Offenbach - Mes blues passent pus dans' porte
_________________________

Je tiens encore la route sans emprunter l'autoroute, car je sais que je ne peux plus suivre à grande vitesse et que je me la pèterais bien raide la marboulette, même pas bon pour en faire des boulettes. Alors je reste chez moi bien pénard, en tassant dans le coin la frivolité tout près du "boiler" du poêle, bien attachée à sa patte pour bien la faire comprendre que je ne la veux plus près de moi, hormis pour réchauffer mon Cœur vers mon Amour. Il ne faut aucun doute non plus pour répulser la monotonie, les Cœurs ne doivent jamais manquer de chaleur, autant que braiser le Poêle pour la nuit.

Bien qu'il est facile pour moi de me tenir au noir dans les pénombres des Blues, il faut que je m'efforce à ne pas tomber dans les Ronces car la douleur est insupportable si l'une de ses épines traverse ma paume de la main en essayant de m'y accrocher pour ne pas tomber dans ce trou sans fin, l'avenue même de la Rose sans Croix qui déblatère rien d'autre que les souffrances de l'Enfer. Il vaut mieux m'en soucier si je suis trop dans la pénombre car il est trop aisé de tout refermer en n'alimentant plus le Poêle et me laisser mourir !

Alors je me bats avec mes Blues, il le faut parce que je les vois qui rigolent en me pointant comme des impolis qui ne savent rien faire d'autre que de se moquer des malheurs des autres, ces fainéants de la vie facile qui n'ont rien d'autres à faire que d'êtres des mongoles fiers et à vouloir changer l'Histoire. Je me bats très fort parce que dans mon passé, les Blues m'ont passé K.O. à deux reprises après voir été présent pour les sacrements. C'est certain que ce coup-ci, ils ne m'auront pas car j'ai plusieurs cartes dans ma manche, au moins 4 As. De toute manière, je ne prends plus de chance, j'emporte le jeu de cartes au complets !

Pour les cartomancien.nes, ils.elles savent ce que je veux dire, l'avenir se lit, les présages rendent sage et plus rien n'est étrange aux adages !

De toute manière, je suis le confident à plusieurs personnes mais aucune n'écoute mes confidences, j'en ai pas à donner même si elles sont plus énormes que la Statue de la Liberté. Pour éviter leurs lourdeurs, je les place dans le sac à Blues tout près du Poêle, question de bien alimenter la braise tout au fond de moi pour réchauffer mon Âme.

D'ailleurs cette braise réchauffe l'Âme de ma Dulcinée, raison de plus de mettre ces Blues dans sa poche !

Dédé

Offenbach - Mes blues passent pus dans' porte
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Je tiens encore la route sans emprunter l'autoroute, car je sais que je ne peux plus suivre à grande vitesse et que je me la pèterais bien raide la marboulette, même pas bon pour en faire des boulettes. Alors je reste chez moi bien pénard, en tassant dans le coin la frivolité tout près du "boiler" du poêle, bien attachée à sa patte pour bien la faire comprendre que je ne la veux plus près de moi, hormis pour réchauffer mon Cœur vers mon Amour. Il ne faut aucun doute non plus pour répulser la monotonie, les Cœurs ne doivent jamais manquer de chaleur, autant que braiser le Poêle pour la nuit.

Bien qu'il est facile pour moi de me tenir au noir dans les pénombres des Blues, il faut que je m'efforce à ne pas tomber dans les Ronces car la douleur est insupportable si l'une de ses épines traverse ma paume de la main en essayant de m'y accrocher pour ne pas tomber dans ce trou sans fin, l'avenue même de la Rose sans Croix qui déblatère rien d'autre que les souffrances de l'Enfer. Il vaut mieux m'en soucier si je suis trop dans la pénombre car il est trop aisé de tout refermer en n'alimentant plus le Poêle et me laisser mourir !

Alors je me bats avec mes Blues, il le faut parce que je les vois qui rigolent en me pointant comme des impolis qui ne savent rien faire d'autre que de se moquer des malheurs des autres, ces fainéants de la vie facile qui n'ont rien d'autres à faire que d'êtres des mongoles fiers et à vouloir changer l'Histoire. Je me bats très fort parce que dans mon passé, les Blues m'ont passé K.O. à deux reprises après voir été présent pour les sacrements. C'est certain que ce coup-ci, ils ne m'auront pas car j'ai plusieurs cartes dans ma manche, au moins 4 As. De toute manière, je ne prends plus de chance, j'emporte le jeu de cartes au complets !

