La Kaq veut réétudier l'offre de Nortvole, ça va sûrement être acceptée, des coupes en édukâtions et en santé pour tenter de financer le tout évidemment

Fondations, quelles fondations...

https://www.journaldemontreal.com/2025/08/07/batteries-electriques-lamericain-lyten-rac...

Québec est prêt à rencontrer le fabricant californien de batteries Lyten
Le gouvernement Legault souhaite cependant étudier l’offre en détail avant de donner son aval

Québec est prêt à rencontrer le fabricant californien de batteries Lyten, qui veut acheter le projet d’usine québécoise de 7G$ de Northvol

«Nous allons les rencontrer et les écouter», s’est limité à dire au Journal le cabinet de la ministre de l’Économie, Christine Fréchette, en se collant sur une déclaration publiée plus tôt sur les réseaux sociaux.
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Après avoir perdu 270M$ dans la maison-mère de Northvolt, Québec pourrait-il remettre de l’argent public? On refuse de se mouiller, car les échanges sont en cours.

«Il est de notre responsabilité d’évaluer avec rigueur cette nouvelle situation et de prendre connaissance de potentielles offres», a précisé la ministre économique.

Québec a encore une hypothèque légale sur le terrain, qui vaudrait plus que les 240M$ payés.

Mercredi dernier, Le Journal rapportait que l’État québécois gardait encore le bloc d’énergie de 354 mégawatts (MW) pour Northvolt en espérant que l’usine voit le jour.
En mode acquisition

Or, une journée plus tard, la jeune pousse américaine Lyten a annoncé qu’elle mettait la main sur les activités suédoises et allemandes de Northvolt.

Cela inclut la principale usine, dans le nord de la Suède, à Skellefteå, Northvolt Ett, et son centre de recherche, à Västerås.

Le groupe va également acquérir Northvolt Drei, une usine allemande en construction, et sa propriété intellectuelle.

Au Québec, la PDG par intérim de Northvolt Amérique du Nord, Karen Chang, a salué l’intérêt qu’a Lyten pour le projet québécois, situé à Saint-Basile-le-Grand et à McMasterville.

«Nous sommes encouragés par le vif intérêt manifesté par Lyten», a-t-elle indiqué par communiqué.

Fondé en 2016, Northvolt était l’un des plus grands fabricants européens de batteries lithium-ion pour les véhicules électriques, mais il a déposé son bilan en mars en raison d’un ralentissement de la demande, de retards de production et d’une énorme dette.

Lyten, qui a acheté ses activités, dit qu’elle va réembaucher «une partie importante des employés précédemment licenciés».

En novembre 2024, l’entreprise a racheté l’usine de fabrication de batteries Cuberg de Northvolt en Californie.

Début juillet, elle a fait main basse sur les activités polonaises du groupe suédois en acquérant la plus grande usine d’Europe de systèmes de stockage d’énergie par batterie, destinés à stocker l’énergie solaire et éolienne, à Gdansk.

Fondée en 2015, Lyten s’est spécialisée dans la technologie lithium-soufre, qui ne nécessite pas de nickel, de manganèse, de cobalt ou de graphite.

– Avec la collaboration de l’AFP

Source : Remaniement du gouvernement Legault: «Tout est sur la table»

Patrick Bellerose et Alain Laforest
Jeudi, 7 août 2025 00:00

MISE À JOUR Jeudi, 7 août 2025 00:00

Le premier ministre François Legault prépare un vaste remaniement ministériel, qui n’aura rien de cosmétique. En prime, son gouvernement présentera de nouvelles orientations, dans l’espoir de reconnecter avec les électeurs.

Selon nos informations, ce grand rebrassage du Conseil des ministres aura lieu autour de la fête du Travail.

Cela laissera environ deux semaines aux nouveaux porteurs de ballon pour se familiariser avec leurs dossiers, avant la rentrée parlementaire le 16 septembre prochain.

«Tout est sur la table, tout le monde peut bouger. Ce sera un vrai remaniement», explique une source gouvernementale.

En panne dans les sondages, le gouvernement Legault souhaite ainsi opérer un changement de fond.

De nouvelles personnes, fait-on valoir, permettront de faire «émerger de nouvelles idées» et apporteront un nouveau visage à ce gouvernement au pouvoir depuis maintenant sept ans.

Important caucus

Mais, avant le remaniement, une importante réunion du caucus aura lieu jeudi prochain, au parlement de Québec.

