Source : Une part importante du réchauffement climatique ne serait pas due au CO2 selon une étude choc

Les deux tiers du réchauffement climatique actuel ne seraient pas dus au CO2, mais à la baisse de la pollution atmosphérique ! Ce sont les conclusions surprenantes d’une université anglaise.

Un air de plus en plus pur conduit-il à davantage de réchauffement climatique ? C'est la conclusion d'une très sérieuse étude de l’Université d’Exeter en Angleterre. Plus encore, la majeure partie du réchauffement climatique contemporain serait due à la diminution de la pollution atmosphérique, selon l'auteur Peter Cox. Ces conclusions surprennent et peuvent même choquer. Pourtant, Peter Cox est un spécialiste reconnu du lien entre le sol, les activités humaines, le cycle du carbone et le climat.

Cela fait déjà quelques années que des climatologues émettent l'idée que la législation mise en place pour réduire la pollution au dioxyde de soufre (SO₂) a eu un effet très réchauffant pour le climat. En supprimant le « couvercle blanc » de pollution qui était auparavant présent dans notre atmosphère, le ciel s'est dégagé, en particulier au-dessus des océans : il y a moins de nuages. Les rayons du soleil ont donc davantage pu réchauffer les eaux et l'atmosphère au-dessus des terres : l'idée est largement partagée par la communauté scientifique et une partie de l'accélération du réchauffement climatique est liée à ce phénomène. Mais dans quelle proportion ? C'est ce qui fait débat.

Selon l'étude, près de deux tiers du réchauffement climatique mesuré depuis 2001 pourraient être liés à la baisse de la pollution au dioxyde de soufre. Sans remettre en cause le rôle très réchauffant des gaz à effet de serre issus des activités humaines, l'étude explique que la diminution de la pollution au SO2 a eu un effet beaucoup plus fort sur le climat que l'augmentation du dioxyde de carbone (CO2).

La diminution du soufre entraîne moins de nuages

Comment l'auteur a-t-il pu tirer une telle conclusion ? En analysant les données satellitaires de la Nasa de 2001 à 2019 : celles-ci auraient montré que l'albédo a diminué. L'albédo est la capacité de la Terre à renvoyer les rayons solaires vers l'espace, et donc à renvoyer une partie de la chaleur qu'elle reçoit du soleil vers l'extérieur. Si l'albédo diminue, la chaleur s'emmagasine davantage sur Terre.

Plus le niveau de soufre décline, plus les nuages sont sombres, et moins ils sont réfléchissants, selon Peter Cox. La Terre absorbe plus de lumière, ce qui mène à plus de chaleur. Le dioxyde de soufre a en effet pour conséquence d'augmenter la taille des gouttelettes d'eau présentes dans les nuages, et donc de créer des nuages plus grands et plus blancs.

Une autre université anglaise, celle de Reading, a annoncé que cette nouvelle étude confirmait celle de ses récents travaux. Sauf que selon le professeur Laura Wilcox, de l'Université de Reading, le soufre provoque uniquement des nuages plus grands, mais pas plus blancs. L'obscurcissement de la Terre, constaté par la Nasa depuis quelques années, n'aurait pas encore d'explication.

Sans nuage réfléchissant dans le ciel, les rayons solaires peuvent davantage réchauffer la Terre. © Nasa

Une bonne nouvelle sur l’évolution du réchauffement planétaire ?

Si ces conclusions s'avéraient être bien réelles, quelle serait alors la solution ? Selon Peter Cox, si la majorité du réchauffement est bien provoquée par la diminution, alors cette accélération du réchauffement ne durera pas : l'effet réchauffant connaît actuellement un pic, mais va ensuite faiblir. L'évolution du réchauffement climatique serait donc moins grave que ce que l'on pensait, dans le cas où Peter Cox aurait raison.

