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La crisse de RAMQ ! (Forum)

par Dédé, jeudi 18 juillet 2024, 19:03 (il y a 128 jours)

Source : Pas assez amputé de la main, il se voit refuser une prothèse nécessaire à son autonomie

[image]
PHOTO MARCEL TREMBLAY / AGENCE QMI

AUDREY SANIKOPOULOS
Jeudi, 18 juillet 2024 13:12

MISE À JOUR Jeudi, 18 juillet 2024 13:12

Amputé de quatre doigts, un Lévisien se bat depuis plusieurs années pour obtenir une prothèse qui lui redonnerait de l’autonomie, mais dont la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) lui refuse le remboursement, car elle ne figure pas dans sa liste.

«Juste couper une pomme, c’est niaiseux, mais c’est quelque chose que je ne peux pas faire. J’aimerais ça avoir la facilité de couper une pomme», a lâché Samuel Vincent-Couillard au bout du fil, jeudi.

Sa vie a basculé en septembre 2015. Le jeune homme, qui était alors pilote d’avion de tourisme, a été percuté par l’hélice en mouvement d’un avion Cessna. Il a perdu quatre doigts de sa main gauche.

La journée de son accident, un médecin a fait en sorte de garder les muscles et les connexions dans sa main afin qu’il puisse obtenir une main électrique. Plusieurs spécialistes jugent depuis que des doigts motorisés i-Digits sont la seule prothèse qui peut répondre à ses besoins.

Ce type de prothèse, qui vaut 64 000$, en plus des coûts relatifs aux ajustements et réparations, ne figure toutefois pas dans le Règlement sur les appareils suppléant à une déficience physique de la RAMQ, qui évalue ce qui peut être remboursé ou non.

«On a essayé une demande en 2017 pour savoir si je serais capable d’avoir une main un jour et ça a été non tout de suite, il n’y a pas eu de vérifications», a expliqué le photographe-vidéaste, qui s’est rendu devant le Tribunal administratif pour avoir de l’aide.

Un manque d’autonomie reconnu

Dans la décision rendue le 11 juin dernier, les juges Mario Deschênes et Guy Lefrançois ont tranché en faveur de la RAMQ, puisque les composantes de base de la prothèse ne font pas partie du règlement.

Ils ont tout de même retenu que M. Vincent-Couillard «présente plusieurs restrictions fonctionnelles limitant grandement son autonomie», que ce soit pour s’habiller, se nourrir ou encore pour son travail.

«Ce que je vois, c’est que si je me reblesse puis que je me coupe le pouce, là j’ai une [prothèse] de main complète sans problème. Je n’ai pas envie de me couper le pouce pour avoir le reste des doigts qui me manquent», a souligné l’homme de 34 ans.

Près de neuf ans après son accident, M. Vincent-Couillard n’a donc toujours aucune prothèse et aucune solution en vue.

«Je n’ai vraiment aucune idée comment continuer avec ça. J’ai besoin d’aide, a-t-il reconnu. Une main, ça change une vie. [...] Quand tu travailles, que tu dois sortir, il faut que ça puisse fonctionner.»

Une «lourdeur administrative»

Si la RAMQ a assuré qu’elle «comprend et reconnaît la situation particulière de M. Vincent-Couillard», elle a indiqué que son rôle est d’appliquer le règlement.

«Ce règlement ne permet malheureusement pas de couvrir la prothèse demandée, aucune exception ne s’appliquant à la situation dont il est question», a expliqué par courriel Caroline Dupont, porte-parole de la RAMQ.

«C’est cette lourdeur administrative qui fait que M. Vincent-Couillard ne peut pas avoir de doigts myoélectriques», a réagi Louis Bourassa, directeur des programmes et du développement philanthropique (Québec) de l’Association des Amputés de guerre.

«Ce type d’amputation, ce n’est pas fréquent. Même si la RAMQ changeait sa liste pour incorporer les doigts myoélectriques, il n’y aurait pas 2000 personnes au portillon pour les avoir», a-t-il soutenu.

Le cas de M. Vincent-Couillard ne serait pas le seul où des «décisions administratives punissent la personne amputée», selon M. Bourassa.

