LE Pdg de Norvole démissionne... (Forum)

par Jéromec, mardi 19 novembre 2024, 20:23 (il y a 1 jour, 8 heures, 46 minutes)

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Tout un Super Boulot$ pour le $uperMini$$e..

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Québec et Ottawa mettent 325 M$ de plus dans la filière batt

par Jéromec, mardi 19 novembre 2024, 20:26 (il y a 1 jour, 8 heures, 42 minutes) @ Jéromec

Norvole bientôt en faillite, Lion Électrique aussi...


https://www.journaldequebec.com/2024/11/18/quebec-et-ottawa-mettent-325-millions--de-pl...

Québec et Ottawa mettent 325 M$ de plus dans la filière batterie


Gabriel Côté

Lundi, 18 novembre 2024 13:06

MISE À JOUR Lundi, 18 novembre 2024 13:06

Québec et Ottawa injectent 325 M$ de plus dans la filière batterie, cette fois pour aider les infrastructures portuaires de Bécancour à répondre aux besoins de ce marché «nouveau et émergent».

Le sourire aux lèvres, les représentants des deux paliers de gouvernement ont annoncé lundi un investissement total de 327,6 M$ pour un projet au parc industriel et portuaire de Bécancour.

Québec et Ottawa coupent la poire en deux parties égales, chacun s’étant engagé à mettre une somme de 163,8 M$ dans cette initiative.

Ces montants serviront entre autres à la réfection et l’agrandissement des infrastructures portuaires ainsi que l’ajout de capacité d’entreposage, dans l’objectif d’«améliorer l’accès portuaire et la fluidité dans le parc industriel riverain de Bécancour».

Photo tirée de X, CHRISTINE FRÉCHETTE

«Ces améliorations permettront de réduire la congestion, d’optimiser l’espace d’entreposage et de diversifier les activités du parc. Elles permettront également au site de répondre aux besoins des marchés nouveaux et émergents, notamment celui des batteries», peut-on lire dans un communiqué de presse.

«Cet investissement stratégique soutiendra la croissance de l’économie verte, tout en créant des emplois de qualité en Mauricie et ailleurs», s’est enthousiasmé le ministre fédéral de l’Innovation, de la Science et de l’Industrie, François-Philippe Champagne.

Dans un message publié sur X, la ministre québécoise de l’Économie, Christine Fréchette, a quant à elle soutenu qu’une «meilleure accessibilité au port va permettre d’attirer encore plus de joueurs ici», en insistant sur le fait que «Bécancour est le cœur de la filière batterie».

Mais en attendant l’arrivée de ces nouveaux joueurs, Québec devra aussi s’assurer de ne pas perdre ceux qui sont déjà sur place, comme le constructeur automobile américain Ford, qui a décidé récemment de ne pas participer à un projet de plus d’un milliard de dollars prévoyant la construction de matériaux de batteries à Bécancour.

la Deuxième Vie de Fit$quibumme$

par Jéromec, mercredi 20 novembre 2024, 08:04 (il y a 21 heures, 5 minutes) @ Jéromec

Quand tu sors les vidanges par la fenêtre et qu'un containeur de poubelle est livrée par la suite...
DU Lobby$$$me$ bien intègre bien sûr, pour NOTRE bien$ Tout notre bien$
indécrottable Kaq, il est 8h04
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Avatar

la Deuxième Vie de Fit$quibumme$

par Dédé, mercredi 20 novembre 2024, 08:35 (il y a 20 heures, 34 minutes) @ Jéromec

Tout le monde a droit à une deuxième chance ! :D

Jamais deux sans trois...

par Jéromec, mercredi 20 novembre 2024, 12:16 (il y a 16 heures, 52 minutes) @ Dédé

Tout le monde a droit à une deuxième chance ! :D

Bien sûr,
une troisième chance également...
Le Gros Rouleau de la CAisse de Dépôt a perdu 40 milliard$ et il a eut une promo à PAri$ fake..

