Ce qui est difficile à comprendre, c'est la raison pour laquelle National Geo en français remet dans l'actualité cette affaire avec un article incroyablement pas à jour avec l'ensemble des données qui sont désormais publiques!

Mais avec ce magazine, rien n'étonne. On se souvient de leur campagne au sujet de l'Évangile de Judas et de leur version complètement à contresens, disant l'exact contraire du contenu du document en question, du numéro spécial du magazine, de leurs livres, dont une version pour le grand public qui dit une chose et une version destinées aux savants qui dit le contraire!

Plusieurs pense que National Geo est un magazine scientifique et philanthropique, mais ce n'est pas le cas. Il s'agit d'un magazine commercial. Ce n'est pas un mal en soi, il suffit de le savoir.

Mais encore une fois cette publication me déçoit, et quel manque de rigueur!

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Lorsque je n'ai pas une source fiable, je m'abstiens de répliquer tout en surveillant un débat s'il y a lieu. J'aurais beau avoir le meilleur discernement possible pour décortiquer le vrai du faux mais malheureusement, les envois à la pelleté et qui pullulent dans tous les médias me retardent dans mon avancement personnel concernant ma quête spirituelle. Bien souvent lorsque le faux est trop évident, je balance ça à la filière 13 en choisissant un autre sujet plus intéressant et plus constructif.

Ça me désole de voir autant de faux circuler librement ainsi, c'est à croire que les gens gobent tout sans chercher préalablement !

Dédé

S'il y a conspiration, c'est pour insister que c'est authentique. Il y a un cercle de professeures d'université, surtout des féministes ou qui appartiennent au courant dit “humaniste” qui persistent à croire que c'est authentique, même si les deux labo qui ont testé l'échantillon au carbone 14 arrivent à des résultat aberrants. Le labo de Harvard date le papyrus entre les années 659 à 869 de notre ère. Le labo de l’Arizona date le papyrus entre les années 405 à 209 AVANT notre ère, ce qui est un non sens!

J'en avais glissé un mot en avril 2014 : Le papyrus soi-disant de la “femme de Jésus” – Quelques questions…

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Comment peut-on arriver avec deux résultats différents avec le même échantillon ? Le faussaire est-il de notre ère ou avant notre ère ?

Faudrait demander à l'Agent Bumbré, s'il n'est pas trop occupé à chanter ; Le Café de Tim Horton, que c'est bon, c'est bon, c'est bon, de faire une enquête sur cette nébuleuse affaire.

Demande à notre Stefou si elle l'a vu... elle travaille au Tim... c'est pour ça qu'elle n'a plus le temps de venir sur le forum

C'est parce que le faussaire a utilisé des morceaux de papyrus vierge, ou il a découpé des bas de page de papyrus comme il y en a plein dans les musées.

Ce faussaire a une maîtrise en égyptologie d'une université européenne, il a donc eu accès facilement et librement à des documents de cette sorte. Il a pu se fabriquer un carré de papyrus gros comme une carte de crédit, c'est la dimension du document en question.

Mais ce qui a été dès le départ l'élément numéro un aux yeux des spécialistes de la langue copte, ce sont les fautes de syntaxe que le texte du document comporte.