Pour les cartomancien.nes, ils.elles savent ce que je veux dire, l'avenir se lit, les présages rendent sage et plus rien n'est étrange aux adages !

De toute manière, je suis le confident à plusieurs personnes mais aucune n'écoute mes confidences, j'en ai pas à donner même si elles sont plus énormes que la Statue de la Liberté. Pour éviter leurs lourdeurs, je les place dans le sac à Blues tout près du Poêle, question de bien alimenter la braise tout au fond de moi pour réchauffer mon Âme.

D'ailleurs cette braise réchauffe l'Âme de ma Dulcinée, raison de plus de mettre ces Blues dans sa poche !

Dédé

C'est le portrait exact des conspis droitardés.

Offenbach - Mes blues passent pus dans' porte
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Je tiens encore la route sans emprunter l'autoroute, car je sais que je ne peux plus suivre à grande vitesse et que je me la pèterais bien raide la marboulette, même pas bon pour en faire des boulettes. Alors je reste chez moi bien pénard, en tassant dans le coin la frivolité tout près du "boiler" du poêle, bien attachée à sa patte pour bien la faire comprendre que je ne la veux plus près de moi, hormis pour réchauffer mon Cœur vers mon Amour. Il ne faut aucun doute non plus pour répulser la monotonie, les Cœurs ne doivent jamais manquer de chaleur, autant que braiser le Poêle pour la nuit.

Bien qu'il est facile pour moi de me tenir au noir dans les pénombres des Blues, il faut que je m'efforce à ne pas tomber dans les Ronces car la douleur est insupportable si l'une de ses épines traverse ma paume de la main en essayant de m'y accrocher pour ne pas tomber dans ce trou sans fin, l'avenue même de la Rose sans Croix qui déblatère rien d'autre que les souffrances de l'Enfer. Il vaut mieux m'en soucier si je suis trop dans la pénombre car il est trop aisé de tout refermer en n'alimentant plus le Poêle et me laisser mourir !

Alors je me bats avec mes Blues, il le faut parce que je les vois qui rigolent en me pointant comme des impolis qui ne savent rien faire d'autre que de se moquer des malheurs des autres, ces fainéants de la vie facile qui n'ont rien d'autres à faire que d'êtres des mongoles fiers et à vouloir changer l'Histoire. Je me bats très fort parce que dans mon passé, les Blues m'ont passé K.O. à deux reprises après voir été présent pour les sacrements. C'est certain que ce coup-ci, ils ne m'auront pas car j'ai plusieurs cartes dans ma manche, au moins 4 As. De toute manière, je ne prends plus de chance, j'emporte le jeu de cartes au complets !

Pour les cartomancien.nes, ils.elles savent ce que je veux dire, l'avenir se lit, les présages rendent sage et plus rien n'est étrange aux adages !

De toute manière, je suis le confident à plusieurs personnes mais aucune n'écoute mes confidences, j'en ai pas à donner même si elles sont plus énormes que la Statue de la Liberté. Pour éviter leurs lourdeurs, je les place dans le sac à Blues tout près du Poêle, question de bien alimenter la braise tout au fond de moi pour réchauffer mon Âme.

D'ailleurs cette braise réchauffe l'Âme de ma Dulcinée, raison de plus de mettre ces Blues dans sa poche !

Dédé

C'est le portrait exact des conspis droitardés.

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C'est bien que je visais !

Offenbach - Mes blues passent pus dans' porte
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Je tiens encore la route sans emprunter l'autoroute, car je sais que je ne peux plus suivre à grande vitesse et que je me la pèterais bien raide la marboulette, même pas bon pour en faire des boulettes. Alors je reste chez moi bien pénard, en tassant dans le coin la frivolité tout près du "boiler" du poêle, bien attachée à sa patte pour bien la faire comprendre que je ne la veux plus près de moi, hormis pour réchauffer mon Cœur vers mon Amour. Il ne faut aucun doute non plus pour répulser la monotonie, les Cœurs ne doivent jamais manquer de chaleur, autant que braiser le Poêle pour la nuit.

Bien qu'il est facile pour moi de me tenir au noir dans les pénombres des Blues, il faut que je m'efforce à ne pas tomber dans les Ronces car la douleur est insupportable si l'une de ses épines traverse ma paume de la main en essayant de m'y accrocher pour ne pas tomber dans ce trou sans fin, l'avenue même de la Rose sans Croix qui déblatère rien d'autre que les souffrances de l'Enfer. Il vaut mieux m'en soucier si je suis trop dans la pénombre car il est trop aisé de tout refermer en n'alimentant plus le Poêle et me laisser mourir !

