Mon Ygreck du jour ! (Forum)
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Ça lui en prendrait une charge élevée pour le réveiller celui-là !
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Mon Ygreck Capitaine$ Boo$tcaq
Northvole, fier partenaire de l'austérité et des coupures dans les écoles...
Québec pourrait verser 300 M$ supplémentaires à Northvolt
après avoir dit non à bonifier les banques alimentaires...
ils vont socialiser les pertes et privatiser les profit$
https://www.journaldequebec.com/2024/09/24/quebec-pourrait-verser-300-m-supplementaires...
Québec pourrait verser 300 M$ supplémentaires à Northvolt
NL ATR 001 Logo Nicolas Lachance, mercredi 04 septembre 2013. ANNIE T ROUSSEL/JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI
Nicolas Lachance
Mardi, 24 septembre 2024 12:01
MISE À JOUR Mardi, 24 septembre 2024 12:37
Malgré les déboires financiers de Northvolt, le gouvernement Legault devra verser 297 M$ supplémentaires en capital-actions à la maison mère de l’entreprise suédoise dès que la construction de l’usine commencera, à condition que la jeune pousse ait complété le financement de son projet.
Le 300 M$ sera versé lorsque la construction de l’usine aura débuté, a confirmé le premier ministre du Québec François Legault, bombardé de questions par les libéraux, mardi.
Il nomme une condition pour que l’argent soit transféré à la maison mère: «que le financement soit attaché par Northvolt». Mais, l’entreprise n’a «évidemment pas» complété son financement privé, a signalé le premier ministre.
Le ministère de l’Énergie, de l’Innovation et de l’Économie s’est engagé à verser 567 M$ en capital-actions à Northvolt (voir plus bas).
À ce jour, une débenture de 270 M$ «a été souscrite», mais n’a toujours pas été convertie en actions.
«Une nouvelle débenture de 220 M$ US [297 M$ CA] pourrait être souscrite dans une phase de financement subséquente du projet», ont admis à notre Bureau Parlementaire le gouvernement et le porte-parole de Northvolt, Laurent Therrien.
François Legault estime «qu’il faut prendre des risques calculés» pour faire du développement économique. Environ 60% des travaux de préparation du site sont exécutés afin d’accueillir la construction du bâtiment.
Bientôt un milliard $
Les 300 millions $ feraient grimper à 1G$ l’argent injecté par le gouvernement Legault dans Northvolt avant même la mise en fonction de l’usine.
La somme s’ajouterait aux 700 M$ déjà investis par les Québécois dans l’entreprise suédoise, soit 240 M$ pour l’achat du terrain, les premiers 270 M$ du gouvernement à la maison mère et un autre montant de 200 M$ de la part de la Caisse de dépôt et placement.
«L’argent des Québécois et les précieux blocs d’énergie ne sont pas du capital de risques, nous ne sommes pas à l’émission Dans l’œil du dragon», a signalé en entrevue la porte-parole libérale en matière d’énergie, Marwah Rizqy, qui réclame plus de transparence sur le contrat.
La nouvelle ministre de l’Économie et de l’Énergie, Christine Fréchette a répété que le montage financier «est fait de manière très habile» et «prudent».
«Le plus grand défi pour la suite des choses est de rassembler les fonds privés», a-t-elle ajouté.
Difficultés financières
Or, en raison de ses problèmes de liquidité, Northvolt effectue présentement une nouvelle ronde de financement. Elle cherche des investisseurs.
Le constructeur de batteries Northvolt a d'ailleurs licencié 1600 employés en Suède ce lundi. Ce couperet s’ajoute à la «macédoine» de mauvaises nouvelles qui touchent l’entreprise depuis quelques semaines, a ajouté la libérale Marwah Rizqy.
Les créanciers ont recours aux services de la banque new-yorkaise PJT Partners pour redresser l’entreprise.
La restructuration qui frappe l’entreprise inquiète le Parti Québécois qui a demandé un débat d’urgence sur la question afin de rassurer les contribuables. La présidente de l’Assemblée nationale, Nathalie Roy, a refusé la réclamation.