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Laissons la chance au Cross... oups coureur$

Dossier Northvole: «François Legault subit le supplice de la

par Jéromec, mercredi 20 novembre 2024, 18:17 (il y a 10 heures, 52 minutes) @ Jéromec

Dillapider des centaines de millions, offrir des blocs électriques à prix d'ami$, éviter les études environnementale et finalement.. le WaterKaq

https://www.985fm.ca/audio/661466/dossier-northvolt-francois-legault-subit-le-supplice-...


Difficultés de Northvolt
Dossier Northvolt: «François Legault subit le supplice de la goutte d'eau!»

Publié le 20 novembre 2024 par 98.5
0:00
10:19

Entendu dans
Le Québec maintenant

le 20 novembre 2024 17:36

Avec
Philippe Cantin
Philippe Cantin
Nathalie Normandeau
Nathalie Normandeau
Dossier Northvolt: «François Legault subit le supplice de la goutte d'eau!»
L'éditorial de Nathalie Normandeau / Cogeco Média

Dans le cadre de sa chronique à l'émission Le Québec maintenant, Nathalie Normandeau aborde plusieurs sujets politiques qui ont retenu l'attention dans les derniers jours.

Il est notamment question du premier ministre François Legault qui est talonné par les partis d'opposition en lien avec le dossier de l'entreprise suédoise Northvolt qui connaît des difficultés.

«François Legault subit le supplice de la goutte d'eau dans le dossier de Northvolt. Ça fait deux jours que les partis d'opposition le talonnent pour savoir quelle est la vérité dans le dossier. Est-ce que le premier ministre pense que Northvolt s'en va vers la faillite? Il y a une stratégie des partis d'opposition dans ce genre de questions répétées jour après jour. L'objectif est de talonner le premier ministre de façon telle qu'à un moment donné, il va flancher. [...] On a senti aujourd'hui que le premier ministre marche sur des oeufs dans ce dossier-là.»

Nathalie Normandeau

Nathalie Normandeau revient également sur les tensions au sein de Québec solidaire en lien avec la saga Haroun Bouazzi et le conflit entre les optométristes et le ministre de la Santé, Christian Dubé.

Northvol se prépare à se protéger de ses créanciers

par Jéromec, mercredi 20 novembre 2024, 18:19 (il y a 10 heures, 50 minutes) @ Jéromec

et voilà, un autre Fiaskaq, couper dans les écoles et aux PME pour tenter l'aventure d'Un éléphant Ikéa, un autre flop signé Kaq...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2121269/northvolt-quebec-ottawa-usine-batterie

Northvolt se prépare à se protéger de ses créanciers


Northvolt se prépare à se protéger de ses créanciers

Une décision sera annoncée sous peu selon laquelle l'entreprise aura recours au chapitre 11 de la loi américaine sur les faillites.
Peter Mikael Carlsson.

Peter Carlsson vient de laisser sa place de PDG de l’usine suédoise de Northvolt à un expert en restructuration.

Publié à 14 h 50 HNE
Mis à jour à 16 h 49 HNE
Écouter l’article | 8 minutes
La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.

Le fabricant suédois de batteries Northvolt se prépare à invoquer le chapitre 11 de la loi sur les faillites des États-Unis afin de se protéger de ses créanciers, tout en gardant le contrôle de ses activités, a appris Radio-Canada. La décision, attendue dans les jours à venir, ne devrait pas remettre en question la poursuite du projet au Québec, selon les gouvernements.

Dans les derniers jours, des médias suédois et l’agence de presse Reuters ont rapporté que des discussions avaient lieu à l'interne sur un recours au chapitre 11. Le Financial Times évoquait même la possibilité d’une faillite pure et simple en vertu du chapitre 7 de cette loi, avec liquidation d’actifs, mais cette possibilité est écartée, selon nos informations.

Radio-Canada a pu obtenir la confirmation que Northvolt AB, la maison mère de l’entreprise, n’a pas encore réussi à conclure son appel de financement à court terme de 415 millions de dollars qui lui permettrait de régler ses problèmes de liquidité jusqu’au début de l’année 2025.
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Northvolt ne nie pas qu'elle se prépare à avoir recours au chapitre 11, mais ne le confirme pas non plus.
AILLEURS SUR INFO : Données de Desjardins toujours en circulation sur le web : un jeune de 18 ans arrêté

Sa porte-parole pour l’Amérique du Nord, Emmanuelle Rouillard-Moreau, a répondu à Radio-Canada que "les négociations entourant le financement se poursuivent" et que l’entreprise demeure "en contact étroit avec [ses] investisseurs et principaux partenaires et l'issue de ces discussions sera communiquée lorsque des décisions auront été prises."