Alors je me bats avec mes Blues, il le faut parce que je les vois qui rigolent en me pointant comme des impolis qui ne savent rien faire d'autre que de se moquer des malheurs des autres, ces fainéants de la vie facile qui n'ont rien d'autres à faire que d'êtres des mongoles fiers et à vouloir changer l'Histoire. Je me bats très fort parce que dans mon passé, les Blues m'ont passé K.O. à deux reprises après voir été présent pour les sacrements. C'est certain que ce coup-ci, ils ne m'auront pas car j'ai plusieurs cartes dans ma manche, au moins 4 As. De toute manière, je ne prends plus de chance, j'emporte le jeu de cartes au complets !

Pour les cartomancien.nes, ils.elles savent ce que je veux dire, l'avenir se lit, les présages rendent sage et plus rien n'est étrange aux adages !

De toute manière, je suis le confident à plusieurs personnes mais aucune n'écoute mes confidences, j'en ai pas à donner même si elles sont plus énormes que la Statue de la Liberté. Pour éviter leurs lourdeurs, je les place dans le sac à Blues tout près du Poêle, question de bien alimenter la braise tout au fond de moi pour réchauffer mon Âme.

D'ailleurs cette braise réchauffe l'Âme de ma Dulcinée, raison de plus de mettre ces Blues dans sa poche !

Dédé

C'est le portrait exact des conspis droitardés.

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C'est bien que je visais !

Tellement bien visé. Ce sont des gens qui aiment frapper sur les gens qui ont des problèmes afin de se conforter dans leur égo démesuré. La meilleure que j'ai lu l'autre jour: ''les moins nantis sont responsables de leur situation car ils ont faite de mauvais chois dans la vie ''. Et ça incluait ceux qui ont de la misère à se loger à cause des logements trop chers. Pour eux, c'est le libre marché et ça doit être comme ça. C'est beau en crisse cette gang de droitardés.

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Offenbach - Mes blues passent pus dans' porte
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Je tiens encore la route sans emprunter l'autoroute, car je sais que je ne peux plus suivre à grande vitesse et que je me la pèterais bien raide la marboulette, même pas bon pour en faire des boulettes. Alors je reste chez moi bien pénard, en tassant dans le coin la frivolité tout près du "boiler" du poêle, bien attachée à sa patte pour bien la faire comprendre que je ne la veux plus près de moi, hormis pour réchauffer mon Cœur vers mon Amour. Il ne faut aucun doute non plus pour répulser la monotonie, les Cœurs ne doivent jamais manquer de chaleur, autant que braiser le Poêle pour la nuit.

Bien qu'il est facile pour moi de me tenir au noir dans les pénombres des Blues, il faut que je m'efforce à ne pas tomber dans les Ronces car la douleur est insupportable si l'une de ses épines traverse ma paume de la main en essayant de m'y accrocher pour ne pas tomber dans ce trou sans fin, l'avenue même de la Rose sans Croix qui déblatère rien d'autre que les souffrances de l'Enfer. Il vaut mieux m'en soucier si je suis trop dans la pénombre car il est trop aisé de tout refermer en n'alimentant plus le Poêle et me laisser mourir !

Alors je me bats avec mes Blues, il le faut parce que je les vois qui rigolent en me pointant comme des impolis qui ne savent rien faire d'autre que de se moquer des malheurs des autres, ces fainéants de la vie facile qui n'ont rien d'autres à faire que d'êtres des mongoles fiers et à vouloir changer l'Histoire. Je me bats très fort parce que dans mon passé, les Blues m'ont passé K.O. à deux reprises après voir été présent pour les sacrements. C'est certain que ce coup-ci, ils ne m'auront pas car j'ai plusieurs cartes dans ma manche, au moins 4 As. De toute manière, je ne prends plus de chance, j'emporte le jeu de cartes au complets !

Pour les cartomancien.nes, ils.elles savent ce que je veux dire, l'avenir se lit, les présages rendent sage et plus rien n'est étrange aux adages !

De toute manière, je suis le confident à plusieurs personnes mais aucune n'écoute mes confidences, j'en ai pas à donner même si elles sont plus énormes que la Statue de la Liberté. Pour éviter leurs lourdeurs, je les place dans le sac à Blues tout près du Poêle, question de bien alimenter la braise tout au fond de moi pour réchauffer mon Âme.

