Tout bonnement, sans arrière-pensée ! (Forum)

par Dédé, vendredi 16 août 2024, 03:26 (il y a 98 jours)

Peter Gabriel - In Your Eyes
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Ben quoi, même derrière ces pensées, je ne peux tout dire, sans arrière-pensée.

Il faut que ma douleur se calme avant d'aller au lit et quant à ne rien faire, tout aussi bien de livrer mes pensées, question d'enjoliver mon environnement.

J'essaie tant bien que mal de m'y faire, je dois tout de même vivre dans ce monde du chacun pour soi. Pas toujours plaisant de constater mais que puis-je faire autre de passer à côté et de m'y faire en marchant sur ce sol de plus en plus fragile, autant que les pensées légères. Après tout, la psychologie a bien apporté des slogans pour nous rendre ainsi, à ce chacun pour soi, comme par exemple ; penses à toi, fais toi plaisir, il n'y a personne qui va le vivre à ta place, la personne la plus importante pour toi, c'est toi. Alors, comment voulez-vous à avoir un juste milieu lorsqu'à force de s'écouter, nous devenons narcissique en plus de s'isoler le plus souvent dans ce silence afin d'entretenir toutes ces pensées. Ah cette essence, surtout ces pensées Mickey Mouse :

Nous ne tenons plus par grand chose, raison de plus d'enjoliver son environnement, de tenir le coup même si au départ, nous sommes certain que nous nous sommes trompé d'incarnation et d'avoir fait un mauvais choix pour faire vivre notre conscience par un si mauvais manteau, pour réchauffer cette Âme qui grelotte par ses folles pensées. Quand même bien celles-ci, il faut vivre et apprécier de tous les petits bonheurs qui se présentent, ne pas en vouloir à personne puisque celle-ci a sa façon de vivre et aussi, sa façon de penser. Après tout, s'il y a toujours de la discorde, c'est bien à cause des pensées qui s'entrechoquent à cause de notre croyance qui en fait le voile de notre conscience, comme l'idéologie qui rend dingue et la religion qui se radicalise. Un jour peut-être, les gens se rendront compte qu'il y a plus que le matériel pour vivre un vrai bonheur.

D'ici ce temps je l'espère, je vis !

Dédé