Québec solidaire a aussi déposé une motion demandant au gouvernement de n’engager aucuns fonds publics supplémentaires dans Northvolt ou l’un de ses projets. La motion a été refusée.
Argent des Québécois
Rappelons que les gouvernements fédéral et provincial ont annoncé des investissements de 7 G$ pour convaincre Northvolt de construire un mégaprojet au Québec.
C’est le ministre démissionnaire, Pierre Fitzgibbon, qui a signé ce «deal» pour le gouvernement Legault. Le contrat prévoit que soient déployés 2,9 G$, soit 1,37 G$ de capitaux et 1,5 G$ d’incitatif à la production.
En plus des versements en capital-actions, Québec versera graduellement un prêt de 436 M$ qui sera pardonnable selon la concrétisation des engagements de Northvolt, comme, par exemple, avoir engagé un nombre précis d’employés.
Ce qu’ils ont dit :
«Le gouvernement a l'obligation, avec les sommes qui sont en jeu, de nous répondre, d'être plus transparent, et l'obligation de réévaluer avec les oppositions (...) Est-ce qu'on continue à dépenser, est-ce qu'on continue? » - le chef péquiste Paul St-Pierre Plamondon
«N’investissons plus une cent d'argent public supplémentaire dans la compagnie Northvolt et dans ses différents projets. Franchement, à ce stade-ci de la saga, là, c'est le strict minimum» - le chef parlementaire de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois
«Quand on veut faire du développement économique, il faut prendre des risques calculés» - Le premier ministre François Legault
«Moi, j'aurais dit non, en tout cas, à investir 300 millions $ additionnels parce qu'aujourd'hui, là, on n'a aucune transparence de la part de ce gouvernement-là» - le libéral Frédéric Beauchemin
Valeur des investissements en capitaux de 1,37 G$ du gouvernent du Québec dans Northvolt:
• Un investissement en capital-actions de 567 M$
• Un prêt pardonnable de 436 M$ en fonction de l’atteinte d’engagements pris par l’entreprise
• Un prêt remboursable de 367 M$
Sources: Crédits budgétaires 2024-2025
Délais à prévoir
Northvolt fera une mise à jour de son projet cet automne. C’est à ce moment qu’elle confirmera les retards dans la construction de son usine de McMasterville et à Saint-Basile-le-Grand et l’implantation du deuxième bâtiment.
Le ministre démissionnaire Pierre Fitzgibbon a avancé un retard possible de 15 à 18 mois.
Vous avez un scoop à nous
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Excellente idée.
Québec pourrait verser 300 M$ supplémentaires à Northvolt
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https://www.journaldequebec.com/2024/09/24/quebec-pourrait-verser-300-m-supplementaires...
Québec pourrait verser 300 M$ supplémentaires à Northvolt
NL ATR 001 Logo Nicolas Lachance, mercredi 04 septembre 2013. ANNIE T ROUSSEL/JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI
Nicolas LachanceMardi, 24 septembre 2024 12:01
MISE À JOUR Mardi, 24 septembre 2024 12:37
Malgré les déboires financiers de Northvolt, le gouvernement Legault devra verser 297 M$ supplémentaires en capital-actions à la maison mère de l’entreprise suédoise dès que la construction de l’usine commencera, à condition que la jeune pousse ait complété le financement de son projet.
Le 300 M$ sera versé lorsque la construction de l’usine aura débuté, a confirmé le premier ministre du Québec François Legault, bombardé de questions par les libéraux, mardi.
Il nomme une condition pour que l’argent soit transféré à la maison mère: «que le financement soit attaché par Northvolt». Mais, l’entreprise n’a «évidemment pas» complété son financement privé, a signalé le premier ministre.
Le ministère de l’Énergie, de l’Innovation et de l’Économie s’est engagé à verser 567 M$ en capital-actions à Northvolt (voir plus bas).
À ce jour, une débenture de 270 M$ «a été souscrite», mais n’a toujours pas été convertie en actions.