Cependant, les gaz à effet de serre, comme le CO2, sont tout de même responsables du tiers restant du réchauffement climatique, ce qui reste énorme. Il faut donc continuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre issues des activités humaines, car le fait d'avoir un ciel dégagé (en raison de la diminution de la pollution) rend ce réchauffement plus fort.

Il reste tout de même que le CO² est responsable du réchauffement climatique même si le dioxyde de soufre est devenu plus rare dans l'atmosphère. C'est évident que s'il y a moins de nuages que le soleil frappe plus et réchauffe plus mais, l'effet de serre en plus, cela n'aide pas la situation à s'améliorer.

Diminuer l'effet de serre de beaucoup aiderait sans nul doute à faire descendre la température du climat au lieu d'augmenter par la disparition de la pollution atmosphérique au dioxyde de soufre.

Par contre, tant et aussi longtemps que l'humanité sera accroché au pétrole, la chance de diminution des émissions de GES est presque nulle et n'oublions pas non plus que l'électricité joue aussi un rôle au réchauffement climatique, une ampoule ça réchauffe lorsqu'allumé.

Dédé

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Source : Une part importante du réchauffement climatique ne serait pas due au CO2 selon une étude choc

Les deux tiers du réchauffement climatique actuel ne seraient pas dus au CO2, mais à la baisse de la pollution atmosphérique ! Ce sont les conclusions surprenantes d’une université anglaise.

Un air de plus en plus pur conduit-il à davantage de réchauffement climatique ? C'est la conclusion d'une très sérieuse étude de l’Université d’Exeter en Angleterre. Plus encore, la majeure partie du réchauffement climatique contemporain serait due à la diminution de la pollution atmosphérique, selon l'auteur Peter Cox. Ces conclusions surprennent et peuvent même choquer. Pourtant, Peter Cox est un spécialiste reconnu du lien entre le sol, les activités humaines, le cycle du carbone et le climat.

Cela fait déjà quelques années que des climatologues émettent l'idée que la législation mise en place pour réduire la pollution au dioxyde de soufre (SO₂) a eu un effet très réchauffant pour le climat. En supprimant le « couvercle blanc » de pollution qui était auparavant présent dans notre atmosphère, le ciel s'est dégagé, en particulier au-dessus des océans : il y a moins de nuages. Les rayons du soleil ont donc davantage pu réchauffer les eaux et l'atmosphère au-dessus des terres : l'idée est largement partagée par la communauté scientifique et une partie de l'accélération du réchauffement climatique est liée à ce phénomène. Mais dans quelle proportion ? C'est ce qui fait débat.

Selon l'étude, près de deux tiers du réchauffement climatique mesuré depuis 2001 pourraient être liés à la baisse de la pollution au dioxyde de soufre. Sans remettre en cause le rôle très réchauffant des gaz à effet de serre issus des activités humaines, l'étude explique que la diminution de la pollution au SO2 a eu un effet beaucoup plus fort sur le climat que l'augmentation du dioxyde de carbone (CO2).

La diminution du soufre entraîne moins de nuages

Comment l'auteur a-t-il pu tirer une telle conclusion ? En analysant les données satellitaires de la Nasa de 2001 à 2019 : celles-ci auraient montré que l'albédo a diminué. L'albédo est la capacité de la Terre à renvoyer les rayons solaires vers l'espace, et donc à renvoyer une partie de la chaleur qu'elle reçoit du soleil vers l'extérieur. Si l'albédo diminue, la chaleur s'emmagasine davantage sur Terre.

Plus le niveau de soufre décline, plus les nuages sont sombres, et moins ils sont réfléchissants, selon Peter Cox. La Terre absorbe plus de lumière, ce qui mène à plus de chaleur. Le dioxyde de soufre a en effet pour conséquence d'augmenter la taille des gouttelettes d'eau présentes dans les nuages, et donc de créer des nuages plus grands et plus blancs.

