Ce soir, on déclare la guerre aux ost** de PINGOUINS.

Oui, j’ai dit pingouins. Regardez-moi ces clowns. Des manchots en habit de soirée qui ont raté leur vol évolutif. Y volent pas, y courent pas, y marchent en se dandinant comme s’ils étaient en retard pour une orgie de sardines. Et ces ostie de bibites-là se prennent pour les rois de NOTRE sport !Sidney Crosby ? Appelez-le Sidney Pleurnichou.

Le p’tit Jésus du hockey. La face de chérubin qu’une mère a sculptée avec amour… avant que la justice lui rentre dedans à coups de poing. Chaque fois qu’il tombe, c’est comme si la glace venait d’insulter sa grand-mère. « Aïe ! Y m’a regardé de travers ! Deux minutes pour existence ! » Pleure, Sidney, pleure. On va te donner un vrai motif.Et Malkin ? Geno ?

Ce gars-là a une tête de tracteur déçu. Y parle trois mots d’anglais : « puck », « net », « goal ». C’est pas du talent, c’est un Russe avec un bon Wi-Fi.Parlons des fans de Pittsburgh deux secondes. Une ville bâtie sur du ketchup et des rêves brisés. Y se trouvent durs parce qu’y faisaient de l’acier dans le temps. Mon gars, la seule chose que vous fabriquez aujourd’hui, c’est des excuses et des sandwiches avec des frites DEDANS. Dedans, ostie ! Du coleslaw sur une sandwich comme si c’était un appel à l’aide.Nous autres à Montréal ? On émeute quand on GAGNE.

Ça, c’est de la passion. Ça, c’est de la culture. Vous autres, vous perdez en septième et vous allez pleurer dans votre bière Iron City cheap. Nous, on perd en septième, on retourne une voiture de police et on la crisse en feu comme si c’était la Coupe Stanley.Ces ostie de Penguins gagnent des Coupes comme si c’était facile. Quatre depuis 91. QUATRE. C’est pas du hockey, c’est un crime contre l’humanité. Y rechargent leur équipe comme dans un maudit jeu vidéo. « Ah, on a perdu Hossa ? Pas grave, voici Malkin. Ah, on a perdu Fleury ? Pas grave, voici tout le pays de la Finlande dans le net. »Assez, tabarnak !Ce soir, on leur rappelle c’est quoi, du VRAI hockey.
Ça joue pas cute, ça joue pas propre, ça joue sale et ça joue pour tuer.

C’est Carey Price qui regarde un breakaway comme s’il devait de l’argent à sa mère.
C’est Gallagher qui mord une jambe comme un castor enragé.
C’est Shea Weber qui charge un slapshot qui fait trembler le Centre Bell jusqu’à Longueuil.Ce soir, on bat pas les Penguins.
On les efface.
On les enterre.
On fait en sorte que les p’tits kids à Pittsburgh googlent « Montréal Canadiens » et tombent juste sur des vieux clips en noir et blanc avec des larmes.Alors attachez vos patins, saignez pour ce CH, et quand la rondelle va tomber…
Allez leur crisser une volée à ces manchots sans ailes, trempés dans le ketchup, qui pleurnichent, qui marmonnent en russe et qui vivent encore sur la gloire de Lemieux.OSTIE QUE ÇA VA ÊTRE BEAU !ALLEZ… MONTRÉAL… CALISSE !!!