«Une nouvelle débenture de 220 M$ US [297 M$ CA] pourrait être souscrite dans une phase de financement subséquente du projet», ont admis à notre Bureau Parlementaire le gouvernement et le porte-parole de Northvolt, Laurent Therrien.
François Legault estime «qu’il faut prendre des risques calculés» pour faire du développement économique. Environ 60% des travaux de préparation du site sont exécutés afin d’accueillir la construction du bâtiment.
Bientôt un milliard $Les 300 millions $ feraient grimper à 1G$ l’argent injecté par le gouvernement Legault dans Northvolt avant même la mise en fonction de l’usine.
La somme s’ajouterait aux 700 M$ déjà investis par les Québécois dans l’entreprise suédoise, soit 240 M$ pour l’achat du terrain, les premiers 270 M$ du gouvernement à la maison mère et un autre montant de 200 M$ de la part de la Caisse de dépôt et placement.
«L’argent des Québécois et les précieux blocs d’énergie ne sont pas du capital de risques, nous ne sommes pas à l’émission Dans l’œil du dragon», a signalé en entrevue la porte-parole libérale en matière d’énergie, Marwah Rizqy, qui réclame plus de transparence sur le contrat.
La nouvelle ministre de l’Économie et de l’Énergie, Christine Fréchette a répété que le montage financier «est fait de manière très habile» et «prudent».
«Le plus grand défi pour la suite des choses est de rassembler les fonds privés», a-t-elle ajouté.
Difficultés financièresOr, en raison de ses problèmes de liquidité, Northvolt effectue présentement une nouvelle ronde de financement. Elle cherche des investisseurs.
Le constructeur de batteries Northvolt a d'ailleurs licencié 1600 employés en Suède ce lundi. Ce couperet s’ajoute à la «macédoine» de mauvaises nouvelles qui touchent l’entreprise depuis quelques semaines, a ajouté la libérale Marwah Rizqy.
Les créanciers ont recours aux services de la banque new-yorkaise PJT Partners pour redresser l’entreprise.
La restructuration qui frappe l’entreprise inquiète le Parti Québécois qui a demandé un débat d’urgence sur la question afin de rassurer les contribuables. La présidente de l’Assemblée nationale, Nathalie Roy, a refusé la réclamation.
Québec solidaire a aussi déposé une motion demandant au gouvernement de n’engager aucuns fonds publics supplémentaires dans Northvolt ou l’un de ses projets. La motion a été refusée.
Argent des QuébécoisRappelons que les gouvernements fédéral et provincial ont annoncé des investissements de 7 G$ pour convaincre Northvolt de construire un mégaprojet au Québec.
C’est le ministre démissionnaire, Pierre Fitzgibbon, qui a signé ce «deal» pour le gouvernement Legault. Le contrat prévoit que soient déployés 2,9 G$, soit 1,37 G$ de capitaux et 1,5 G$ d’incitatif à la production.
En plus des versements en capital-actions, Québec versera graduellement un prêt de 436 M$ qui sera pardonnable selon la concrétisation des engagements de Northvolt, comme, par exemple, avoir engagé un nombre précis d’employés.
Ce qu’ils ont dit :
«Le gouvernement a l'obligation, avec les sommes qui sont en jeu, de nous répondre, d'être plus transparent, et l'obligation de réévaluer avec les oppositions (...) Est-ce qu'on continue à dépenser, est-ce qu'on continue? » - le chef péquiste Paul St-Pierre Plamondon
«N’investissons plus une cent d'argent public supplémentaire dans la compagnie Northvolt et dans ses différents projets. Franchement, à ce stade-ci de la saga, là, c'est le strict minimum» - le chef parlementaire de Québec solidaire, Gabriel Nadeau-Dubois
«Quand on veut faire du développement économique, il faut prendre des risques calculés» - Le premier ministre François Legault
«Moi, j'aurais dit non, en tout cas, à investir 300 millions $ additionnels parce qu'aujourd'hui, là, on n'a aucune transparence de la part de ce gouvernement-là» - le libéral Frédéric Beauchemin
Valeur des investissements en capitaux de 1,37 G$ du gouvernent du Québec dans Northvolt:• Un investissement en capital-actions de 567 M$
• Un prêt pardonnable de 436 M$ en fonction de l’atteinte d’engagements pris par l’entreprise
• Un prêt remboursable de 367 M$
Sources: Crédits budgétaires 2024-2025
Délais à prévoirNorthvolt fera une mise à jour de son projet cet automne. C’est à ce moment qu’elle confirmera les retards dans la construction de son usine de McMasterville et à Saint-Basile-le-Grand et l’implantation du deuxième bâtiment.