«J’ai l’impression d’être dans le bois. [...] Toujours être refusé, c’est un peu tannant...», a laissé tomber l’ancien pilote.
______________

- Nana, ce n'est pas inscrit dans le règlement de gratuité, il n'a pas le droit d'avoir cette prothèse.

Gang de bandits à cravates de tabarnack et en plus, ils reçoivent des bonis substantiels les câlisse ! :boss:

En plus le tribunal, c'est aussi un gang de bandits à cravate, ils ne connaissent rien des valeurs humaines ces sacraments-là ! :enrage:

N'importe quoi pour ne pas payer, il faut bien qu'ils obtiennent leurs sti de salaires de riches câlisse ! :enrage:

La seule chose qu'il lui reste à faire cet homme, c'est demander des sous sur Facebook, ou sur d'autres plateformes à gofoundme. Si des crosseurs ont déjà reçu des sous pour s'approprier le centre-ville d'Ottawa avec leurs "kémions", il devrait avoir en quelques jours, cet argent qu'il lui faut pour obtenir cette prothèse qui est essentielle pour son autonomie.

Sti d'administration inhumaine !

Dédé

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La crisse de RAMQ !

par Blake, jeudi 18 juillet 2024, 19:17 (il y a 128 jours) @ Dédé

Source : Pas assez amputé de la main, il se voit refuser une prothèse nécessaire à son autonomie

[image]
PHOTO MARCEL TREMBLAY / AGENCE QMI

AUDREY SANIKOPOULOS
Jeudi, 18 juillet 2024 13:12

MISE À JOUR Jeudi, 18 juillet 2024 13:12

Amputé de quatre doigts, un Lévisien se bat depuis plusieurs années pour obtenir une prothèse qui lui redonnerait de l’autonomie, mais dont la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ) lui refuse le remboursement, car elle ne figure pas dans sa liste.

«Juste couper une pomme, c’est niaiseux, mais c’est quelque chose que je ne peux pas faire. J’aimerais ça avoir la facilité de couper une pomme», a lâché Samuel Vincent-Couillard au bout du fil, jeudi.

Sa vie a basculé en septembre 2015. Le jeune homme, qui était alors pilote d’avion de tourisme, a été percuté par l’hélice en mouvement d’un avion Cessna. Il a perdu quatre doigts de sa main gauche.

La journée de son accident, un médecin a fait en sorte de garder les muscles et les connexions dans sa main afin qu’il puisse obtenir une main électrique. Plusieurs spécialistes jugent depuis que des doigts motorisés i-Digits sont la seule prothèse qui peut répondre à ses besoins.

Ce type de prothèse, qui vaut 64 000$, en plus des coûts relatifs aux ajustements et réparations, ne figure toutefois pas dans le Règlement sur les appareils suppléant à une déficience physique de la RAMQ, qui évalue ce qui peut être remboursé ou non.

«On a essayé une demande en 2017 pour savoir si je serais capable d’avoir une main un jour et ça a été non tout de suite, il n’y a pas eu de vérifications», a expliqué le photographe-vidéaste, qui s’est rendu devant le Tribunal administratif pour avoir de l’aide.

Un manque d’autonomie reconnu

Dans la décision rendue le 11 juin dernier, les juges Mario Deschênes et Guy Lefrançois ont tranché en faveur de la RAMQ, puisque les composantes de base de la prothèse ne font pas partie du règlement.

Ils ont tout de même retenu que M. Vincent-Couillard «présente plusieurs restrictions fonctionnelles limitant grandement son autonomie», que ce soit pour s’habiller, se nourrir ou encore pour son travail.

«Ce que je vois, c’est que si je me reblesse puis que je me coupe le pouce, là j’ai une [prothèse] de main complète sans problème. Je n’ai pas envie de me couper le pouce pour avoir le reste des doigts qui me manquent», a souligné l’homme de 34 ans.

Près de neuf ans après son accident, M. Vincent-Couillard n’a donc toujours aucune prothèse et aucune solution en vue.

«Je n’ai vraiment aucune idée comment continuer avec ça. J’ai besoin d’aide, a-t-il reconnu. Une main, ça change une vie. [...] Quand tu travailles, que tu dois sortir, il faut que ça puisse fonctionner.»

