Un parti vire-capot encore ! (Forum)
Source : Fin de la vente des véhicules à essence: «Trop vite» en 2035, selon le caucus libéral
Nicolas Lachance
Mercredi, 30 octobre 2024 11:32
MISE À JOUR Mercredi, 30 octobre 2024 11:32
Surprise: les élus libéraux ne sont plus en faveur de la fin de la vente des véhicules thermiques en 2035. Ils estiment maintenant que le gouvernement Legault «va trop vite» en forçant les citoyens à changer leur comportement d’ici 10 ans.
Un sondage effectué par la firme Synopsis pour le compte de Cogeco Média indique que 54 % des gens sont en désaccord avec l'interdiction de la vente de véhicules neufs à essence à compter de 2035.
Le PLQ a plaidé ce matin à l’Assemblée nationale que le gouvernement Legault allait trop vite dans ce dossier.
«Je pense que oui, on va trop vite (...) avant d'avoir un objectif réaliste, il faut faire un état des lieux», a affirmé le porte-parole libéral en matière de Transports, Monsef Derraji, soutenant que oui, le virage a été entamé pour les voitures électriques, mais il craint le ralentissement actuel des investissements des constructeurs à l’échelle mondiale.
«Continuer à avoir un objectif qui est irréaliste, c'est vendre du vent aux gens. Ce qu'on dit aujourd'hui : Il faut être réaliste. Il y a des enjeux par rapport à la perception. Il y a le coût, il y a d'autres éléments à prendre en considération.»
En faveur au mois de septembre
Pourtant, pas plus tard qu’en septembre dernier, le PLQ a voté en faveur d’une motion soutenant que «l’Assemblée nationale appuie l'interdiction de la vente de véhicules passagers neufs à essence à partir de 2035» et «constate que plusieurs pays européens et États américains prévoient également une telle interdiction pour 2035.»
Les élus l’ont adopté à l’unanimité.
La formation politique a expliqué à notre Bureau parlementaire que la nouvelle position du parti relevait de son rôle d’opposition officielle.
«Notre mandat est de talonner le gouvernement . C’est ce que l’on fait. Comme tous les jours, nous répondons aux questions des journalistes. Ce matin, devant le désengagement de la CAQ envers l’électrification des transports, nous avons exprimé nos préoccupations sur le réalisme de la cible», a mentionné le porte-parole du chef du PLQ, Maxime Doyon.
Pas dogmatique
De son côté, le ministre de l’Environnement, Benoît Charette, a réitéré que son gouvernement n'était pas dogmatique et qu’il s’est engagé à faire un état des lieux en 2030.
Or, selon lui, «l’appétit» des Québécois pour les véhicules électriques est en croissance.
«On a, on a des chiffres qu'on va révéler pour le dernier trimestre qui démontrent qu'au contraire l'appétit pour les véhicules québécois est plus fort que jamais», a signalé le ministre. «Donc. C’est un peu défaitiste d'annoncer l'échec déjà de l'échéancier de 2035. Lorsque l'on a dit depuis le départ, on n'est pas dogmatique... Si avec les années, on se rend compte que le marché n'est pas prêt, on s'ajustera. Mais, il est certainement beaucoup trop tôt.»
La co-porte-parole de Québec solidaire, Ruba Ghazal dit comprendre les inquiétudes des gens en raison de l’offre actuelle et le prix des véhicules électriques. Elle estime toutefois que les choses seront réglées d’ici 10 ans.
«On ne repousse pas cette date-là (...) Il y a des actions que le gouvernement peut faire pour s'assurer de pouvoir en avoir plus. On a le temps, là, c'est dans 10 ans.» Les solidaires ont d’ailleurs tenu à lancer une flèche aux libéraux. «En environnement, les Libéraux arrivent à faire des miracles : être moins ambitieux que la CAQ», a déclaré Alejandra Zaga Mendez, ajoutant que «c’est déplorable».