Le ministre démissionnaire Pierre Fitzgibbon a avancé un retard possible de 15 à 18 mois.
Vous avez un scoop à nous
Ça a toujours été comme ça. Les crosseurs du privé ramassent l'argent et le gouvernement, les pertes.
pour 300 millions (minimum de plus)
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-400 millions pour les écoles
pendant que l'Alberta en mets 8.6 milliards pour les écoles
Le pluss minable des PM au Kébec c'estqui ?
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2105356/systeme-scolaire-budget-investissement-imm...
L’Alberta prévoit 8,6 milliards $ pour la construction et la modernisation d’écoles
Danielle Smith le 19 mars 2024 à Houston, au Texas.
Dans une allocution télévisée, la première ministre Danielle Smith annonce un investissement de 8,6 milliards de dollars d’ici trois ans pour la construction et la modernisation d’écoles. (Photo d'archives)
Photo : Radio-Canada / Kyle Bakx
Marc-Antoine Leblanc (Consulter le profil)
Marc-Antoine Leblanc
Publié le 17 septembre à 21 h 08 HAE
Mis à jour le 17 septembre à 22 h 08 HAE
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La synthèse vocale, basée sur l’intelligence artificielle, permet de générer un texte parlé à partir d’un texte écrit.
Dans une allocution télévisée, la première ministre Danielle Smith annonce un investissement d’une valeur de 8,6 milliards de dollars pour la construction et la modernisation des écoles en Alberta. Elle demande également à son homologue fédéral, Justin Trudeau, de baisser les seuils d’immigration à des niveaux soutenables.
Lors des dernières années, a expliqué la cheffe du Parti conservateur uni (PCU), le nombre d’inscriptions a grimpé, à un niveau avoisinant "33 000 nouveaux élèves par année, soit l’équivalent de près de 35 écoles chaque année".
Avec cette augmentation, Mme Smith veut revoir à la hausse le montant alloué dans le dernier budget à la construction et la modernisation des écoles dans la province.
Elle prévoit dorénavant 8,6 milliards de dollars pour la construction de nouveaux espaces et la modernisation des écoles de la maternelle à la 12e année au cours des 3 prochaines années.
À lire aussi :
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Cela va permettre à la province d’ajouter 150 000 nouvelles places dans les écoles d’ici 7 ans, en plus d’achever la construction pour ajouter 50 000 places lors des 3 prochaines années.
Compte tenu de la capacité de la main-d’œuvre disponible dans l’industrie de la construction et le temps que cela prend pour délivrer les permis, préparer et desservir les sites scolaires disponibles, il s’agit littéralement de la construction la plus rapide et la plus importante que notre province puisse gérer.
Une citation de Danielle Smith, première ministre de l’Alberta
Cette mesure, nommée le Programme d'accélération pour la construction d'écoles, a été approuvée mardi par le Cabinet et le Conseil du trésor. Le dernier budget prévoyait 2,1 milliards de dollars pour la construction et la modernisation des écoles.
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Une position financière propice aux investissements
La première ministre table sur une position financière donnant à la province la "flexibilité nécessaire pour réaliser" cet investissement qui permet de gérer la hausse du nombre d’élèves "sans avoir à enregistrer de déficit".
D’ici la construction de toutes les nouvelles places prévues par la province, le programme prévoit aussi l’achat de nouvelles salles de classe modulaires lors des quatre prochaines années.
La première ministre de l'Alberta Danielle Smith.
La première ministre albertaine Danielle Smith veut construire davantage d’écoles pour répondre à l’augmentation du nombre d’élèves dans la province dans les dernières années.