Le chef caquiste en profitera pour prendre le pouls de la population à travers ses 86 députés.

D’ores et déjà, on sait que certains élus souhaitent discuter de la réduction du prix de l’essence.

Depuis l’abolition de la taxe carbone ailleurs au Canada, les automobilistes québécois paient plus cher à la pompe en raison de la participation de la province à la Bourse du carbone.

L’idée d’utiliser les sommes amassées afin de financer une baisse du prix de l’essence sera donc discutée.

Dans la région de la Capitale-Nationale, la possibilité d’un péage intelligent pour le controversé projet de troisième lien entre Québec et Lévis sera également sur la table.

Ce coup de sonde parmi les députés permettra au premier ministre de revoir les orientations de son gouvernement, comme annoncé en juin dernier.

«Je pense qu’il faudrait être sur une autre planète pour ne pas voir qu’il y a des Québécois qui sont déçus, sur certains dossiers, de la CAQ, donc c’est ce qui initie mon désir de changement», avait-il alors déclaré.

Certaines orientations chères à la formation, notamment en matière de santé, d’immigration et de laïcité, devraient toutefois demeurer inchangées. L’idée d’une constitution québécoise est également évoquée de plus en plus sérieusement.

La CAQ en difficulté

Avec ce grand brassage d’idées et de personnes, le gouvernement Legault espère pouvoir reprendre pied après avoir connu deux années difficiles depuis sa défaite dans l’élection partielle de Jean-Talon.

En juin dernier, la CAQ était troisième dans les intentions de vote, avec seulement 17%, selon un sondage Léger. Le PQ demeurait en tête avec 30%, tandis que le PLQ connaissait une remontée importante, à 28%, grâce à l’arrivée de son nouveau chef Pablo Rodriguez.

L’élection partielle dans Arthabaska, lundi prochain, devrait également être difficile pour le candidat caquiste. En début de campagne, un sondage Segma commandé par le PQ lui accordait un maigre 3%.

Ma vision d'un bon gouvernement, c'est lorsque celui-ci s'enfonce dans la marde et qu'il s'en sort sans trop en avoir sur lui. La CAQ au premier mandat, il a plongé dans la marde que l'autre gouvernement avant lui a laissé pour compte en se faisant sortir le cul sur une pelle du parti dans lequel il a été élu majoritairement au Parti Libéral du Québec. De plus, il a dû géré la pandémie de la Covid 19 malgré des décrets très douteux pour éviter la contamination massive.

Dès qu'il a pu revenir sur sa base politique, j'ai vu qu'il y avait un problème grave avec l'inexpérience de ses députés et ses ministres, surtout avec un penchant irraisonnable de l'incompétence ministériel. Des investissements de nos deniers qui se sont avérés catastrophiques sur des enjeux économiques contemporains que sont les filières de piles électriques, afin parvenir à obtenir 0% d'émission sur les prochaines voitures électriques en 2030 apparemment.

C'est un échec lamentable avec le constructeur de camion et d'autobus - La Compagnie électrique Lion - ainsi que La Compagnie Northvolt spécialisée en production de cellule pour les piles électriques conçues pour l'automobile entièrement électrique.

La Santé, parlons en de la Santé, elle est malade la Santé et la seul façon qui semble à aller vers, c'est sa privatisation. Depuis la fin du premier mandat de la CAQ, l'exode des médecins familiaux ( omnipraticiens ) se poursuit en croissance même avec la loi 83 du ministre Dubé.

Au ministère du transport, même en remaniant le ministère en retirant François Bonnardel pour se faire remplacer par la Vice-Présidente du gouvernement, Geneviève Guilbault, tout ce beau monde s'en SAAQ. Méchante saga numérique, autant que celle du gouvernement fédéral avec son système Phénix, que non seulement ça coûter la peau des fesses, celles-ci furent très bien écartées pour bien se faire sodomiser par la politique d'un fumeux de pot.

En voyant ce qui se passe dans ce ministère, j'ai l'impression que le 3ième lien va finir en nœud coulant !

En conclusion, nous allons bien voir comment notre gouvernement actuel va se sortir de sa grosse marde. Je ne miserai pas pour la CAQ, ça c'est certain lors des prochaines élections provinciales. Néanmoins, nous risquons d'avoir pire et les gens vont applaudir.

Dédé

N.B. Page Facebook : La CAQ veut sauver sa fondation !

Ça ne changera pas grand chose mais comme tu dis, on sait jamais, possible que les gens applaudissent.