D'ailleurs cette braise réchauffe l'Âme de ma Dulcinée, raison de plus de mettre ces Blues dans sa poche !

Dédé

C'est le portrait exact des conspis droitardés.

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C'est bien que je visais !

Tellement bien visé. Ce sont des gens qui aiment frapper sur les gens qui ont des problèmes afin de se conforter dans leur égo démesuré. La meilleure que j'ai lu l'autre jour: ''les moins nantis sont responsables de leur situation car ils ont faite de mauvais chois dans la vie ''. Et ça incluait ceux qui ont de la misère à se loger à cause des logements trop chers. Pour eux, c'est le libre marché et ça doit être comme ça. C'est beau en crisse cette gang de droitardés.

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Ça met dans les Bleus et le seul moyen de renverser leurs pensées, c'est de les mettre à nu pour bien leur montrer qu'ils sont bel et bien des trou-du-culs, comme leur Poildecul qui les lèche bien !

Offenbach - Mes blues passent pus dans' porte
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Je tiens encore la route sans emprunter l'autoroute, car je sais que je ne peux plus suivre à grande vitesse et que je me la pèterais bien raide la marboulette, même pas bon pour en faire des boulettes. Alors je reste chez moi bien pénard, en tassant dans le coin la frivolité tout près du "boiler" du poêle, bien attachée à sa patte pour bien la faire comprendre que je ne la veux plus près de moi, hormis pour réchauffer mon Cœur vers mon Amour. Il ne faut aucun doute non plus pour répulser la monotonie, les Cœurs ne doivent jamais manquer de chaleur, autant que braiser le Poêle pour la nuit.

Bien qu'il est facile pour moi de me tenir au noir dans les pénombres des Blues, il faut que je m'efforce à ne pas tomber dans les Ronces car la douleur est insupportable si l'une de ses épines traverse ma paume de la main en essayant de m'y accrocher pour ne pas tomber dans ce trou sans fin, l'avenue même de la Rose sans Croix qui déblatère rien d'autre que les souffrances de l'Enfer. Il vaut mieux m'en soucier si je suis trop dans la pénombre car il est trop aisé de tout refermer en n'alimentant plus le Poêle et me laisser mourir !

Alors je me bats avec mes Blues, il le faut parce que je les vois qui rigolent en me pointant comme des impolis qui ne savent rien faire d'autre que de se moquer des malheurs des autres, ces fainéants de la vie facile qui n'ont rien d'autres à faire que d'êtres des mongoles fiers et à vouloir changer l'Histoire. Je me bats très fort parce que dans mon passé, les Blues m'ont passé K.O. à deux reprises après voir été présent pour les sacrements. C'est certain que ce coup-ci, ils ne m'auront pas car j'ai plusieurs cartes dans ma manche, au moins 4 As. De toute manière, je ne prends plus de chance, j'emporte le jeu de cartes au complets !

Pour les cartomancien.nes, ils.elles savent ce que je veux dire, l'avenir se lit, les présages rendent sage et plus rien n'est étrange aux adages !

De toute manière, je suis le confident à plusieurs personnes mais aucune n'écoute mes confidences, j'en ai pas à donner même si elles sont plus énormes que la Statue de la Liberté. Pour éviter leurs lourdeurs, je les place dans le sac à Blues tout près du Poêle, question de bien alimenter la braise tout au fond de moi pour réchauffer mon Âme.

D'ailleurs cette braise réchauffe l'Âme de ma Dulcinée, raison de plus de mettre ces Blues dans sa poche !

Dédé

C'est le portrait exact des conspis droitardés.

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C'est bien que je visais !

Tellement bien visé. Ce sont des gens qui aiment frapper sur les gens qui ont des problèmes afin de se conforter dans leur égo démesuré. La meilleure que j'ai lu l'autre jour: ''les moins nantis sont responsables de leur situation car ils ont faite de mauvais chois dans la vie ''. Et ça incluait ceux qui ont de la misère à se loger à cause des logements trop chers. Pour eux, c'est le libre marché et ça doit être comme ça. C'est beau en crisse cette gang de droitardés.

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Ça met dans les Bleus et le seul moyen de renverser leurs pensées, c'est de les mettre à nu pour bien leur montrer qu'ils sont bel et bien des trou-du-culs, comme leur Poildecul qui les lèche bien !