Pensées sans mesures ! (Forum)

par Dédé, mercredi 27 novembre 2024, 23:50 (il y a 2 heures, 55 minutes)

4 Non Blondes - What's Up ?
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C'est très difficile de se retrouver devant les difficultés du quotidien surtout lorsque la maladie nous attrape comme si le destin lance son filet pour nous empêcher d'avancer et à avoir une continuité de bonheur, du moins en avoir l'impression. À la retraite, la solitude devient un peu plus pesante et si je ne cherche pas quelque chose pour me désennuyer, je me retrouve facilement à me parler solide pour me placer les yeux devant les trous. Étant un pensif et un contemplatif, ce n'est vraiment pas long que je me retrouve en jonglerie de pensées avec des ressentiments que nous vivons avec d'énormes lacunes existentielles concernant les conditions humaines.

Que voulez-vous disait le ministre Crétin, j'ai tout le temps devant moi, je les vois ces lacunes, surtout que le Pantin en rajoute une couche en octroyant des sous à des gens qui ont un salaire de 150,000$ et moins par année et zéro cent pour toutes et tous les retraité.e.s. En plus ce même Pantin, a créé un précédent en envoyant sa zizanie sur les personnes âgées, en octroyant 73.77$ par mois de plus pour les gens âgés de 75 ans et plus. Du mépris pur et simple considérant que ce crisse de crotté aura droit à la totale lorsqu'il aura droit à son tour ses 65 ans, une pleine pension salariale qui pourrait faire vivre 3 familles sur son bras !

Néanmoins, je dois me considéré chanceux de vivre au Québec, parce que c'est loin d'être rose par l'iniquité sociétale que vivent certains pays pauvres qui sont aux prisent d'idéologies oppressantes et la tyrannie des chefs babouins. C'est bien beau se dire qu'ils s'arrangent avec ce qu'ils ont, il n'en demeure pas moins que les conditions humaines ont un prix, sans sou ou peu de sou, bât toi ou crève.

Et ça projette de vivre sur Mars !

Un jour, ou peut-être jamais finalement, que les conditions humaines seront la priorité plutôt se battre comme des babouins au plus fort la poche. J'ai ce droit de le penser !

Dédé