Une «lourdeur administrative»

Si la RAMQ a assuré qu’elle «comprend et reconnaît la situation particulière de M. Vincent-Couillard», elle a indiqué que son rôle est d’appliquer le règlement.

«Ce règlement ne permet malheureusement pas de couvrir la prothèse demandée, aucune exception ne s’appliquant à la situation dont il est question», a expliqué par courriel Caroline Dupont, porte-parole de la RAMQ.

«C’est cette lourdeur administrative qui fait que M. Vincent-Couillard ne peut pas avoir de doigts myoélectriques», a réagi Louis Bourassa, directeur des programmes et du développement philanthropique (Québec) de l’Association des Amputés de guerre.

«Ce type d’amputation, ce n’est pas fréquent. Même si la RAMQ changeait sa liste pour incorporer les doigts myoélectriques, il n’y aurait pas 2000 personnes au portillon pour les avoir», a-t-il soutenu.

Le cas de M. Vincent-Couillard ne serait pas le seul où des «décisions administratives punissent la personne amputée», selon M. Bourassa.

«J’ai l’impression d’être dans le bois. [...] Toujours être refusé, c’est un peu tannant...», a laissé tomber l’ancien pilote.
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- Nana, ce n'est pas inscrit dans le règlement de gratuité, il n'a pas le droit d'avoir cette prothèse.

Gang de bandits à cravates de tabarnack et en plus, ils reçoivent des bonis substantiels les câlisse ! :boss:

En plus le tribunal, c'est aussi un gang de bandits à cravate, ils ne connaissent rien des valeurs humaines ces sacraments-là ! :enrage:

N'importe quoi pour ne pas payer, il faut bien qu'ils obtiennent leurs sti de salaires de riches câlisse ! :enrage:

La seule chose qu'il lui reste à faire cet homme, c'est demander des sous sur Facebook, ou sur d'autres plateformes à gofoundme. Si des crosseurs ont déjà reçu des sous pour s'approprier le centre-ville d'Ottawa avec leurs "kémions", il devrait avoir en quelques jours, cet argent qu'il lui faut pour obtenir cette prothèse qui est essentielle pour son autonomie.

Sti d'administration inhumaine !

Dédé

Tout pour ne pas payer. Gang de crottée de crisse.

Essayer la SAAAAKul

par Jéromec, jeudi 18 juillet 2024, 19:44 (il y a 128 jours) @ Blake

Vous êtes victimes de la route, la SAAAKUl vous a dans le kul
Vous êtes le criminel qui a fauché une victime vous serez indemnisé

SAAAQKul dérangez nous pus en en présidentiel, Lucky Caire nous a mis en burnout..

https://www.journaldequebec.com/2024/07/04/limpatience-des-clients-de-la-saaq-face-aux-...

Explosion de l’absentéisme à la SAAQ après le fiasco de SAAQclic
Des employés de la société d'État ont écopé des ratés de la plateforme, au point d'en voir leur santé affectée


Logo de la journaliste Diane Tremblay du Journal de Quebec, vendredi le 29 mars 2019. STEVENS LEBLANC/JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI)
Diane Tremblay

Jeudi, 4 juillet 2024 00:00

MISE À JOUR Jeudi, 4 juillet 2024 00:00

Les ratés du déploiement de la plateforme SAAQclic en février 2023 ont eu des répercussions sur la santé des employés qui ont dû subir le mécontentement verbal et parfois même physique des clients insatisfaits, alors que l’on constate au même moment une hausse du taux d’absentéisme.

Selon des demandes d’accès à l’information, le taux d’absentéisme a connu une hausse de plus de 200% à plusieurs endroits dans le réseau dans les mois qui ont suivi la mise en service de SAAQclic (voir tableau).''

La KAq, plus de taxes, plus de lois, plus de règlements, et moins de services...

Faut se serrer la ceinture...

par Jéromec, jeudi 18 juillet 2024, 19:21 (il y a 128 jours) @ Dédé

Faut se serrer la ceinture...

Si nous voulons engrai$$er Northvolt$ et avoir un Toit olympique avec pas d'équipe s'ti...

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Faut se sacrifier pour faire plaisir à cé moé qui est élu c'est moé qui dessine...
et qui coupe aussi..

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et acheter des climatiseurs dans les écoles aussi...

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