Photo : La Presse canadienne / Darryl Dyck
Une partie du financement sera redirigée vers ce que Mme Smith nomme le Programme d’accélération des écoles à charte qui vise l’ajout de 12 500 places d’ici les 4 prochaines années.
Danielle Smith désire de plus développer un projet pilote pour aider les écoles privées à but non lucratif à créer de nouvelles places dans les écoles indépendantes à "un coût réduit par élève pour les contribuables".
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Des seuils d’immigration insoutenables
Dans son allocution, la première ministre accuse en outre le gouvernement de Justin Trudeau d’avoir entretenu des seuils d’immigration trop élevés, brisant ainsi "l’équilibre délicat " entre la construction de logements et les besoins économiques du pays.
"Ces niveaux d'immigration historiquement élevés [...] exacerbent les pénuries de logements, les possibilités d'emploi pour les jeunes, ainsi que les infrastructures de santé, d'éducation et d'autres services sociaux, d'une manière qui constitue un défi majeur pour toutes les provinces, y compris la nôtre", a-t-elle déclaré.
Danielle Smith souriante, assise en face de Justin Trudeau qui la regarde
La première ministre Danielle Smith avec son homologue fédéral Justin Trudeau. (photo d’archives)
Photo : La Presse canadienne / Sean Kilpatrick
Cela a également un impact sur le coût de la vie et exerce une pression accrue sur tous les Albertains, indique-t-elle.
C'est pourquoi je me joins aux autres premiers ministres de tout le pays pour demander au gouvernement fédéral actuel de réintroduire immédiatement des politiques d'immigration raisonnables et modérées.
Une citation de Danielle Smith, première ministre de l’Alberta
Elle précise que si le gouvernement fédéral ne procède pas à des changements en matière d’immigration, son gouvernement en soutiendra un autre qui le fera.
Un investissement "générationnel"
En réponse à Danielle Smith, le chef de l’opposition néo-démocrate, Naheed Nenshi, a reconnu que l’investissement était "générationnel".
"Je ne pense pas que quiconque puisse contester la nécessité d'investir dans les infrastructures scolaires publiques."
Portrait de Naheed Nenshi le 11 mai 2024.
Naheed Nenshi est le chef du Nouveau Parti démocratique.
Photo : La Presse canadienne / Jeff McIntosh
Il comprend toutefois mal le moment choisi pour procéder à cette annonce. Le gouvernement aurait dû, selon lui, s'y prendre à l’avance pour tenter de résoudre les problèmes dans le système éducatif.
"Ils attendent que la fuite inonde le sous-sol pour essayer de la colmater, et ils mettent la main dedans, sans regarder où va l'eau", estime-t-il.
En annonçant toutes ses mesures en même temps, affirme M. Nenshi, le gouvernement de Danielle Smith va augmenter l’inflation et le coût de construction de "chacune des écoles".
"Ils vont aspirer toute la main-d'œuvre du secteur de la construction, qui est également nécessaire pour construire des maisons, pour construire toutes les autres choses dont nous avons besoin pour les communautés en croissance."
Un Sujet Brûlant...
Un Sujet Brûlant...
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C'est juste une rumeur concernant la pile lithium-ion pour les autos.
Les incendies de voitures électriques sont rares
On entend souvent que les voitures électriques sont plus susceptibles de prendre feu que les voitures thermiques. Mais dans les faits, cela reste plutôt un cas isolé, comme le révèle une récente étude.
Les voitures électriques continuent de progresser dans le monde, avec une part de marché qui ne cesse de grandir au fil du temps. Et ce alors que les arguments en faveur de cette motorisation sont de plus en plus nombreux face aux détracteurs.
Un risque peu élevé
Cependant, et outre la peur de tomber en panne de batterie, un autre aspect affole encore certains automobilistes au sujet de l’électrique. Il s’agit des incendies, une crainte encore bien ancrée dans l’imaginaire collectif, puisque ce type d’évènement fait généralement les gros titres lorsque cela arrive. Le dernier en date remonte d’ailleurs à quelques jours seulement, puisqu’une Mercedes EQE a flambé en Corée du Sud. Ce qui a incité le gouvernement à envisager des mesures pour réduire les risques.
