’intervenir, puisque la cause se trouvait devant les tribunaux.

À la mi-mai, un juge a rejeté la demande d’injonction provisoire déposée par l’Université McGill, en attendant que la cause soit entendue sur le fond.

Les parties devaient revenir devant le tribunaux le 25 juillet prochain.

Mais entretemps, l’institution universitaire a plutôt fait appel à la firme de sécurité privée Sirco pour venir dégager les lieux.

Écoutez l'entrevue avec Anne-Sophie Jobin, journaliste pour TVA Nouvelles au micro de Karima Brikh via QUB:

«Bonne nouvelle»

La ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, s’est également réjouie du dénouement de la situation.

«C’est une bonne nouvelle», a déclaré celle qui n’a jamais caché son désir de voir le campement être démantelé.

«Au cours des derniers jours, au cours des dernières semaines, on a vu la situation s’envenimer. Il y a eu beaucoup d’actes de vandalisme, d’actes antisémites qui se sont multipliés un peu partout sur le campus. On dépasse largement la liberté d’expression», estime Mme Déry.

«Il y a une autre façon de manifester, il y a une autre façon d’exprimer les revendications qu’on souhaite exprimer», a-t-elle ajouté.

Écoutez le segment d’actualité Tout savoir en 24 minutes où Francis Gosselin et Max-Émile Sawyer reviennent sur les moments marquants de l’actualité via QUB :

La ministre n’a toutefois pas voulu critiquer la Ville de Montréal, qui a refusé d’intervenir pour mettre fin au campement.

«Je ne ferai pas le procès de personne aujourd’hui», a-t-elle déclaré.
Attitude de Montréal

La semaine dernière, la ministre Déry n’avait pourtant pas hésité à dénoncer «l’attentisme» de la Ville de Montréal dans ce dossier.

Son collègue à la Sécurité publique avait aussi critiqué les autorités montréalaises dans ce dossier.

«Nous commençons à voir les conséquences de cette approche passive», écrivait François Bonnardel sur X en réaction à des actes de vandalisme survenu au siège de la Caisse de dépôt.