Le premier ministre François Legault a évoqué, mardi, "des informations" à venir, "dans les prochaines heures".
Francois Legault parle dans deux micros, devant des drapeaux du Québec.

Le premier ministre François Legault a été interpellé mercredi par une journaliste au sujet de Northvolt. (Photo d'archives)

Photo : La Presse canadienne / Jacques Boissinot

En début de semaine, Northvolt a nommé Paul O'Donnell, expert en restructuration, à la présidence du conseil d’administration de l’usine suédoise. Celui-ci a pris la place du PDG Peter Carlsson, qui demeure dans l’organisation.
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Le chapitre 11 permet une réorganisation financière

Avec le chapitre 11 du Code de la faillite des États-Unis, l’entreprise en difficulté peut réorganiser ses finances et restructurer ses dettes sans liquider ses actifs.

Elle peut aussi poursuivre ses activités sans qu'un syndic de faillite intervienne dans la prise de décisions et sans que les créanciers puissent exiger un recouvrement ou une saisie. Le plan de restructuration sera soumis au vote des créanciers.

C’est l’existence d’une filiale de la compagnie en Amérique du Nord qui permet à Northvolt d’utiliser la loi américaine, jugée plus clémente avec les entreprises.

Selon Pierre Fortin, président de Jean Fortin et associés, syndic autorisé en insolvabilité, Northvolt va devoir suivre une procédure "dans chaque pays où elle est située", mais il ajoute que "souvent, le tout est chapeauté par un chef d’orchestre qui coordonne les différentes procédures judiciaires dans les différents pays, ça permet d’avoir une certaine cohésion".

La grande question, c’est qu’est-ce qui va arriver des investissements que le gouvernement québécois a fait en Suède et également, qu'est-ce qui va arriver avec le projet ici, québécois.
Une citation de Pierre Fortin, président de Jean Fortin et associés

Investissement Québec a déjà injecté 510 millions de dollars dans Northvolt, pour le compte du gouvernement Legault, et la Caisse de dépôt et placement, 200 millions.

Le Québec se trouverait donc sur la liste des créanciers avec les grands prêteurs de Northvolt que sont Volkswagen, Goldman Sachs et plusieurs autres.

"[Le gouvernement Legault] ne peut pas faire grand-chose sur l'argent déjà investi, mais pourrait décider de ne pas honorer les subventions promises", dit Pierre Fortin.

Québec a promis une aide de 1,37 milliard pour la construction de l’usine et des subventions de 1,5 milliard pour la production de batteries.

De son côté, Ottawa a promis 1,37 milliard pour la construction et 3,1 milliards pour la production, mais le fédéral n’a pas encore déboursé un seul dollar.

En Suède, le gouvernement a refusé de venir au secours de Northvolt ou de devenir actionnaire de l'entreprise.

Le gouvernement Legault a déjà dit que le terrain, acheté 240 millions de dollars, lui reviendrait en cas d’abandon du projet.

À Ottawa, le ministre fédéral de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, François-Philippe Champagne, a dit, mercredi, qu’il "demeure confiant", mais "prudent". Il a communiqué avec Northvolt pour avoir l’heure juste : "Ce que je comprends, c’est que le projet au Québec continue et oui, il y a des discussions en Europe."
François-Philippe Champagne.

Le ministre fédéral de l'Industrie, François-Philippe Champagne (Photo d'archives)

Photo : La Presse canadienne / Sean Kilpatrick

Ce qui se passe en Europe, c'est une chose. Ce qui se passe en Amérique du Nord, c'est une autre chose. [...] Ils ont les liquidités pour aller de l’avant avec le projet, présentement, au Québec.
Une citation de François-Philippe Champagne, ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie du Canada

À Québec, la ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, Christine Fréchette, a déclaré, mercredi, "nous sommes très attentifs à ce qu'il se passe", tout en assurant que "le projet prévu au Québec reste entier" et "demeure une priorité pour Northvolt et pour nous".