Mais les voitures électriques qui prennent feu, ça arrive vraiment si souvent que ça ? Les idées reçues à ce sujet vont bon train, puisque la croyance veut que cette motorisation soit plus à risque que les autos thermiques. Or, une étude publiée en mai dernier nous avait déjà prouvé que c’est totalement faux, au contraire. Mais ce n’est pas tout, car une entreprise australienne spécialisée dans les incendies d’autos électriques vient de dévoiler des chiffres qui vont une fois encore dans ce sens, dans le cadre d’une grande enquête.
https://www.frandroid.com/survoltes/voitures-electriques/2313008_ces-chiffres-prouvent-...
Les incendies de voitures électriques sont rares
On entend souvent que les voitures électriques sont plus susceptibles de prendre feu que les voitures thermiques. Mais dans les faits, cela reste plutôt un cas isolé, comme le révèle une récente étude.
Les voitures électriques continuent de progresser dans le monde, avec une part de marché qui ne cesse de grandir au fil du temps. Et ce alors que les arguments en faveur de cette motorisation sont de plus en plus nombreux face aux détracteurs.
Un risque peu élevé
Cependant, et outre la peur de tomber en panne de batterie, un autre aspect affole encore certains automobilistes au sujet de l’électrique. Il s’agit des incendies, une crainte encore bien ancrée dans l’imaginaire collectif, puisque ce type d’évènement fait généralement les gros titres lorsque cela arrive. Le dernier en date remonte d’ailleurs à quelques jours seulement, puisqu’une Mercedes EQE a flambé en Corée du Sud. Ce qui a incité le gouvernement à envisager des mesures pour réduire les risques.Mais les voitures électriques qui prennent feu, ça arrive vraiment si souvent que ça ? Les idées reçues à ce sujet vont bon train, puisque la croyance veut que cette motorisation soit plus à risque que les autos thermiques. Or, une étude publiée en mai dernier nous avait déjà prouvé que c’est totalement faux, au contraire. Mais ce n’est pas tout, car une entreprise australienne spécialisée dans les incendies d’autos électriques vient de dévoiler des chiffres qui vont une fois encore dans ce sens, dans le cadre d’une grande enquête.
https://www.frandroid.com/survoltes/voitures-electriques/2313008_ces-chiffres-prouvent-...
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En autant que ça ne brûle pas en roulant !
Les incendies de voitures électriques sont rares
On entend souvent que les voitures électriques sont plus susceptibles de prendre feu que les voitures thermiques. Mais dans les faits, cela reste plutôt un cas isolé, comme le révèle une récente étude.
Les voitures électriques continuent de progresser dans le monde, avec une part de marché qui ne cesse de grandir au fil du temps. Et ce alors que les arguments en faveur de cette motorisation sont de plus en plus nombreux face aux détracteurs.
Un risque peu élevé
Cependant, et outre la peur de tomber en panne de batterie, un autre aspect affole encore certains automobilistes au sujet de l’électrique. Il s’agit des incendies, une crainte encore bien ancrée dans l’imaginaire collectif, puisque ce type d’évènement fait généralement les gros titres lorsque cela arrive. Le dernier en date remonte d’ailleurs à quelques jours seulement, puisqu’une Mercedes EQE a flambé en Corée du Sud. Ce qui a incité le gouvernement à envisager des mesures pour réduire les risques.Mais les voitures électriques qui prennent feu, ça arrive vraiment si souvent que ça ? Les idées reçues à ce sujet vont bon train, puisque la croyance veut que cette motorisation soit plus à risque que les autos thermiques. Or, une étude publiée en mai dernier nous avait déjà prouvé que c’est totalement faux, au contraire. Mais ce n’est pas tout, car une entreprise australienne spécialisée dans les incendies d’autos électriques vient de dévoiler des chiffres qui vont une fois encore dans ce sens, dans le cadre d’une grande enquête.
https://www.frandroid.com/survoltes/voitures-electriques/2313008_ces-chiffres-prouvent-...
