Rien n'est terminé...

Tout ne fait que commencer...
Parce que l'avenir C'est le meilleur du passé...
Et le pire est à venir...

Allez Dédé, faut tenir le crachoir jusqu'à la toute fin...

La vie c'est comme une Moppe, ça accumule toutes sortes de cochonnerie, mais faut pas se laisser aller, faut frotter jusque les cochonneries partent....

UHF la vie est comme une mope...

https://www.youtube.com/watch?v=tHe6ar-X2cQ

Top Secret - Skeet Surfin

https://www.youtube.com/watch?v=8WFHnHYmmsY
Tu vas passer le meilleur été du présent, passé et futur...

Si tu en veux des coucous cet été, c'est buffet à volonté..

Et en automne tu vas te régaler...

si tu pensais que le monde était fou, t'as rien vu encore...

Queensrÿche - Silent Lucidity
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Comment écrire sans écorcher personne au passage, c'est que je me demande parce que je remarque que j'ai cette tendance à mettre les yeux devant les trous, même si j'utilise ma diplomatie pour ce faire. Par la suite, je sens que je dois me rabibocher parce que c'est évident que je peux blesser avec mon écrit. Ma sensibilité pour ne pas écrire mon hyperémotivité, me rend malade lorsque je décante et que je m'aperçois d'avoir blesser.

Néanmoins, je réagis très mal depuis un certain temps parce que j'ai l'impression que je me fais mal comprendre. Je ressens que mon Verbe ne porte plus ce qu'il était auparavant parce que je remarque qu'il n'y a aucune amélioration suite à la communication que j'élabore pour expliquer un fait, une action et l'inaction, ce qui se passe autour de nous et l'environnement en général. À vrai dire, je me sens épuisé et mon Verbe suit cette même tendance.

Je n'ai plus rien à dire, tout est dit et je n'ai plus rien à faire, tout est fait. Alors à quoi je sers pour continuer sur cette lancée, nous allons tous à la même place, c.-à-d., directement vers le Mur. Pourquoi vous dirais-je maintenant de faire attention, je ne suis pas un perroquet pour dire toujours la même chose, les gens sont majeurs, vaccinés et vermifugés...oups un petit dérapage ... et ils savent très bien où ils vont, font et ne font pas. Au fond, qui suis-je pour faire l'alarmiste, il n'y a rien d'alarmant, tout est correct, le ciel est vert pis l'herbe est bleue.

Maudite droye !

Il vaut mieux pour moi de prendre une pause.

Faque bebye tout le monde !

Dédé

l'épilogue est en vue...

Nous arrivons au bout de la Route et le meilleur c'est la Conclusion de l'Aventure humaine...