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Un crotté coucou et ses acolytes avec une sentence bonbon ! (Forum)

par Dédé, mercredi 26 mars 2025, 20:55 (il y a 13 jours)

Source : 12 mois pour un «shérif constitutionnel» coupable d’entrave et de harcèlement contre des employés du ministère de la Justice

Le leader complotiste Daniel Pagé a assuré au juge qu’une opération militaire de «patriotes américains» allait le libérer «des griffes de la cour»

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Le soi-disant chef de la «Garde nationale du Québec», Daniel Pagé, a été condamné à 12 mois de détention mercredi pour avoir harcelé des employés du ministère de la Justice à qui il a tenté d’imposer l’autorité bidon de son organisation en leur envoyant des «injonctions militaires».

Le procès de Daniel Pagé s’est ouvert lundi au palais de justice d’Alma et le juge Pierre Simard n’a pas tardé avant de trancher l’affaire.

Le leader complotiste a été reconnu coupable de harcèlement, d’entrave à la justice et de non-respect des conditions de probation mercredi matin.

Alors qu’il était sous le coup d’une probation après avoir purgé une peine pour s’être fait passer pour un faux policier, Pagé a contrevenu à la condition lui interdisant l’envoi de documents l’identifiant comme membre de la «Garde nationale du Québec» ou des «Shérifs constitutionnels».

En décembre dernier, cherchant à faire libérer une femme de son organisation accusée de contrebande d’un médicament faussement décrit comme pouvant guérir la COVID-19, l’homme de 60 ans a fait parvenir au greffe du palais de justice d’Alma une «injonction militaire». Au surplus, l’individu les a harcelés, leur faisant craindre pour leur sécurité.

Groupuscules qui se multiplient

Me François Bourgeois réclamait l’imposition d’une peine de deux ans moins un jour pour l’homme de 60 ans. Le procureur de la Couronne au dossier souhaitait que le tribunal fasse passer un message clair à la société «devant la recrudescence de ce genre de comportement».

«C’est déjà assez difficile de recruter, les gens qui viennent travailler de bonne foi pour le système de justice du Québec ne devraient pas avoir à vivre avec ce genre de groupuscules qui se multiplient actuellement», a souligné le représentant du ministère public.

Lors de son enquête sur remise en liberté, Daniel Pagé, qui se fait aussi parfois appeler «Gaumond», avait annoncé qu’il ne se soumettrait à aucune condition, disant «être en devoir» face à des «crimes contre l’humanité».

Habitués des tribunaux

Pagé et ses acolytes de la «Garde nationale du Québec» n’en sont pas à leur premier passage devant les tribunaux, dont ils ne reconnaissent pas l’autorité. En 2023, des membres du groupe s’étaient introduits au palais de justice de Rimouski pour y perturber un procès en réclamant bruyamment l’arrestation d’une juge de la Cour supérieure.

Lire la suite de l'article et voir les autres faces de pet sauce avec leur sentence bonbon reçue à la source
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Steve Wonder - Superstition
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La couronne a quasiment mendier de donner plus au coupable pour décourager les autres coucous qui ne font que de la marde. Il me semble qu'elle n'a pas trop demandé et que c'était dans l'ordre des choses d'inculper ce crotté dretteux et de trumptarte à marde, d'une sentence exemplaire. Crisse yé chanceux en tabarnack que je ne sois pas juge le crisse de crotté. :D

Je suis déçu de la justice des tapes sur les doigts, parce que c'est un récidiviste psychopathe à 4 pattes sti ! :boss:

Il faut faire avec mettons. :conteste:

Dédé

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Un crotté coucou et ses acolytes avec une sentence bonbon !

par Blake, jeudi 27 mars 2025, 01:01 (il y a 13 jours) @ Dédé

Source : 12 mois pour un «shérif constitutionnel» coupable d’entrave et de harcèlement contre des employés du ministère de la Justice

Le leader complotiste Daniel Pagé a assuré au juge qu’une opération militaire de «patriotes américains» allait le libérer «des griffes de la cour»

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Le soi-disant chef de la «Garde nationale du Québec», Daniel Pagé, a été condamné à 12 mois de détention mercredi pour avoir harcelé des employés du ministère de la Justice à qui il a tenté d’imposer l’autorité bidon de son organisation en leur envoyant des «injonctions militaires».

Le procès de Daniel Pagé s’est ouvert lundi au palais de justice d’Alma et le juge Pierre Simard n’a pas tardé avant de trancher l’affaire.

Le leader complotiste a été reconnu coupable de harcèlement, d’entrave à la justice et de non-respect des conditions de probation mercredi matin.

Alors qu’il était sous le coup d’une probation après avoir purgé une peine pour s’être fait passer pour un faux policier, Pagé a contrevenu à la condition lui interdisant l’envoi de documents l’identifiant comme membre de la «Garde nationale du Québec» ou des «Shérifs constitutionnels».

En décembre dernier, cherchant à faire libérer une femme de son organisation accusée de contrebande d’un médicament faussement décrit comme pouvant guérir la COVID-19, l’homme de 60 ans a fait parvenir au greffe du palais de justice d’Alma une «injonction militaire». Au surplus, l’individu les a harcelés, leur faisant craindre pour leur sécurité.

Groupuscules qui se multiplient

Me François Bourgeois réclamait l’imposition d’une peine de deux ans moins un jour pour l’homme de 60 ans. Le procureur de la Couronne au dossier souhaitait que le tribunal fasse passer un message clair à la société «devant la recrudescence de ce genre de comportement».

«C’est déjà assez difficile de recruter, les gens qui viennent travailler de bonne foi pour le système de justice du Québec ne devraient pas avoir à vivre avec ce genre de groupuscules qui se multiplient actuellement», a souligné le représentant du ministère public.

Lors de son enquête sur remise en liberté, Daniel Pagé, qui se fait aussi parfois appeler «Gaumond», avait annoncé qu’il ne se soumettrait à aucune condition, disant «être en devoir» face à des «crimes contre l’humanité».

Habitués des tribunaux

Pagé et ses acolytes de la «Garde nationale du Québec» n’en sont pas à leur premier passage devant les tribunaux, dont ils ne reconnaissent pas l’autorité. En 2023, des membres du groupe s’étaient introduits au palais de justice de Rimouski pour y perturber un procès en réclamant bruyamment l’arrestation d’une juge de la Cour supérieure.

Lire la suite de l'article et voir les autres faces de pet sauce avec leur sentence bonbon reçue à la source
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Steve Wonder - Superstition
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La couronne a quasiment mendier de donner plus au coupable pour décourager les autres coucous qui ne font que de la marde. Il me semble qu'elle n'a pas trop demandé et que c'était dans l'ordre des choses d'inculper ce crotté dretteux et de trumptarte à marde, d'une sentence exemplaire. Crisse yé chanceux en tabarnack que je ne sois pas juge le crisse de crotté. :D

Je suis déçu de la justice des tapes sur les doigts, parce que c'est un récidiviste psychopathe à 4 pattes sti ! :boss:

Il faut faire avec mettons. :conteste:

Dédé

Pas de sens. Tu parles d'une autre sentence bonbon.

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