Le porte-parole en matière d’Environnement, Joël Arseneau, estime que c’est la seule mesure concrète que le gouvernement Legault a mise en place pour réduire les émissions de gaz à effet de serre au Québec. «On ne peut pas, à ce stade-ci, 10 ans à l'avance, dire que cette mesure-là ne fonctionnera pas», a-t-il plaidé.
_______________________
Rien de neuf sous le capot de ce parti, les enveloppes brunes semblent donner ce genre de vire-capot pour les libéraux québécois.
Non mais quel changement de perception de leur part, ils ont été tous d'accord pour cette échéance de 2035 pour l'interdiction de la vente des véhicules à combustion ( à la gazoline et au diesel ). Qu'est-ce donc qui a fait changer leur position, serait-ce par le lobbying des constructeurs automobiles qui ne veut pas vraiment tout changer sur leur ligne de montage ou c'est tout simplement le lobbying des pétrolières qui a facilement la piastre comme référence ?
Dédé
Y en ont-tu des chars 100% électriques...
Y en ont-tu des chars 100% électriques... LE PM et Les ministres...Non
Incluant le PDG de Hydro-Fraude$
Et le Bozo Communisse de Pogo Solitaire qui se promène en AVION, l'autre en pick up, et en étobus au Diesel.. fake...
Ils donneront l'Exemple avant de donner des ordres...
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Y en ont-tu des chars 100% électriques...
Qu'ils soient électriques ou au gaz, ça ne vaut pas de la crisse de marde !
Ce ne sont plus des musclés de l'époque pour faire des donuts dans le stationnement des flics !
Farfaitement!
Qu'ils soient électriques ou au gaz, ça ne vaut pas de la crisse de marde !
Ce ne sont plus des musclés de l'époque pour faire des donuts dans le stationnement des flics !
Un parti vire-capot encore !
Source : Fin de la vente des véhicules à essence: «Trop vite» en 2035, selon le caucus libéral
Nicolas Lachance
Mercredi, 30 octobre 2024 11:32MISE À JOUR Mercredi, 30 octobre 2024 11:32
Surprise: les élus libéraux ne sont plus en faveur de la fin de la vente des véhicules thermiques en 2035. Ils estiment maintenant que le gouvernement Legault «va trop vite» en forçant les citoyens à changer leur comportement d’ici 10 ans.
Un sondage effectué par la firme Synopsis pour le compte de Cogeco Média indique que 54 % des gens sont en désaccord avec l'interdiction de la vente de véhicules neufs à essence à compter de 2035.
Le PLQ a plaidé ce matin à l’Assemblée nationale que le gouvernement Legault allait trop vite dans ce dossier.
«Je pense que oui, on va trop vite (...) avant d'avoir un objectif réaliste, il faut faire un état des lieux», a affirmé le porte-parole libéral en matière de Transports, Monsef Derraji, soutenant que oui, le virage a été entamé pour les voitures électriques, mais il craint le ralentissement actuel des investissements des constructeurs à l’échelle mondiale.
«Continuer à avoir un objectif qui est irréaliste, c'est vendre du vent aux gens. Ce qu'on dit aujourd'hui : Il faut être réaliste. Il y a des enjeux par rapport à la perception. Il y a le coût, il y a d'autres éléments à prendre en considération.»
En faveur au mois de septembre
Pourtant, pas plus tard qu’en septembre dernier, le PLQ a voté en faveur d’une motion soutenant que «l’Assemblée nationale appuie l'interdiction de la vente de véhicules passagers neufs à essence à partir de 2035» et «constate que plusieurs pays européens et États américains prévoient également une telle interdiction pour 2035.»
Les élus l’ont adopté à l’unanimité.
La formation politique a expliqué à notre Bureau parlementaire que la nouvelle position du parti relevait de son rôle d’opposition officielle.
«Notre mandat est de talonner le gouvernement . C’est ce que l’on fait. Comme tous les jours, nous répondons aux questions des journalistes. Ce matin, devant le désengagement de la CAQ envers l’électrification des transports, nous avons exprimé nos préoccupations sur le réalisme de la cible», a mentionné le porte-parole du chef du PLQ, Maxime Doyon.
