je plains les parents, les élèves et les profs...

Pink Floyd Another Brick In The Wall

https://www.youtube.com/watch?v=bZwxTX2pWmw

avec Burnout Out au MinissTaire de l'édukation, le plan ça va être un succès, comme le témoigne cet incident à Lévis..

https://www.tvanouvelles.ca/2024/09/09/violence-a-lecole-une-ado-de-14-ans-battue-par-d...

Trois élèves de deux écoles secondaires de Lévis ont été suspendus dans la foulée d’une bataille lors de laquelle une adolescente de 14 ans aurait été sérieusement blessée.

La bataille se serait déroulée mercredi dernier sur le terrain d’un aréna près de l’école secondaire Champagnat, à Lévis. Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux montrent un cercle d’élèves autour de deux filles dont l’une en vient à frapper l’autre. Une mêlée s’en suit entre plusieurs jeunes.

«Dès le premier coup donné, tout le monde a embarqué. Puis, il y a un moment donné où l’on ne voit plus ma fille tellement qu’il y a de gens par-dessus», a témoigné anonymement à TVA Nouvelles la mère de la jeune fille victime de l’attaque. Cette dernière a été transportée à l’urgence d’un hôpital et ne pourra pas pratiquer de sports pendant trois semaines.

Tout a commencé quand la présumée victime a écrit sur un bout de papier le mot «laide», désignant une collègue de classe, qui s’est retrouvée avec ce message entre les mains.
Suspensions et enquête

Le Centre de services scolaire (CSS) des Navigateurs a été mis au fait de l’altercation via les médias, explique le directeur-général adjoint Éric Pouliot.

«Mais nous avons eu une intervention sur le champ de la part de l’école avec l’aide de la policière scolaire», ajoute-t-il.

Trois élèves de deux écoles du CSS ont été suspendues pour des durées variant d'une à deux journées. Il pourrait y avoir sanctions ou accompagnement supplémentaire selon les suites de l'enquête policière.

Le Service de police de la Ville de Lévis a confirmé qu’une enquête était en cours en lien avec cette bataille.

Les policiers sont en contact avec la famille de la victime alléguée, les présumés agresseurs et l’école, a affirmé la porte-parole du service, Véronique Blouin.

Le retour en classes de ces élèves s'est fait «en présence des parents», explique le centre de services scolaire.

Un accompagnement pour les parents de la jeune victime pour son éventuel retour en classes a aussi été offert par l’école. Cette élève a été suspendue deux jours et n'est toujours pas de retour à l'école pour des raisons médicales.

«On ne va jamais banaliser un geste comme ça, assure Éric Pouliot. On veut vraiment être proactif, mais malheureusement, quand ça se produit, on cherche d’abord à accompagner les jeunes et les parents.»

Cette altercation s’inscrit dans un contexte d’inquiétude quant à la civilité dans les écoles du Québec. Le maire de Lévis, Gilles Lehouiller, s'est dit prêt à aider afin de diminuer les épisodes de violence en milieu scolaire.

«C'est assez effrayant. Ça démontre à quel point il faudra multiplier les interventions pour assurer la sécurité de nos jeunes. On va peut-être accélérer le tempo d'une présence policière non pas coercitive, mais pour inciter à plus de civisme». a-t-il avancé.

Au congrès de la commission de l’aile jeunesse de son parti samedi, le premier ministre François Legault a demandé un plan sur la discipline à l’école à son ministre de l’Éducation, Bernard Drainville.

«Ces images sont toujours extrêmement troublantes. Dès qu’on en a pris connaissance, on a demandé des vérifications», a d'ailleurs réagi M. Drainville en lien avec l'évènement de Lévis.

«On ne le répétera jamais assez: la violence et l’intimidation, c’est NON! Ça ne doit pas juste être des paroles. Il faut passer de la parole aux actes», a-t-il insisté, en soulignant que chaque école doit voir un plan d’action contre la violence et l’intimidation.

–Avec les informations d’Yves Poirier, TVA Nouvelles et de Jean-François Racine
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Encore une histoire de clan !

Lorsqu'un.e ado entre au secondaire, il est évident que les clans sont bien établis et il ou elle devra éviter de se frotter contres ceux-ci par principe de demeurer neutre, ainsi de pouvoir avoir de l'aide dans le cas d'intimidation de l'un de ces clans. Il est malheureusement là le problème, manque de ressource pour annihiler ces clans et pouvoir protéger les élèves victimes de l'intimidation.

Ne jamais oublier que la violence est avant tout un avantage clanique !