Le premier ministre François Legault a été plus évasif. Questionné à plusieurs reprises à l’Assemblée nationale, il n’a pas voulu dire s’il croyait encore au projet de Northvolt, rappelant qu’il attendait des renseignements.

Le chef de l’opposition officielle, Marc Tanguay, s’est emparé de la situation, en disant que le premier ministre n’est "pas capable de nous confirmer qu'il y croit toujours".

Il y a un an, c'était le Klondike, on allait être riches avec Northvolt. Et là, aujourd'hui, il n'est même pas capable de rassurer les Québécoises et Québécois, qui ont déjà mis 710 millions.
Une citation de Marc Tanguay, chef du Parti libéral du Québec

François Legault a répondu que l’investissement dans la compagnie suédoise avait été "un risque calculé" et que "l'important, c'est la moyenne au bâton". Il a aussi affirmé que "jamais l'économie du Québec n'a aussi bien performé depuis 20 ans que maintenant".

Le premier ministre et Christine Fréchette ont, tour à tour, fait la liste des "bons coups" dans les investissements du gouvernement et Northvolt ne se trouvait pas dans la liste.
Des nouvelles attendues du projet québécois

D’ici la fin de l’automne, Northvolt Amérique du Nord doit faire connaître son plan de restructuration du projet à McMasterville et à Saint-Basile-le-Grand, qui serait retardé d’au moins un an.
Paolo Cerruti, portant un casque de protection et un manteau jaune avec le logo de Northvolt, devant des troncs d'arbres coupés sur le chantier de l'usine.

Le PDG de l'entreprise Northvolt pour l'Amérique du Nord, Paolo Cerruti (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

Dans le cadre de l’appel au financement à court terme de Northvolt AB, la banque d’investissement Goldman Sachs consentait à réinjecter plus d’argent, mais à la condition d’obtenir des garanties sur les filiales, dont celle du Québec. Le gouvernement Legault a envisagé dans un premier temps de l’accepter, avant de fermer la porte après que l’information soit devenue publique.

Aux dernières nouvelles, Northvolt AB prévoyait lancer une autre demande de financement, encore plus ambitieuse, en 2025, pour pallier à plus long terme son manque de liquidités.

Même si l'entreprise suédoise a signé des contrats de commandes de batteries pour des dizaines de milliards de dollars, elle peine à produire au rythme espéré. Son usine suédoise est très loin d'atteindre son plein rendement, ce qui limite les ventes et donc les entrées d’argent.

La compagnie a déjà reconnu que sa stratégie de développement avait été un peu trop dynamique et que la compagnie avait lancé trop de projets d’usines en même temps.

Le mois dernier, l’entreprise a supprimé 1600 emplois et recentré ses activités autour de la production de batteries pour assurer la réussite de son plan de sauvetage.

Avec la collaboration de Aude Garachon et de Louis Blouin.

MENACE DE METTRE NORTHVOLT EN FAILLITE :

par Jéromec, mercredi 20 novembre 2024, 18:28 (il y a 10 heures, 41 minutes) @ Jéromec

bravo pour les coupes dans les écoles, ça valait vraiment la peine...

:bravo:
https://www.breakit.se/artikel/41792/hotar-satta-northvolt-i-konkurs-har-inte-fatt-beta...
MENACE DE METTRE NORTHVOLT EN FAILLITE : « ON N’A PAS ÉTÉ PAYÉ DU TOUT »

(BREAKIT, Suède) - Jusqu’à 200 propriétaires de petites entreprises sont dans une situation difficile en raison de la crise financière de Northvolt.

Aujourd’hui, une société de conseil envisage des mesures drastiques – déposer le bilan de la société de batteries.

La société de conseil a été forcée de quitter Northvolt en raison des importantes compressions budgétaires de la société de batteries l’automne dernier. Depuis, les dettes impayées se sont accumulées et la situation est devenue désespérée. C’est ce que rapporte le journal local Norran.

