Cliquer sur l'image pour lire l'article de Richard Martineau du Journal de Montréal
Un vrai crosseur de poule morte, c'est ainsi qu'on nommait ce genre d'individu dans mon lointain patelin.
Là tu es de mauvaise foi. Ici, je pense que Monsieur Couillard a raison.
Dans n'importe quel job, quand un employé quitte, il quitte avec son savoir. Que ce soit dans sa mémoire, sur des notes personnelles, sur des relevés de comptes de téléphone, sur des clés usb, dans son ordinateur,...
J'étais vendeur, quand j'ai quitté la firme pour qui se travaillait, je connaissais le nom des clients, leurs coordonnées, les articles qu'ils avaient achetés, les prix payés, ce qu'ils comptaient acheter dans l'année suivante. Et lorsque je me suis trouvé un autre job de vendeur, mon employeur espérait que j'utilise ces informations en sa faveur. Et mon salaire était en conséquence.
Il ne faut pas être plus catholique que le pape.
Et on ne sait même pas la teneur des informations ramenées !
Par contre, ce n'est pas juste ce parti qui est comme ça, c'est toute la démocratie nord-américaine qui est devenue ainsi, en débutant par la politique municipale jusqu'au gouvernement du pays.
Ici, tu as entièrement raison.
Blanc bonnet, bonnet blanc.
Il faut s'y faire.