Une autre université anglaise, celle de Reading, a annoncé que cette nouvelle étude confirmait celle de ses récents travaux. Sauf que selon le professeur Laura Wilcox, de l'Université de Reading, le soufre provoque uniquement des nuages plus grands, mais pas plus blancs. L'obscurcissement de la Terre, constaté par la Nasa depuis quelques années, n'aurait pas encore d'explication.

Sans nuage réfléchissant dans le ciel, les rayons solaires peuvent davantage réchauffer la Terre. © Nasa

Une bonne nouvelle sur l’évolution du réchauffement planétaire ?

Si ces conclusions s'avéraient être bien réelles, quelle serait alors la solution ? Selon Peter Cox, si la majorité du réchauffement est bien provoquée par la diminution, alors cette accélération du réchauffement ne durera pas : l'effet réchauffant connaît actuellement un pic, mais va ensuite faiblir. L'évolution du réchauffement climatique serait donc moins grave que ce que l'on pensait, dans le cas où Peter Cox aurait raison.

Cependant, les gaz à effet de serre, comme le CO2, sont tout de même responsables du tiers restant du réchauffement climatique, ce qui reste énorme. Il faut donc continuer à réduire les émissions de gaz à effet de serre issues des activités humaines, car le fait d'avoir un ciel dégagé (en raison de la diminution de la pollution) rend ce réchauffement plus fort.

Il reste tout de même que le CO² est responsable du réchauffement climatique même si le dioxyde de soufre est devenu plus rare dans l'atmosphère. C'est évident que s'il y a moins de nuages que le soleil frappe plus et réchauffe plus mais, l'effet de serre en plus, cela n'aide pas la situation à s'améliorer.

Diminuer l'effet de serre de beaucoup aiderait sans nul doute à faire descendre la température du climat au lieu d'augmenter par la disparition de la pollution atmosphérique au dioxyde de soufre.

Par contre, tant et aussi longtemps que l'humanité sera accroché au pétrole, la chance de diminution des émissions de GES est presque nulle et n'oublions pas non plus que l'électricité joue aussi un rôle au réchauffement climatique, une ampoule ça réchauffe lorsqu'allumé.

Dédé

Tout à fait d'accord avec ton point.

Il reste tout de même que le CO² est responsable du réchauffement climatique même si le dioxyde de soufre est devenu plus rare dans l'atmosphère. C'est évident que s'il y a moins de nuages que le soleil frappe plus et réchauffe plus mais, l'effet de serre en plus, cela n'aide pas la situation à s'améliorer.

Diminuer l'effet de serre de beaucoup aiderait sans nul doute à faire descendre la température du climat au lieu d'augmenter par la disparition de la pollution atmosphérique au dioxyde de soufre.

Par contre, tant et aussi longtemps que l'humanité sera accroché au pétrole, la chance de diminution des émissions de GES est presque nulle et n'oublions pas non plus que l'électricité joue aussi un rôle au réchauffement climatique, une ampoule ça réchauffe lorsqu'allumé.

Dédé

Tout à fait d'accord avec ton point.

________________

Nous utilisons trop de GES. La réfrigération, le climatiseur chez soi et dans l'auto, des aérosols et autres. Rien de comparable avec les émissions de CO² qui est le premier facteur de l'effet de serre mais il reste tout de même les raffineries, les émanations de méthane produit par les animaux et les humains ( même s'il s'agit d'un faible facteur ).

Alors, ce n'est pas demain que l'atmosphère va demeurer "clean".

Il reste tout de même que le CO² est responsable du réchauffement climatique même si le dioxyde de soufre est devenu plus rare dans l'atmosphère. C'est évident que s'il y a moins de nuages que le soleil frappe plus et réchauffe plus mais, l'effet de serre en plus, cela n'aide pas la situation à s'améliorer.

Diminuer l'effet de serre de beaucoup aiderait sans nul doute à faire descendre la température du climat au lieu d'augmenter par la disparition de la pollution atmosphérique au dioxyde de soufre.