« Au cours des trois derniers mois, nous n’avons pas été payés du tout. Ni pour le délai de préavis, qui est de deux semaines. Après tout le travail que nous avons fourni, c’est comme ça que ça se passera", a déclaré le consultant au journal.

Le consultant, qui parle sous couvert d’anonymat, dit que c’est une somme qui est une goutte d’eau dans l’océan pour Northvolt mais beaucoup d’argent pour l’entreprise.

Ils ne sont pas seuls. Jusqu’à 200 petites entreprises sont actuellement dans la même situation, selon Norran.

« S’ils ne paient pas, nous irons au tribunal et leur demanderons le bilan », a déclaré un entrepreneur consultant au journal.

Demander à un autre acteur de déclarer faillite peut se faire en se référant au fait que l’entreprise est insolvable et qu’elle n’est pas en mesure de rembourser ses dettes.

Matti Kataja, responsable de la communication de Northvolt, a déclaré que l’entreprise était triste de la façon dont d’autres entreprises étaient touchées et que la société de batteries travaillait dur pour obtenir de nouveaux financements.

La survie de nombreuses entreprises dépend d’un fil fragile autour de Northvolt. Il y a aussi ceux qui ont déjà été contraints de jeter l’éponge. Breakit a déjà écrit sur Vakanta, qui a finalement été fissuré par la crise de Northvolt. L’entreprise à croissance rapide a fait faillite en octobre.

Projet de loi pour des véhicules lourds zéro émission

par Jéromec, mercredi 20 novembre 2024, 18:36 (il y a 10 heures, 33 minutes) @ Jéromec

à court de clients aux États-Unis, la Kaq va =t-elle forcer les kâmions lourd d'être électriques... très pratique en hivers pour franchir de longues distances lourdement chargé et transverser le superbe nouveau 3ième liens..
lâche pas la patate mon champion...

https://www.lemanic.ca/2024/11/20/projet-de-loi-pour-des-vehicules-lourds-zero-emission/

Projet de loi pour des véhicules lourds zéro émission

Pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) du Québec, le gouvernement Legault s’attaque aux camions lourds.

Le ministre de l’Environnement, Benoit Charette, a déposé, mercredi, un projet de loi pour obliger les constructeurs à vendre des véhicules lourds zéro émission, à l’instar de ce qui existe déjà pour les manufacturiers de véhicules automobiles.

Les autobus et les minibus ne sont pas visés par ce projet de loi

Lion Électrique envisage sa mise en vente

par Jéromec, mercredi 20 novembre 2024, 18:45 (il y a 10 heures, 24 minutes) @ Jéromec

J'adore quand la KAQ pige dans mes poches pour investir, je me sens plu$$e riche$

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2120759/lion-electrique-vente-envisagee-pertes

Lion Électrique envisage sa mise en vente en raison de problèmes de trésorerie

La Presse canadienne
Publié le 18 novembre à 14 h 20 HNE

Lion Électrique ouvre la porte à une éventuelle vente de l'entreprise alors que le fabricant québécois d'autobus électriques lutte pour endiguer une perte de trésorerie en cours.

Dans une déclaration publiée lundi, le fabricant de Saint-Jérôme a indiqué qu'il envisageait diverses sources de financement ainsi que des solutions qui "pourraient inclure la vente de l'entreprise".

Lion Électrique avait précédemment suggéré que les ventes d'actifs étaient une option alors qu'il s'efforçait de réduire les coûts et de trouver de nouveaux financements, mais il n'avait fait aucune mention de la vente pure et simple de l'entreprise.
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Le fabricant affirme que divers prêteurs, dont la Banque Nationale et la Banque de Montréal, ont accepté une prolongation de deux semaines du délai de grâce, soit jusqu'au 30 novembre, sur un accord de crédit.
AILLEURS SUR INFO : Voyez l’Assemblée publique annuelle de CBC/Radio-Canada

Lion Électrique a annoncé des pertes dépassant 131 millions de dollars au cours des quatre derniers trimestres et au moins 520 licenciements jusqu'à présent cette année, soit plus de 40 % de ses effectifs. Les actions de la société ont chuté de 5 % à 46 cents lundi à la mi-journée, bien en deçà de ses sommets dépassant les 24 $ au milieu de l'année 2021.

