spectacles de Taylor Swift annulés à Vienne... (Forum)

par Jéromec, mercredi 07 août 2024, 22:46 (il y a 108 jours)

il règne un climat de paix et d'harmonie partout dans le monde, et l'Iran fait des feux d'artifices avec Azrael afin de célébre des idéologies différentes qui font notre force et notre joie de vivre...
ça va bien aller...

https://www.noovo.info/nouvelle/spectacle-de-taylor-swift-un-attentat-aurait-ete-dejoue...

Les spectacles de Taylor Swift annulés à Vienne après un attentat déjoué

es trois spectacles de Taylor Swift qui devaient avoir lieu en Autriche cette semaine ont été annulés mercredi après l'annonce par les autorités d'arrestations concernant un complot apparent visant à commettre un attentat contre un événement dans la région de Vienne.

La célèbre chanteuse américaine avait des concerts prévus au stade Ernst Happel de Vienne jeudi, vendredi et samedi dans le cadre de sa tournée «Eras».

«Nous n'avons pas d'autre choix que d'annuler les trois spectacles pour la sécurité de tous», a déclaré l'organisateur de l'événement, Barracuda Music, sur le réseau social Instagram mercredi en fin de journée. Il a cité la «confirmation» par des responsables gouvernementaux d'un projet d'attentat dans le stade.''

ça va bien, ça se peut plus d'aller bien...

https://www.noovo.info/nouvelle/a-quoi-pourrait-ressembler-lattaque-de-liran-contre-isr...

À quoi pourrait ressembler l'attaque de l'Iran contre Israël avec le soutien des alliés régionaux?

Alors que l’Iran menace de répondre à l’assassinat présumé par Israël du chef du Hamas, Ismail Haniyeh, à Téhéran, les milices régionales que la République islamique arme depuis des décennies pourraient jouer un rôle dans une éventuelle attaque.

Voici un aperçu de l’histoire de l’armement des milices par l’Iran, de ses alliés dans la région et du rôle qu’ils pourraient jouer.
Que se passerait-il si l’Iran attaquait Israël ?

En avril, à la suite d’une attaque israélienne contre l’ambassade d’Iran en Syrie, l’Iran a lancé 170 drones porteurs de bombes, plus de 30 missiles de croisière et plus de 120 missiles balistiques en direction d’Israël. Israël, les États-Unis et d’autres pays ont abattu un grand nombre de ces projectiles, dont certains provenaient du Yémen.

L’Iran pourrait lancer un assaut similaire, mais cette fois-ci le Hezbollah pourrait être impliqué, la milice cherchant à se venger de l’attaque israélienne de la semaine dernière qui a tué le commandant supérieur Fouad Shukur.

Cette photo publiée le mercredi 31 juillet 2024 par les médias militaires du Hezbollah montre Fouad Shukur, un haut commandant du Hezbollah qui a été tué par une frappe aérienne israélienne.
Cette photo publiée le mercredi 31 juillet 2024 par les médias militaires du Hezbollah montre Fouad Shukur, un haut commandant du Hezbollah qui a été tué par une frappe aérienne israélienne. Photo : Hezbollah Military Media vía AP

Un tel assaut pourrait mettre à rude épreuve les défenses aériennes israéliennes, ce qui se traduirait par de nouvelles frappes de missiles, augmentant le risque de pertes humaines - et d’une nouvelle escalade dont les experts craignent qu’elle ne débouche sur une guerre régionale plus vaste.
Pourquoi l’Iran a-t-il armé des forces supplétives ?

La politique iranienne d’armement des milices a pris racine au lendemain de la révolution islamique de 1979. Auparavant, les États-Unis fournissaient des systèmes d’armes importants, notamment des avions de chasse F-14 Tomcat, au gouvernement du shah Mohammad Reza Pahlavi. Après la révolution et la crise des otages de l’ambassade américaine, ces livraisons et les programmes de maintenance nécessaires ont été interrompus.

La guerre de huit ans qui a opposé l’Iran à l’Irak dans les années 1980 a détruit une grande partie de son arsenal. Les sanctions internationales imposées à l’Iran, notamment en raison de son programme nucléaire, l’ont également empêché de recevoir de nouvelles armes, alors qu’Israël et les États arabes du Golfe alliés aux États-Unis ont reçu des armes de pointe. Tout en développant son propre programme de missiles, l’Iran ne peut rivaliser avec ces armes sophistiquées. Il s’appuie sur les milices comme menace asymétrique pour presser Israël et les États-Unis.
Qui sont les alliés régionaux de l’Iran ?

L’armement de l’Iran a commencé sérieusement dans les années 1980 avec les forces chiites du Liban qui luttaient contre Israël. Elles sont devenues la milice du Hezbollah. L’armement s’est développé avec l’invasion de l’Irak menée par les États-Unis en 2003, qui a renversé le dictateur Saddam Hussein, ennemi de longue date de Téhéran.

À VOIR AUSSI | Israël et Iran: l'analyse de Guy St-Jacques

L’Iran a fortement soutenu le président syrien Bashar Assad dans la longue guerre que connaît son pays. Et l’Iran a continué lorsque l’occasion s’est présentée, même en armant des militants sunnites tout en se considérant comme le défenseur mondial des musulmans chiites. Ces relations sont gérées par la Garde révolutionnaire paramilitaire iranienne, l’un des groupes armés les plus puissants du Moyen-Orient.

Les milices de l’«axe de la résistance» que l’Iran se décrit lui-même sont les suivantes :
Milices irakiennes

En Irak, l’Iran a soutenu une série de forces qui se sont mobilisées en 2014 pour combattre le groupe État islamique. Ces milices principalement chiites, approuvées par l’État et connues sous le nom de Forces de mobilisation populaire, sont devenues une faction politique puissante, armée de roquettes, de drones et d’autres armes. L’Institut international d’études stratégiques estime leur effectif à quelque 180 000 combattants.

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