Par contre, tant et aussi longtemps que l'humanité sera accroché au pétrole, la chance de diminution des émissions de GES est presque nulle et n'oublions pas non plus que l'électricité joue aussi un rôle au réchauffement climatique, une ampoule ça réchauffe lorsqu'allumé.

Dédé

Tout à fait d'accord avec ton point.

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Nous utilisons trop de GES. La réfrigération, le climatiseur chez soi et dans l'auto, des aérosols et autres. Rien de comparable avec les émissions de CO² qui est le premier facteur de l'effet de serre mais il reste tout de même les raffineries, les émanations de méthane produit par les animaux et les humains ( même s'il s'agit d'un faible facteur ).

Alors, ce n'est pas demain que l'atmosphère va demeurer "clean".

Les normes pour la climatisation et la réfrigération est beaucoup plus sévère en Europe. On dort sur la switch ici.

Il reste tout de même que le CO² est responsable du réchauffement climatique même si le dioxyde de soufre est devenu plus rare dans l'atmosphère. C'est évident que s'il y a moins de nuages que le soleil frappe plus et réchauffe plus mais, l'effet de serre en plus, cela n'aide pas la situation à s'améliorer.

Diminuer l'effet de serre de beaucoup aiderait sans nul doute à faire descendre la température du climat au lieu d'augmenter par la disparition de la pollution atmosphérique au dioxyde de soufre.

Par contre, tant et aussi longtemps que l'humanité sera accroché au pétrole, la chance de diminution des émissions de GES est presque nulle et n'oublions pas non plus que l'électricité joue aussi un rôle au réchauffement climatique, une ampoule ça réchauffe lorsqu'allumé.

Dédé

Tout à fait d'accord avec ton point.

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Nous utilisons trop de GES. La réfrigération, le climatiseur chez soi et dans l'auto, des aérosols et autres. Rien de comparable avec les émissions de CO² qui est le premier facteur de l'effet de serre mais il reste tout de même les raffineries, les émanations de méthane produit par les animaux et les humains ( même s'il s'agit d'un faible facteur ).

Alors, ce n'est pas demain que l'atmosphère va demeurer "clean".

Les normes pour la climatisation et la réfrigération est beaucoup plus sévère en Europe. On dort sur la switch ici.

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Surprenant que nos normes sont inférieures à l'Europe.

Clousse, j'ai reçu une interdiction de péter en public !

Il reste tout de même que le CO² est responsable du réchauffement climatique même si le dioxyde de soufre est devenu plus rare dans l'atmosphère. C'est évident que s'il y a moins de nuages que le soleil frappe plus et réchauffe plus mais, l'effet de serre en plus, cela n'aide pas la situation à s'améliorer.

Diminuer l'effet de serre de beaucoup aiderait sans nul doute à faire descendre la température du climat au lieu d'augmenter par la disparition de la pollution atmosphérique au dioxyde de soufre.

Par contre, tant et aussi longtemps que l'humanité sera accroché au pétrole, la chance de diminution des émissions de GES est presque nulle et n'oublions pas non plus que l'électricité joue aussi un rôle au réchauffement climatique, une ampoule ça réchauffe lorsqu'allumé.

Dédé

Tout à fait d'accord avec ton point.

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Nous utilisons trop de GES. La réfrigération, le climatiseur chez soi et dans l'auto, des aérosols et autres. Rien de comparable avec les émissions de CO² qui est le premier facteur de l'effet de serre mais il reste tout de même les raffineries, les émanations de méthane produit par les animaux et les humains ( même s'il s'agit d'un faible facteur ).

Alors, ce n'est pas demain que l'atmosphère va demeurer "clean".

Les normes pour la climatisation et la réfrigération est beaucoup plus sévère en Europe. On dort sur la switch ici.

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Surprenant que nos normes sont inférieures à l'Europe.

Clousse, j'ai reçu une interdiction de péter en public !