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En autant que ça ne brûle pas en roulant !
Les chars thermiques brûlent souvent en roulant. Par contre, il semblerait qu'un feu de char électrique est plus dur à gérer.
Les incendies de voitures électriques sont rares
On entend souvent que les voitures électriques sont plus susceptibles de prendre feu que les voitures thermiques. Mais dans les faits, cela reste plutôt un cas isolé, comme le révèle une récente étude.
Les voitures électriques continuent de progresser dans le monde, avec une part de marché qui ne cesse de grandir au fil du temps. Et ce alors que les arguments en faveur de cette motorisation sont de plus en plus nombreux face aux détracteurs.
Un risque peu élevé
Cependant, et outre la peur de tomber en panne de batterie, un autre aspect affole encore certains automobilistes au sujet de l’électrique. Il s’agit des incendies, une crainte encore bien ancrée dans l’imaginaire collectif, puisque ce type d’évènement fait généralement les gros titres lorsque cela arrive. Le dernier en date remonte d’ailleurs à quelques jours seulement, puisqu’une Mercedes EQE a flambé en Corée du Sud. Ce qui a incité le gouvernement à envisager des mesures pour réduire les risques.Mais les voitures électriques qui prennent feu, ça arrive vraiment si souvent que ça ? Les idées reçues à ce sujet vont bon train, puisque la croyance veut que cette motorisation soit plus à risque que les autos thermiques. Or, une étude publiée en mai dernier nous avait déjà prouvé que c’est totalement faux, au contraire. Mais ce n’est pas tout, car une entreprise australienne spécialisée dans les incendies d’autos électriques vient de dévoiler des chiffres qui vont une fois encore dans ce sens, dans le cadre d’une grande enquête.
https://www.frandroid.com/survoltes/voitures-electriques/2313008_ces-chiffres-prouvent-...
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En autant que ça ne brûle pas en roulant !
Les chars thermiques brûlent souvent en roulant. Par contre, il semblerait qu'un feu de char électrique est plus dur à gérer.
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Oui, à cause des composantes de la pile, c'est plus difficile à éteindre puisqu'il faut un produit chimique, l'eau active l'incendie.
Les incendies de voitures électriques sont rares
On entend souvent que les voitures électriques sont plus susceptibles de prendre feu que les voitures thermiques. Mais dans les faits, cela reste plutôt un cas isolé, comme le révèle une récente étude.
Les voitures électriques continuent de progresser dans le monde, avec une part de marché qui ne cesse de grandir au fil du temps. Et ce alors que les arguments en faveur de cette motorisation sont de plus en plus nombreux face aux détracteurs.
Un risque peu élevé
Cependant, et outre la peur de tomber en panne de batterie, un autre aspect affole encore certains automobilistes au sujet de l’électrique. Il s’agit des incendies, une crainte encore bien ancrée dans l’imaginaire collectif, puisque ce type d’évènement fait généralement les gros titres lorsque cela arrive. Le dernier en date remonte d’ailleurs à quelques jours seulement, puisqu’une Mercedes EQE a flambé en Corée du Sud. Ce qui a incité le gouvernement à envisager des mesures pour réduire les risques.Mais les voitures électriques qui prennent feu, ça arrive vraiment si souvent que ça ? Les idées reçues à ce sujet vont bon train, puisque la croyance veut que cette motorisation soit plus à risque que les autos thermiques. Or, une étude publiée en mai dernier nous avait déjà prouvé que c’est totalement faux, au contraire. Mais ce n’est pas tout, car une entreprise australienne spécialisée dans les incendies d’autos électriques vient de dévoiler des chiffres qui vont une fois encore dans ce sens, dans le cadre d’une grande enquête.
https://www.frandroid.com/survoltes/voitures-electriques/2313008_ces-chiffres-prouvent-...
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Les chars thermiques brûlent souvent en roulant. Par contre, il semblerait qu'un feu de char électrique est plus dur à gérer.
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Oui, à cause des composantes de la pile, c'est plus difficile à éteindre puisqu'il faut un produit chimique, l'eau active l'incendie.
Effectivement.