La SAQ renvoie encore son camion électrique chez Lion

par Jéromec, mercredi 20 novembre 2024, 18:46 (il y a 10 heures, 23 minutes) @ Jéromec

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2094625/camion-lion-fiabilite-saq-probleme-electrique

La SAQ renvoie encore son camion électrique chez Lion

La société d'État l'avait renvoyé une première fois en 2023 pour des problèmes d'autonomie, notamment.
Le camion électrique Lion8 présenté aux médias, le 11 mars 2019.

Le camion électrique Lion8 présenté aux médias, le 11 mars 2019.

Photo : Radio-Canada
Radio-Canada
Publié le 6 août à 21 h 10 HNE
Écouter l’article | 3 minutes
La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.

Le camion électrique Lion acheté en 2019 par la Société des alcools du Québec (SAQ) fait encore des siennes. Après l’avoir retourné une première fois au constructeur en 2023, la SAQ l’a renvoyé à Lion Électrique et, cette fois, il y restera « jusqu’à ce qu’un modèle puisse répondre à [ses] besoins », a appris Radio-Canada.

"Des tests sont actuellement en cours et, lorsque l’évaluation sera convaincante et répondra à nos exigences, Lion nous avisera", a déclaré la SAQ.

La société d’État a été le tout premier client de Lion Électrique pour son camion Lion8, présenté en grande pompe en mars 2019 par des représentants de l’entreprise et des politiciens. Le camion de 10 roues lui avait coûté 440 000 $ et avait bénéficié d’une subvention fédérale de 100 000 $.
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"On est les premiers", s'était vantée la directrice de la distribution de la SAQ, Edith Walcott, devant le camion bleu et blanc qui devait s'avérer bien en deçà des attentes.
AILLEURS SUR INFO : Voyez l’Assemblée publique annuelle de CBC/Radio-Canada

Le véhicule est finalement arrivé en février 2023, trois ans et demi plus tard que prévu. Dès les premiers kilomètres parcourus, la SAQ a rapidement renvoyé le camion 100 % électrique chez le constructeur de Saint-Jérôme, avait alors révélé Radio-Canada.

Des inspecteurs l’avaient déclaré "impropre à la conduite" en raison de problèmes de batterie, notamment. Alors qu’elle était censée parcourir jusqu’à 400 km avec ce camion, la SAQ parvenait plutôt à en faire 150.

"Nous avons effectué les changements demandés par la SAQ après la réception du véhicule", avait assuré le vice-président aux camions et aux affaires publiques de Lion, Patrick Gervais.

"Ce sont des procédures qui arrivent fréquemment dans notre industrie", justifiait-il, assurant qu'"il y a eu des évolutions de technologie depuis la première commande".
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Malgré ces déboires, la SAQ a assuré qu'elle poursuivait sa collaboration avec Lion.
De sérieux ennuis

Lion Électrique a fait son entrée sur le marché des véhicules électriques avec ses autobus scolaires, reconnaissables à leurs pare-chocs bleus. Ces véhicules manquent aussi de fiabilité, ont déploré des chauffeurs.
Des autobus scolaires électriques.

Des chauffeurs de l’Île-du-Prince-Édouard ont noté d'importants problèmes de fiabilité des autobus scolaires électriques. (Photo d'archives)

Photo : Gracieuseté : Lion Électrique

À la fin du mois de juillet, Lion Électrique a réduit ses effectifs pour une troisième fois en 2024, sabrant cette fois 30 % de sa main-d’œuvre au Canada et aux États-Unis. Environ 300 emplois dans tous les secteurs de l’organisation ont été touchés par les compressions.

À la fin du deuxième trimestre de 2024, la perte nette de l’entreprise de Saint-Jérôme s’élevait à 19,3 millions de dollars américains. Au premier trimestre, Lion a subi une perte de 21,7 millions de dollars américains.

L'entreprise estime qu'elle pourrait réaliser des économies de coûts annualisées de jusqu'à 25 millions de dollars grâce aux licenciements.

Avec les informations de Thomas Gerbet et de La Presse Canadienne

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