Pas dogmatique
De son côté, le ministre de l’Environnement, Benoît Charette, a réitéré que son gouvernement n'était pas dogmatique et qu’il s’est engagé à faire un état des lieux en 2030.
Or, selon lui, «l’appétit» des Québécois pour les véhicules électriques est en croissance.
«On a, on a des chiffres qu'on va révéler pour le dernier trimestre qui démontrent qu'au contraire l'appétit pour les véhicules québécois est plus fort que jamais», a signalé le ministre. «Donc. C’est un peu défaitiste d'annoncer l'échec déjà de l'échéancier de 2035. Lorsque l'on a dit depuis le départ, on n'est pas dogmatique... Si avec les années, on se rend compte que le marché n'est pas prêt, on s'ajustera. Mais, il est certainement beaucoup trop tôt.»
La co-porte-parole de Québec solidaire, Ruba Ghazal dit comprendre les inquiétudes des gens en raison de l’offre actuelle et le prix des véhicules électriques. Elle estime toutefois que les choses seront réglées d’ici 10 ans.
«On ne repousse pas cette date-là (...) Il y a des actions que le gouvernement peut faire pour s'assurer de pouvoir en avoir plus. On a le temps, là, c'est dans 10 ans.» Les solidaires ont d’ailleurs tenu à lancer une flèche aux libéraux. «En environnement, les Libéraux arrivent à faire des miracles : être moins ambitieux que la CAQ», a déclaré Alejandra Zaga Mendez, ajoutant que «c’est déplorable».
Le porte-parole en matière d’Environnement, Joël Arseneau, estime que c’est la seule mesure concrète que le gouvernement Legault a mise en place pour réduire les émissions de gaz à effet de serre au Québec. «On ne peut pas, à ce stade-ci, 10 ans à l'avance, dire que cette mesure-là ne fonctionnera pas», a-t-il plaidé.
_______________________Rien de neuf sous le capot de ce parti, les enveloppes brunes semblent donner ce genre de vire-capot pour les libéraux québécois.
Non mais quel changement de perception de leur part, ils ont été tous d'accord pour cette échéance de 2035 pour l'interdiction de la vente des véhicules à combustion ( à la gazoline et au diesel ). Qu'est-ce donc qui a fait changer leur position, serait-ce par le lobbying des constructeurs automobiles qui ne veut pas vraiment tout changer sur leur ligne de montage ou c'est tout simplement le lobbying des pétrolières qui a facilement la piastre comme référence ?
Dédé
Le PLQ a besoin de sous donc les pétrolières ont tendu les enveloppes brunes.
Y en ont-tu des chars 100% électriques...
Qu'ils soient électriques ou au gaz, ça ne vaut pas de la crisse de marde !
Ce ne sont plus des musclés de l'époque pour faire des donuts dans le stationnement des flics !
Le problème, c'est que le gaz n'est le prix de l'époque.
Un parti vire-capot encore !
Rien de neuf sous le capot de ce parti, les enveloppes brunes semblent donner ce genre de vire-capot pour les libéraux québécois.
Non mais quel changement de perception de leur part, ils ont été tous d'accord pour cette échéance de 2035 pour l'interdiction de la vente des véhicules à combustion ( à la gazoline et au diesel ). Qu'est-ce donc qui a fait changer leur position, serait-ce par le lobbying des constructeurs automobiles qui ne veut pas vraiment tout changer sur leur ligne de montage ou c'est tout simplement le lobbying des pétrolières qui a facilement la piastre comme référence ?
Dédé
Le PLQ a besoin de sous donc les pétrolières ont tendu les enveloppes brunes.
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C'est bien que je pensais barnack !
Y en ont-tu des chars 100% électriques...
Qu'ils soient électriques ou au gaz, ça ne vaut pas de la crisse de marde !
Ce ne sont plus des musclés de l'époque pour faire des donuts dans le stationnement des flics !
Le problème, c'est que le gaz n'est le prix de l'époque.
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En effet, les voleurs sont toujours des voleurs.